La banderole dérobée aux antifas est fièrement arborée par les patriotes la tête en bas comme il se doit en cas de grande défaite
Communiqué de la Ligue du Midi
(d’un de nos correspondants à Toulouse)
C’est dans ces moments-là qu’on peut constater le lent travail de sape des cloportes d’extrême gauche sur le cours des évènements. Sachant que leur objectif premier est de faire comme le leur enjoignent leur mentor Macron et les multicapitalistes à la Soros : faire capoter les manifestations anti passe, anti-vaxx et anti mondialistes.
Depuis le pic de mobilisation autour du 15 aout, en pleine période de vacances, les chiffres sont éloquents puisque le nombre des manifestants était divisé par deux et en particulier à Montpellier, Bordeaux et Toulouse où les crasseux d’extrême gauche n’ont cessé de déclencher altercations et agressions visant à s’assurer le monopole de la contestation provoquant le retrait de la population à caractère familial.
C’est ce qui s’est passé ce samedi 11 septembre à Toulouse où comme à l’habitude les gauchistes prenaient la tête du Cortège arborant une banderole qui ne pouvait prêter à équivoque avec son slogan : « A bas l’état, les flics et les patrons – Révolution sans frontière ».
Les patriotes toulousains en délégation demandaient alors poliment de ranger la banderole puisque les manifestations anti-passe sont ouvertes à tous et qu’aucun groupe ne peut se mettre en avant pour « vendre » sa petite camelote. Pour toute réponse ils furent reçus par des lances en bois de 3 mètres de long et voilà comment on transforme une manifestation pacifique en pugilat de plusieurs centaines de protagonistes.
Mais cette fois-ci le rapport de force numérique n’était pas en faveur des crasseux qui se virent rapidement chassés sur les trottoirs, certains, même, glissant sur le sol mouillé en raison d’une légère averse matinale. Instant particulièrement magique où l’on put voir drapeaux français et occitans chasser le drapeau rouge du nihilisme révolutionnaire. Une petite escouade de policiers parvenait à grand peine et à coups de gazeuses à dégager les « apprentis révolutionnaires » en très grandes difficultés.
Nos camarades qui n’étaient pas venus pour ça, se sont alors retirés en bon ordre pour manifester ailleurs lançant une dernière charge sous une pluie de projectiles divers et variés, mais arrachant au passage la fameuse banderole qui avait été à l’origine des hostilités. Une fois encore les policiers ayant reçu des renforts auront évité, à moitié, une humiliation qui aurait pu être encore plus sévère. La journée se terminait par une grandiose photo de famille sur le cours Jean Jaurès.
Dans la soirée, on apprenait qu’une rafle policière diligentée par le parquet s’était produite dans un pub situé largement en dehors du périmètre de la manifestation, à la recherche de jeunes patriotes. Cinq garçons étaient interpelés qui auraient dû être jugés ce lundi en comparution immédiate, mais les preuves paraissaient assez minces. D’ailleurs un plaignant prétendant avoir été agressé avait déjà été écarté, lequel avait donné une heure et un lieu ne correspondant pas à la réalité des faits ainsi qu’aux images de vidéo-surveillance. Cerise sur le gâteau, une erreur survenue au moment de la Garde à vue était susceptible de « canceler » l’ensemble de la procédure. Les jeunes patriotes ont donc été relâchés lundi en fin de soirée et l’on est en droit d’espérer que les poursuites se dégonfleront comme se sont dégonflés, les vantards marxistes, gauchistes et antifas toujours prompt à se cacher derrière les forces de l’ordre qu’ils conchient pourtant abondamment.
Les Français auront une fois encore pu constater la mansuétude des autorités préfectorales à l’égard des organisateurs d’une manifestation non déclarée et interdite par le préfet lui-même : une fois encore les provocateurs gauchistes n’ont pas été inquiétés alors qu’ils arboraient des javelots et des manches de pioche.
Signalons qu’à Montpellier on attend toujours le déclenchement des poursuites contre les agresseurs identifiés de Richard Roudier et de l’organisateur de la manifestation du 21 aout par des antifas alors que des plaintes en bonne et due forme ont été déposées.
Richard Roudier tient à exprimer sa sympathie et sa solidarité envers les jeunes patriotes injustement poursuivis à Toulouse qui ont été privés de liberté durant les 48 heures de Garde à vue.