Le billet d’Eric de Verdelhan

 

« Une loi ne pourra jamais obliger un homme à m’aimer mais il est important qu’elle lui interdise de me lyncher… » (Martin Luther King)

 

Dans un article récent, j’ai dit tout le mal que je pensais des « avancées sociétales » qui nous arrivent des États-Unis. Et, bien évidemment, il s’est trouvé quelques grincheux – hermétiques à l’humour – pour me dire que je me trompais de combat et que… je faisais « le jeu de l’Islam » (???).

Diantre ! Je m’inquiète et je dénonce la montée de l’islam conquérant depuis 40 ans. A cette lointaine époque, la plupart des contributeurs de « Riposte Laïque » étaient encore de gauche et mes proches me traitaient presque tous de « facho ». Des années plus tard, je continue à penser que la dépravation des mœurs de l’Occident fait le jeu d’un Islam (en apparence) plus rigoriste.

Et je voudrais que les imbéciles qui commencent (enfin !) à se préoccuper de l’immigration-invasion que nous subissons chez nous se posent la question de savoir à qui profite le crime ? Car le « remplacement de population » n’est pas un fantasme de vieux réacs !

Mais ceci mériterait un long développement. Ce n’est pas l’objet de cet article.

Aujourd’hui, j’ai décidé de « dézinguer » une icône américaine, devenue un monument, une référence mondiale ; le chantre du pacifisme et de l’antiracisme : le révérend Martin King.

Depuis la campagne « Me too », devenue chez nous le vulgaire « Balance ton porc », notre société de Tartuffes fait semblant de découvrir qu’il faut « coucher » pour réussir dans le monde du cinéma, du spectacle et de la politique. Comme on n’ose pas condamner les « violences faites aux femmes » dans les banlieues de non-droit, on mélange allégrement tout : la galanterie, la drague un peu lourde, la « promotion-canapé », les attouchements dans le métro et les viols en « tournantes » dans les caves des HLM de banlieues. Personne ne saurait nier, ni même minorer, minimiser ou banaliser les actes sexistes ou machistes mais, de grâce, arrêtons de tout mélanger !

Pour voler au secours de la pauvre donzelle malmenée par l’immonde macho, il y a… Marlène Schiappa qui vient régulièrement sur les plateaux télé nous dégoiser des lieux communs et des fadaises sur le féminisme. Au sujet du meurtre de la jeune joggeuse Alexia Daval, elle a dénoncé un « atroce féminicide » ; il fallait le trouver ! Elle oublie de nous dire qu’en 2010, elle a publié un livre intitulé « Osez l’amour des rondes » (éditions « La Musardine »), dans une collection de vulgarisation des pratiques sexuelles.

A l’époque, elle ne voyait pas encore des porcs partout ?

Les porcs ont pourtant (hélas !) toujours existé. Même le révérend Martin Luther King !

« I have a dream » c’est le nom donné au discours prononcé le 28 août 1963 par le pasteur King (qui se faisait appeler Luther King), à Washington, devant 250.000 manifestants. Il réclamait la fin du racisme aux États-Unis et revendiquait l’égalité des droits civiques entre Noirs et Blancs. Ce discours est, depuis, considéré par la « bienpensance » – celle qui idéalise Che Guevara, Fidel Castro, Malcom X, Angela Davis et quelques autres – comme « l’un des discours les plus importants du 20ème siècle », excusez du peu !

Le pasteur King est mort assassiné le 4 avril 1968 à Memphis (Tennessee). Les pacifistes, les antiracistes et les « gauches » en général en ont fait un martyr opposé à toutes formes de violences.

Mais la réalité historique a démontré que, derrière cette icône de l’antiracisme, se cachait un dépravé, alcoolique, amateur de prostituées blanches – qu’il battait régulièrement – en plus d’être sous la tutelle de communistes (contrôlés directement par Moscou). C’est précisément en raison de ses vices que l’URSS s’appuyait sur lui pour agiter les minorités noires et déstabiliser, par la même occasion, le gouvernement américain. Ce personnage sulfureux ferait l’objet, de nos jours, des mêmes accusations que le producteur Harvey Weinstein ou Tariq Ramadan…

A des années-lumière des préceptes qu’il aimait à prêcher, ses activités et fréquentations louches allaient écailler son aura et titiller la curiosité du FBI, dont l’un des chefs était alors un certain William C. Sullivan, qui se qualifiait lui-même de « libéral ». Il avouait « avoir une certaine sympathie pour King, qu’il voyait comme parfait leader des Noirs en quête de droits civiques ». Il découvrit que le charismatique prêcheur, si vénéré pour sa droiture, détournait sans vergogne de fortes sommes destinées à la communauté noire, les utilisant de surcroît, à des fins peu honorables. William C. Sullivan devait déclarer :

« King est l’une des rares personnes complètement dégénérées que j’ai rencontrées… Il s’est aliéné l’affection de nombreuses femmes mariées et en a séduit d’autres, faisant aussi conduire à son hôtel nombre de prostituées, souvent deux à la fois, pour des parties qui pouvaient durer plusieurs jours… King passa sa dernière nuit avec deux prostituées blanches et d’une autre, battue et abusée, dans une chambre du motel Lorraine, à Memphis (Tennessee)… ».

King a également été l’« idiot utile » de l’URSS : dès les années 20, les intellectuels engagés auprès du Parti Communiste des États-Unis, appuyèrent les revendications des minorités raciales.

Pour être exact, ils les organisèrent. Luther King était entouré de conseillers membres du Parti Communiste. C’était le cas de son secrétaire, Stanley Levinson. Levinson recevait des fonds d’URSS via un autre communiste, Isidore Needleman. Ce dernier était un agent du KGB qui travaillait pour une compagnie achetant des biens de production américains pour l’exportation vers la Russie soviétique. C’est ce qu’apprit le FBI lorsqu’il infiltra le PCUS1.

Luther King, totalement corrompu et amateur de prostituées blanches, accepta de nommer à de nombreux postes de son organisation des membres du PC, moyennant finances bien sûr ! Bref, Martin Luther King n’était qu’un pantin aux mains de l’URSS…

Pornocrate et agitateur procommuniste : deux bonnes raisons pour que la gauche en fasse une icône. De surcroît, il était noir et luttait contre le pouvoir blanc.

Quand on connait les vices de Luther King, on reste perplexe à la lecture de son fameux discours « I have a dream ». Quand il dit, par exemple : « Je rêve qu’un jour, même en Alabama, avec ses abominables racistes, … un jour les petits garçons noirs et les petites filles blanches pourront se donner la main, comme frères et soeurs… ».

Ce prédicateur vicieux aimait s’enfermer avec des prostituées blanches et les violenter pendant des heures : on est loin des relations qu’il prônait entre « petits garçons noirs » et « petites filles blanches ». On ne peut s’empêcher de penser aux leçons de morale d’un autre prédicateur, le « frère » Tariq Ramadan qui, en bon théologien de l’Islam, invite les musulmans à la fidélité dans le mariage.

Décidément, la gauche, moralisatrice, parangon de vertu et donneuse de leçons, a toujours le chic pour porter aux nues, aduler, glorifier et idolâtrer des planches pourries.

Note :

1. PCUS Parti Communiste d’Union Soviétique

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