Accueil des migrants mineurs isolés
On se souvient de la visite du Président de la Ligue du Midi et de quelques supporteurs dans les locaux du RAIH (Réseau Accueil Insertion Hérault), à Montpellier, afin de demander aux responsables de cette association subventionnée, un bilan d’activité sur l’insertion des jeunes migrants isolés, ce type d’association percevant, via le Conseil Départemental, d’importantes subventions issues de la poche des contribuables Héraultais. C’est à titre de « lanceur d’alerte » que Richard Roudier se trouvait le matin du 30 juin dans les locaux du RAIH au N°3 de la rue Castilhon pour une visite de quelques minutes.
Bref rappel : le 26 juin le Conseil Départemental, avait voté pour un montant de 1,5 millions d’euros de subvention aux mineurs étrangers isolés, l’opposition étant restée sur sa faim quant à l’utilisation précise de cette somme et en particulier en ce qui concernait la demande de justification du salaire d’un « chargé de projet » lequel devait émarger à 7.800 euros par mois. On apprendra à la fin de l’été, qu’en fait, la prise en charge des 300 mineurs isolés dans le département atteindrait la somme de 24 millions, soit 80.000 € par mineur et par an, sans compter les subsides venant des autres collectivités.
Richard Roudier après avoir interrogé le personnel, incapable de répondre (en l’absence du directeur), juché sur une table, faisait une brève allocution au cours de laquelle il dénonçait les agressions commises dans le quartier Gambetta (et en particulier l’agression au couteau par de jeunes migrants d’un militaire de l’opération sentinelle). Interpellant le Conseil Départemental, bailleur de fonds de l’association RAIH, il exigeait que les contribuables héraultais soient informés du coût réel de cette mise de fonds ainsi qu’un Compte-rendu d’activités.
L’intervention intégralement filmée ne durait pas plus de 5 minutes, l’opération menée s’était effectuée sans violence et sans haine, à visage découvert (attestée par les PV de police et les sites gauchistes), se limitant à quelques jets de tracts et de papiers multicolores trouvés sur les tables. Certains idiots utiles pourraient penser que cette opération était négative, mais comme toute opération d’agit-prop, elle ne peut s’évaluer qu’à l’aune des résultats.
1°) Le coût humain
Deux cadres, Richard et Olivier Roudier sont convoqués au Tribunal de Montpellier le 5 décembre 2017. En outre, à l’issue de sa garde à vue, Richard a subi une violente agression accompagnée d’actes de barbarie et de non-assistance à personne en danger de la part de deux policiers de garde au dépôt du Palais de Justice, ce dont il gardera les séquelles. Ces deux militants bénévoles ont payé de leur personne pour défendre l’intérêt général en alertant sur le gaspillage de l’argent public.
2°) Retombées médiatiques
La presse de propagande, que le système qualifie « d’information », ignore les activités de la Ligue sauf lorsqu’elle peut en tirer parti pour lui nuire. Les communiqués ne passent jamais, les conférences n’ont aucun écho, mais pour la visite au RAIH, quel festival ! En fait, l’action a consisté à visiter un local ouvert au public, aux heures d’ouverture, sans menace ni violence afin d’obtenir un compte-rendu d’activité. Côté médias, on s’est donné le mot… tous ont utilisé le terme impropre de « saccage » pour décrire quelques tracts et feuilles lancés en l’air.
Citons de manière non-exhaustive : Midi Libre du 27/07, France-Soir du 08/07, 20 minutes du 25/07, E-Métropolitain le 11/07, Mediaterranéa le 11/07, LCI-ICI le 07/07. Anti K (NPA) s’y est joint avec un appel au rassemblement de soutien à RAIH, le 11 juillet, pour dénoncer cette « agression fasciste ». France bleu, présent au rassemblement le 11/07, a retransmis les prises de parole dont celle de Daniel Martin, directeur du RAIH, lequel dans sa plainte -non retenue- s’est estimé diffamé par des anti-démocrates. S’il y a eu appel à la haine, c’est bien de la part de ces sbires.
3°) Un succès pour la vidéo de la Ligue
La presse de propagande a pris acte de l’existence de la Ligue du Midi et, pour la desservir, a diffusé la vidéo de l’évènement publiée sur son compte Facebook, la démultipliant ainsi… Merci à elle. Ce faisant, elle a conforté le public dans l’impression qui se généralise, que l’immigration n’est pas un bienfait, que les jeunes migrants isolés ne sont pas encadrés, que l’argent du contribuable est jeté par les fenêtres, que le Conseil Départemental de l’Hérault, qui distribue les subventions, n’en contrôle pas l’utilisation ou bien « laisse pisser » sciemment !
Cette vidéo a obtenu 140.000 vues (FB + Youtube). Faut-il voir dans le succès de la Fête de la Ligue en septembre et des Assises de l’Enracinement en Octobre un effet de cette promotion médiatique ?
4°) Une action qui permet d’identifier et faire « sortir les loups du bois »
La collusion des lobbies pro-immigration avec les anarcho-gauchistes et la presse de propagande est patente. Les militants de la Ligue du Midi, par messages internet et commentaires, ont reçu insultes, menaces d’un niveau au-dessous de la ceinture de la part de débiles de type analphabète. Il n’y a pas eu un seul message de ces individus permettant d’instaurer un débat ou d’expliciter la démarche de la Ligue. De plus ces sinistres personnages se cachent derrière leurs sites internet pour établir et diffuser des fiches quasiment de police (NPA 34, la Horde, Le Poing). Et poursuivant leur rôle d’indics, ils les envoient aux autorités judiciaires (photos et identification à l’appui)… On a les noms…
Le site NPA 34, en poisson-pilote, a publié un appel à manifester en soutien « après l’attaque raciste contre le RAIH » et donné la très intéressante liste des signataires. On y retrouve la Cimade qui invitait tantôt la raciste-antisémite Bouteldja, le Syndicat des Avocats de France, le Syndicat de la Magistrature (celui des Cons du Mur), quelques syndicats de salariés et un communiqué de Daniel Martin le directeur, du RAIH lequel se prétend apolitique . Tous ces gugusses qui n’ont rien de bénévoles, en profitent pour demander davantage de subventions au Conseil Départemental. On apprend donc ainsi, qu’il y a des magistrats et des avocats qui se torchent avec les libertés publiques en l’occurrence la liberté d’expression…
Il apparaît ainsi aux yeux de tous que l’intérêt, pour ces gens, de voir augmenter le nombre de migrants -leur gagne-pain- est purement financier. Ces charognards se nourrissent des miettes de la traite humaine et négrière et, vue la disparition du prolétariat d’Europe, se repaissent de la misère du tiers-monde.
5°) Mise en évidence des atteintes à la séparation des pouvoirs
La députée Muriel Ressiguier (mélenchoniste) en mal de notoriété, publiait le 06/07 un communiqué demandant la dissolution de la Ligue du Midi. Plus grave, le Président élu du Conseil Départemental, Kléber Mesquida, s’est vanté d’avoir demandé au Procureur « la plus grande fermeté à l’égard de ces actes de violence et de vandalisme », se faisant retoquer par son opposition en Assemblée départementale, le 18 septembre, pour non-respect du principe de la séparation des pouvoirs, alors qu’il présentait une motion contre la Ligue du Midi. Sa plainte pour incitation à la haine, à la discrimination et à la violence n’a pas été retenue par le Parquet. Sur NPA 34 on peut même lire dans l’appel au Rassemblement du 11 juillet « une procédure soutenue par la préfecture a été lancée »… On espère qu’il s’agit d’un bobard, mais à ce jour, la Préfecture n’a toujours pas démenti. Cependant, force est de constater qu’après ce rassemblement (près de 40 personnes -quel triomphe !), tout ce joli monde s’est retrouvé autour d’un verre sous les lambris et les ors de la préfecture. Il ne faut dès lors pas s’étonner que la procédure déclenchée contre la Ligue, après être restée au point mort pendant 18 jours se soit trouvée relancée dare-dare…
A ce jour, le télescopage de faits divers violents, quasi quotidiens, de la part de migrants livrés à eux-mêmes, dresse un mur de la honte face aux mensonges des gauchistes et des médias de propagande du système et valide l’alerte que l’action de la Ligue du Midi a voulu introduire dans le débat public avec le succès qu’on connaît. La Ligue du Midi a confiance : la roue tourne… et l’ “affaire du doigt” est toujours au point mort depuis 130 jours. Richard Roudier, n’étant pas un migrant, ses tortionnaires sont toujours à l’abri alors que le policier qui a giflé un migrant hystérique a, lui, écopé de 6 mois de prison ferme plus mise à pied et tout un lot de mesures administratives. Voilà un nouvel exemple, si besoin était, de l’évolution du concept d’égalité dans notre pays…
Honte aux traitres magistrats qui ont poursuivi et condamné les actes de nos frères de la ligue. Lors de l’inauguration de la crèche de Béziers, en discutant avec le président, j’ai cru comprendre que des erreurs dans la procédure étaient susceptibles de conduire à la nullité de celle ci. Or, bizarrement, les juges n’en ont pas tenu compte et ont opté pour la condamnation pour montrer probablement l’exemple. Quel exemple !!! Un exemple de mentalité déplorable. En tant qu’ancien gendarme officier de police judiciaire, j’ai honte de voir que la justice est gangrénée à ce point et suis bien content d’être à la retraite. Il n’y a qu’une révolution qui puisse mettre un terme à cela.