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Le billet de Femmes En Colère

        L’importance des troubles psychiatriques dans les pays de culture islamique est à présent connue (Cf.article du 30/08/16 sur notre blog). Pour rappel : environ 50 % des Marocains seraient atteints. Le coût social pour les pays d’immigration reste à évaluer… Penchons nous à présent sur les ravages de la consanguinité pour ces mêmes populations. Sellama Nadifi, spécialisée dans les maladies génétiques à Casablanca, révèle que ce mal est répandu au Maroc particulièrement dans le monde rural. Une étude de 2007 sur le mariage consanguin, le plus souvent entre cousins germains, démontre peu d’évolution depuis les années 40. C’est un phénomène culturel qui vise à maintenir le patrimoine familial.

        R. Dembour dans Opinions (La Libre du 19/04/14) précise que la consanguinité est un des problèmes majeurs dans les pays arabes avec 60 % au Pakistan, 58 % en Irak, 55 % en Arabie saoudite, 54 % au Qatar, 40 % au Maroc, 39 % en Algérie. La Gazette du Maroc du 13/02/09 relève 50 % de mariages consanguins pour les marocains installés en Belgique. Cette explosion est due aux facilités de constructions tribales grâce au « regroupement familial ». Hélas, l’enfer est bien pavé de bonnes intentions comme le soulignait J.P Sartre, car cette consanguinité facilitée par nos largesses multiplie par 2,5 les problèmes congénitaux, retards mentaux, handicaps physiques et baisse de Q.I.

        Certes, cela favorise la domination des recruteurs de Daesh sur quelques adolescents perdus, celle des imams « baratineurs », des complotistes et associations d’islamistes « victimisantes », sur les esprits faibles des populations acculturées, déracinées, mentalement malades, dépourvues de jugement qui s’égarent dans la « radicalisation ».

        Avec ses formules toutes prêtes en langue arabe, l’imam -c’est peut être le boucher du coin comme à Nîmes Saint Cézaire- acquiert une autorité certaine sur des populations vivant selon des prescriptions datant de 15 siècles, prévues pour des nomades du désert. Il sert de psychologue, voire de psychiatre et d’exorciste. Petitjean, l’homme qui a donné son nom à l’assassin du Père Hamel n’indique t-il pas que son ex-femme, au vu des troubles présentés par ce jeune dément l’avait accompagné chez l’imam…

        Un autre imam ne déclarait-il pas (en France !) qu’écouter de la musique transformait en singe, que manger du porc transformait en porc. On comprend que ses coreligionnaires préfèrent le mouton… Quant au grand imam scientifique qui affirme que la terre ne peut tourner autour du soleil, car les avions seraient contraints de faire du sur place…  notre ministre des cultes tolère ces énormités. Citons également l’imam Khattabi, l’escroc aux allocations familiales de Montpellier, bel exemple pour la jeunesse maghrébine…

        Il est urgent de mettre au pas, de responsabiliser les imams, les familles des islamistes, les associations politico-confessionnelles, tous ceux qui n’alertent pas les autorités lorsqu’ils ont connaissance de « brebis égarées » ou dévoyées et qui abusent de la faiblesse de leur coreligionnaires. Pour des populations pareillement rétrogrades, le nouveau « joujou » appelé « dé-radicalisation » ne peut fonctionner car aucun appel à la raison ne peut atteindre un cerveau rouillé par manque d’exercice depuis des siècles.

        Religion, communautarisme, familles tribales, consanguinité, auto-apartheid choisi, rejet du mode de vie occidental et déracinement se cumulent pour ces populations immigrées. C’est ainsi que l’étude PISA (procédé de classement des systèmes éducatifs) de 2009 montre que plus de 50 % des garçons de 15 ans issus de l’immigration obtiennent en lecture et sciences 0 ou 1, l’échelle étant de 1 à 6. Pour la deuxième génération plus de 50 % s’échelonnent entre 0 et 2. Il y aurait donc un mince espoir d’amélioration si les grandes migrations invasives ne s’étaient amplifiées depuis 2009 (chiffres relevés par R. Dembour déjà cité).

        Alors, sur ce terreau, pullulent des associations cultivant le jeu de la victimisation qui amplifie la radicalisation. Parmi celles-ci, le P.I.R (Parti des indigènes de la République) accuse l’État de « racisme colonial », menace les blancs et les exclue de ses camps de formation (Cf.: le camp d’été décolonial) ? H. Bouteldja, porte-parole et fondatrice déclare : « j’appartiens à la famille, à mon clan, à ma race, à mon quartier, à l’islam, à l’Algérie ». Communautariste et raciste, allogène en France, puisque berbère d’Algérie, H. Bouteldja dénonce une France coloniale et se revendique musulmane alors que ses ancêtres kabyles ont été colonisés, sans tendresse, et islamisés par les hordes arabes. Pour ce type d’activiste, peu importe le réel, il s’agit uniquement de distiller la haine pour arriver à discriminer les français autochtones.

        Plus prés de nous à Montpellier, une section locale du C.R.I (Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie) avec le Facebook de Nadia Maa travaille dans le même registre : le soutien inconditionnel à la communauté islamique y compris l’esclavage ou la soumission des femmes car « qui ne dit mot consent ».

        Espoir 34 né à la Pergola-Petit Bard (Zone sensible au nord de Montpellier) pleure le manque de réussite professionnelle de ses ressortissants. Mais il faut constater que ceux-ci sont affublés de prénoms exotiques et déguisés à la mode charia tout comme les affidés du P.I.R ou du C.R.I. La porte-parole cette association déplore le manque de mixité qu’elle a pu connaitre à Lunel et l’on peut se demander si le foulard qu’elle porte est une revendication raciale, religieuse ou sociale en tout cas une séparation d’avec les français de souche.

        Avec les tristes actualités que ces mouvements ne désapprouvent pas, l’autochtone se méfie des enragés possibles et déséquilibrés car il tient à garder sa tête sur les épaules … et s’il a la phobie (=peur) d’une certaine religion, peut on l’en blâmer ? J’ai souvenir qu’Hassan II, roi du Maroc a fait sa scolarité à Saint François Régis, chez les jésuites de Montpellier et qu’il n’a jamais considéré la France comme un ennemi. Ses déclarations pleines de réserves sur les mariages mixtes étaient empreintes de sagesse. Aïcha et Zineb, marocaines pensionnaires à l’Assomption dans les années 60 portaient le même uniforme que les autres, pratiquaient le ramadan en toute discrétion, et parce qu’elles respectaient leurs hôtes, elles étaient respectées.

        En 2008, un sondage du C.S.A faisait apparaître que 38 % des musulmans de France estimaient que la charia n’avait pas à s’appliquer dans un pays non-musulman. En 2016, que sont ces sondés devenus ? Ont-ils subi les pressions de leurs coreligionnaires ? L’État français déliquescent les a-t-il abandonnées selon l’habitude bien française de l’État jacobin ?
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