Copie d’écran YouTube Présentation de l’Ocean Viking

Éditorial de Richard Roudier – Ligue du Midi

 

Frédéric Pénard, directeur des opérations de sauvetage en mer de SOS Méditerranée, -traduire collaborateur du trafic d’africains en mer- a annoncé que l’organisation allait reprendre son activité. Mais « sans entrer dans les eaux territoriales libyennes ». Une précision qui est aussi un aveu : le bateau ira à la limite de ces eaux prendre livraison des africains conduits par les trafiquants internationaux.

 

On sait depuis plusieurs campagnes de « pêche aux migrants » que ces candidats à l’entrée en Europe, nouvel Eldorado, sont entassés sur des pneumatiques incapables de parcourir une distance plus longue que la limite des eaux territoriales libyennes. C’est dire si la présentation de ces « sauvetages en mer » est mensongère. Les éventuels naufrages (noyades) ne gênent pas les différents maillons de la chaîne. Au contraire, c’est une aubaine pour les naufrageurs puisque les africains, lesquels ont déjà payé leur passage avant d’embarquer, et les morts spectaculaires, médiatisées jusqu’à la nausée, permettent de faciliter le débarquement des autres migrants. Les noyés sont « tout bénéfice » pour les ONG.

 

Nous avions réussi à faire mettre « l’Aquarius » sous séquestre en 2018, SOS Méditerranée revient avec « Ocean viking »

 

Rappel de nos actions :

Plus beau, plus coûteux, c’est « Ocean Viking »

 

L’ « Ocean Viking » est un navire plus récent que l’antique rafiot « Aquarius », enregistré, aux dires de SOS Méditerranée, comme cargo auprès du Registre international norvégien (NIS) et qui bat pavillon norvégien. « Il a servi de navire d’approvisionnement et de sauvetage pour l’industrie gazière et pétrolière en mer du Nord. Construit en 1986, il mesure 69,3m de long et 15,5m de large. Son grand pont arrière découvert a permis à SOS MEDITERRANEE et MEDECINS SANS FRONTIERES d’y installer un ensemble de conteneurs ». Ceux-ci ont été spécialement aménagés pour abriter des familles et des centaines de migrants. Avec quatre zodiacs et un personnel pléthorique à bord, on assiste au développement d’un véritable business…

 

Un personnel pléthorique

 

L’Ocean Viking emploie un personnel nombreux. Trente personnes y sont, en permanence, entretenues à bord pour la navigation, et l’accompagnement des africains transportés.

L’équipe de MSF, est composée de neuf personnes : quatre praticiens (un docteur, deux infirmières, une sage-femme), un logisticien, un médiateur culturel, un chargé d’affaires humanitaires et un responsable de la communication. Elle est dirigée par un coordinateur de projet.
L’équipe de SOS MEDITERRANEE, en charge des opérations de recherche et de sauvetage, est composée de 13 personnes : un coordinateur des opérations, un coordinateur adjoint, 9 marins-sauveteurs, un chargé de communication et un chargé de recherche et de documentation -la communication est particulièrement importante puisqu’elle assure les rentrées financières particulièrement abondantes-.
Neuf autres personnes composent l’équipage maritime du bateau, employées par l’armateur.

 

Une opération financière d’un niveau inouï

 

Combien coûte ce trafic ? On commence à en savoir plus par bribes. On parle de 11.000 euros par jour pour la location du navire et de 14.000 euros en comptant les faux frais. C’est en millions d’€ par mois que cela va se chiffrer, à première vue de l’ordre de 2 millions d’euros. Ce n’est pas à la portée d’une petite association qui avoue 3 salariés… Cet argent provient de dons de fondations ou d’autres ONG, comme de Médecins Sans Frontières, et de collectivités territoriales françaises. A titre d’exemple, le Conseil Régional d’Aquitaine et celui d’Occitanie ainsi que divers Conseils départementaux et municipalités versent des subventions copieuses à cette organisation. Les contribuables seront certainement satisfaits de savoir qu’ils financent indirectement des trafics d’êtres humains, grâce à leurs élus PS, LR et autres…

SOS Méditerranée est décidée à mener pendant l’été une offensive destinée à nous imposer des migrants africains en grand nombre… A nous d’organiser une réaction. On sait qu’ « Océan Viking » vient de quitter la Norvège pour les côtes libyennes et il est actuellement au niveau du Portugal; il fera certainement une escale de ravitaillement en Espagne après avoir franchi le détroit de Gibraltar.

 

Que cache cette pseudo mobilisation humanitaire

 

Premièrement, c’est une opération politique de dilution de notre identité qui concourt au métissage des populations européennes en déclenchant un véritable appel d’air et en disant « vous êtes ici chez vous, croissez et multipliez-vous… »

Deuxièmement, c’est une opération économique managée par l’idéologie mondialiste, car pour 10 % des migrants qui vont trouver du travail chez nous, ce sont 90 % qui sont là uniquement pour être des consommateurs, des pousseurs de caddies… Et qui pensez-vous va les payer ? C’est la classe moyenne, ce sont les classes populaires qui sont de plus en plus tordues, de plus en plus épongées par le système…

Troisièmement, c’est une opération extrêmement juteuse pour toutes ces ONG ; savez-vous que l’association SOS MÉDITERRANÉE arrive à dégager en 2017, 1,5 millions de bénéfice avec seulement 3 à 5 salariés et 250 bénévoles…

Quatrièmement, on est en présence d’une véritable pompe à fric : SOS MÉDITERRANÉE est subventionnée par l’État français, par une myriade de collectivités. Alors on nous raconte que 90 % des subventions proviennent de financements privés, FAUX, tout cela est un mensonge, ce sont des entreprises publiques ou des entreprises privées redevables ou stipendiées par le gouvernement, des banques, le secteur audio-visuel, la presse … tout ça pour dire que la mise en danger de la vie d’autrui, les noyades, le bien-être et la vie des migrants, ils s’en tapent… et bonjour le business !

Après ses mésaventures de 2018, SOS méditerranée lance une campagne plus ambitieuse que jamais. Elle s’appuie :

  • sur de gros donateurs politisés -du type Soros- qui détestent notre civilisation-
  • sur une classe politique lâche et décérébrée
  • sur des institutions européennes ennemies de nos patries
  • sur des médias aux ordres des multinationales
  • sur des « petites mains » du style antifas chargés de faire le sale boulot

 

Agir vite et fort …

 

Notre campagne de 2018 a porté ses fruits puisque aucun pays européen ou autre n’avait osé délivrer de pavillon aux affréteurs. Rappelons que SOS Méditerranée avait même sollicité le Vatican -qui n’est pas connu pour l’importance de sa marine-, le Libéria et plusieurs états maffieux d’Amérique centrale bien connus pour leur laxisme dans la délivrance de pavillons de complaisance. Ça ne choque pas les médias…

Nous devons protester par tous nos moyens contre cette nouvelle campagne, alerter nos camarades du bassin méditerranéen afin de dénoncer, tous en même temps, les tentatives de débarquement ou de ravitaillement, être présents physiquement dans les ports…

Dénoncer enfin les collectivités territoriales complices de ce trafic.

 

Aidez-nous à lancer cette campagne !

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