Journal Morphéus : Diatribe morphéusienne

Après la covid-19 issue d’un rapport non protégé entre une chauve-souris et un pangolin, nous voici avec la variole du singe. Un animal retors et complotiste aurait refusé de se faire vacciner. Résultat : après avoir mangé des fruits non aseptisés et sans « gène terminator », il s’est retrouvé couvert de pustules. Il a transmis sa maladie à ses congénères. Un gorille contaminé et amouraché d’un humain lui aurait transmis la variole. C’est ainsi que fut franchie la barrière de l’espèce selon les premiers éléments d’enquête. Gare aux gorilles !

Nous avions connu la grippe du porc, la grippe du canard et de la poule, la maladie de la vache folle. En Chine, pour éviter toute contamination, les animaux domestiques sont sommairement abattus.

On signalerait en Afrique le « coryza virulent » du rhinocéros. Nous n’osons imaginer comment une telle maladie a pu être transmise à l’homme.

La cruauté du monde animal amène régulièrement son lot de virus et de bactéries pathogènes en direction d’une humanité victime de mère Nature. Pourtant, l’humain se protège avec plus de 500 laboratoires P4 cultivant tous les virus et bactéries les plus virulents de la planète. Il prépare des vaccins avant que les virus ne franchissent la barrière de l’espèce. Malgré ce gigantesque effort pour notre survie, nous avons pandémie sur pandémie. L’homme est donc condamné à s’injecter toute sorte de soupes vaccinales de la naissance à la mort.

Dans cette guerre contre Dame nature, nous ne savons pas qui survivra entre le règne animal ou celui de l’humanité.

Gageons que notre élite politique — qui a su magnifier le « vivre ensemble » avec le miracle des cercles vertueux de la mondialisation — saura répondre à la menace que représente votre cochon d’Inde dans sa cage ou celle de votre poule pondeuse au fond du jardin.

Nous pouvons compter sur nos politiciens pour pondre des lois afin de nous protéger ; les animaux n’ont qu’à bien se tenir…

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