mélanchon escroc

 

Le billet de Colette Mercier

 

MÉLENCHON est l’exemple même de la crapule politicarde incrustée dans le système, ses ors et ses prébendes. Cet escroc moral, qui n’a pratiquement jamais travaillé de sa vie et n’a jamais vécu que d’argent public, prétend pourtant représenter les classes populaires. MÉLENCHON est en fait un usurpateur, un imposteur qui les trahit depuis plus de 40 ans avec la régularité d’un métronome, conduisant toujours leurs voix vers la mondialisation et ses promoteurs.

 

Un psychopathe aigri, un complexe social inextinguible exprimé par la haine et la pulsion destructrice

 

C’est à la fin des années 60 que l’ancien enfant de chœur qui a servi la messe en latin, d’origine étrangère et issu d’un milieu modeste, a rejoint l’OCI (organisation communiste internationale) courant trotskiste de tendance lambertiste. Les pires de tous, « l’école du vice » dira plus tard à juste titre MITTERRAND.

L’école du vice car on y apprend l’entrisme, la prise de pouvoir à l’intérieur des organisations politiques, le noyautage, la trahison, l’éviction des adversaires politiques, le mensonge, l’inversion de la charge accusatoire, la réécriture marxiste de l’Histoire, l’agitation sociale, la manipulation et le conditionnement des masses. Mais surtout c’est une école de formation à la haine sociale, à la détestation de tout ce qui n’est pas soi-même, une école de formation au dynamitage et à la casse de toutes les structures des sociétés traditionnelles afin de nucléariser les individus et de les réduire à l’état de matière inerte, particulièrement la classe ouvrière et les couches sociales les plus fragiles. Le matérialisme absolu est bien le trait d’union entre les marxistes et les mondialistes. Rien d’étonnant donc à ce que leurs actions destructrices convergent.

Il est usuel de dire que ce genre de conversion à 180 degrés révèle toujours l’aigreur de caractère chez ces individus souffrant d’un lourd complexe social et pétris de jalousie morbide. Chez ces sujets, le besoin de revanche sociale ne peut s’assouvir que par une monomanie destructrice. C’est à ce titre qu’ils sont souvent les meilleures recrues de l’OCI. Souvent doués, mais très mal ajustés à titre personnel, mal dans leur peau, ils se considèrent comme injustement récompensés de ce qu’ils croient être leurs mérites. Cela se traduit par des frustrations et des complexes sociaux inextinguibles.

Chez ces gens, la pulsion morbide se traduit en pulsion de destruction sociale comme exutoire de leurs échecs et de leurs frustrations. Frustré et aigri, MÉLENCHON est un haineux, un mauvais. C’est un cynique sans affect, un manipulateur pervers cyclothymique qui canalise ses troubles narcissiques en manipulant les autres et en les dupant sur leurs sentiments. Le plaisir morbide de MÉLENCHON réside dans la manipulation des classes populaires qu’il méprise profondément et qu’il trompe sans vergogne.

Son mépris est universel, il touche également ses collaborateurs, ses supporters, les journalistes, les policiers, les magistrats et finalement le monde entier.

L’insane révérence qu’il a faite à MACRON lors de leur récente rencontre « fortuite » à Marseille, nous indique ce qu’il révère au plus haut point et ce à quoi il aspire sans jamais pouvoir l’atteindre. Tel le gueux souffrant du complexe de ses origines, MÉLENCHON se voudrait être de la classe supérieure, il se voudrait être MACRON, il se voudrait rayonner de grâce et de lumière. Malheureusement pour lui, malgré ses dons, il ne se donne à voir qu’en Quasimodo et le plus souvent qu’en DE FUNÈS dans ses plus beaux rôles de veule et de traitre. Comme on a pu le voir, directement confronté à MACRON, MÉLENCHON s’est transformé en limande suscitant l’hilarité générale.

 

Un psychopathe bipolaire

 

MÉLENCHON appartient à la catégorie de psychopathes bipolaires. Tout dans sa personnalité, ses excès et sa vie personnelle le démontre. Toute sa vie il a oscillé entre le besoin d’appartenir à l’oligarchie, celui de dominer, d’écraser, et sa nature profonde qui est la soumission. Le nom de la FRANCE INSOUMISE est à lui seul une escroquerie car MÉLENCHON est totalement soumis à la mondialisation dont il est un contributeur objectif.

Sa constante défense de l’immigration sans contrôle en est une des preuves. MÉLENCHON vend les voix des classes populaires à l’oligarchie, il les canalise vers les tenants de la mondialisation, comme il l’a fait en appelant à voter MACRON au second tour de la présidentielle. MÉLENCHON crée les conditions de l’écrasement des classes moyennes et populaires en favorisant de manière constante la submersion migratoire. C’est là que réside sa plus grande escroquerie à la morale et aux sentiments.

 

La trahison des classes populaires et le soutien de la mondialisation, fils conducteurs de sa vie

 

Le jeune Mélenchon apprend vite. Au tournant des années 70, la casse définitive de la société LIP de Besançon sera son premier fait d’arme en tant que destructeur social. Pendant des années, lui et ses affidés locaux ont œuvré à endoctriner et à enrager les ouvriers de cette entreprise autrefois florissante et à les conduire à leur propre perte. Occupation, manifestations monstres, le joli travail d’endoctrinement des ouvriers bisontins a interdit toute solution de continuité. Avec MÉLENCHON et l’OCI à la manœuvre pour radicaliser le personnel dans une lutte suicidaire, pas un seul investisseur, pas un seul preneur de risque n’a pu sauver LIP… Résultat ? Ce fleuron disparaît et avec lui, c’est toute la région qui est définitivement sinistrée. Les familles des ouvriers de LIP et de la région peuvent remercier le camarade MÉLENCHON. La casse de LIP restera comme un des premiers marqueurs des effets de la mondialisation et de la destruction du tissu industriel français. MELENCHON en aura été un des principaux artisans et donc un précieux auxiliaire des premiers mondialistes.

Ce bien triste combat amènera très vite le camarade Jean-Luc à quitter Besançon. Retournement de veste, il quittera également l’OCI et expliquera qu’il abandonne le léninisme et qu’il n’a jamais cru en l’avant-gardisme. Dès les premiers pas, la trahison apparaît dans l’ADN de MÉLENCHON.

Traître à sa classe, traître à son organisation de jeunesse, le jeune Jean-Luc prend la fuite et court se réfugier à la mangeoire du PS où il devient rapidement un dirigeant du courant Mitterrandiste de l’Essonne. Dûment instruit des méthodes d’entrisme et de destruction de l’OCI, il s’incruste en s’opposant à la gauche du parti, à la deuxième gauche rocardienne, au CERES (Centre d’Etudes, de Recherches et d’Éducation Socialiste) de CHEVÊNEMENT, et à la rocardienne Marie Noëlle LIENEMAN. On est alors dans le milieu des années 80.

 

Partisan du « tournant de la rigueur »

 

Il intègre la loge maçonnique Roger LERAY du GODF (Grand Orient de France) dont Il ne tarde pas à prendre ses distances mais réussit tout de même à se faire élire sénateur en 1986. Il le restera plus de 20 ans.

En 1992 il appelle à voter pour le traité de MAASTRICHT, nouvelle trahison majeure de la classe ouvrière et plus largement du peuple de France. Nouveau revirement, nouvelle trahison, tout en continuant à défendre l’existence de la monnaie unique, il fait mine de regretter son choix sur le traité de Maastricht et dépose avec la Gauche socialiste un amendement, intitulé « Tourner la page de Maastricht », à une convention du PS de 1996. En 1997, MÉLENCHON sera un soutien du mondialiste FABIUS pour l’élection présidentielle.

Il serait trop long d’établir la liste intégrale des zigs et des zags de MÉLENCHON au sein des appareils politiques, celle de ses trahisons et de ses retournements de veste. Une seule chose est certaine, de la casse de LIP en passant par le soutien au traité de MAASTRICHT, à la monnaie unique, à FABIUS et finalement, chef d’œuvre de sa vie politique celui à MACRON, tous les actes politiques déterminants de la vie de MÉLENCHON sont restés sur une ligne constante : celle de la trahison des classes populaires, et du soutien permanent à la mondialisation et aux mondialistes.

 

Un délinquant toujours présumé innocent

 

Avec deux enquêtes judiciaires simultanées sur le dos, l’une pour fraude sur ses comptes de campagne et l’autre pour soupçons d’emplois fictifs au parlement européen, MÉLENCHON s’avère être une crapule de la même espèce que les pires autres de la politique. Rien ne l’en différencie. Miracle de notre droit, comme les autres il reste présumé innocent.

 

Un personnage extrêmement dangereux

 

Le spectacle qu’il vient de donner où il a abandonné toute dignité personnelle, se vautrant dans l’indignité qui lui est consubstantielle, a de quoi inquiéter. En cause : sa santé mentale et les dangers extrêmes qu’il pourrait représenter si par malheur il venait à conquérir le pouvoir.

Par ailleurs son soutien aux pires dictateurs marxistes d’Amérique Centrale et du Sud, MADURO en tête, nous fait craindre le pire. Avec MÉLENCHON au pouvoir, nous verrions très rapidement la misère la plus noire s’installer dans le pays et les gens fuir pour ne pas crever de faim. Enfin, avec un tel psychopathe bipolaire au pouvoir, le pays sombrerait immédiatement dans une des pires dictatures de l’Histoire.

Par chance, le triste spectacle qu’il vient de donner, a fini par lui faire perdre toute crédibilité.

 

Arrêt net en urgence absolue

 

Il est de salut public et de la responsabilité de ses supporters issus des classes populaires de lui retirer leur soutien et de l’arrêter net. Tout ce qu’a pu faire MÉLENCHON au cours de sa vie politique n’a fait que contribuer à les déclasser, à les ruiner, à les trahir ; au point qu’aucune confiance ne peut plus lui être accordée. L’usurpation, l’imposture doivent prendre fin.

Ce traître à sa classe, ce dangereux psychopathe doit être définitivement sorti de la vie publique.

 

 

Il appartient désormais à ses supporters de sortir de l’hébétude et de se tourner vers les seuls mouvements populistes qui les représentent vraiment : ceux qui prônent l’arrêt de l’immigration de masse qui ruine les classes populaires au seul profit des mondialistes.

Faites connaitre notre site, partagez !