D’après Antonin Campana

Face à un gouvernement de psychopathes manipulateurs et pervers, manipulé par un cartel oligarchique encore plus psychopathe et pervers que lui – c’est dire ! – nous pouvions penser, jusqu’à présent, qu’un certain nombre de digues pouvait protéger la population de la souillure qui coule de ce tas d’immondices.

Il n’en a rien été !

Le Parlement, le Sénat, le Conseil d’Etat, le Conseil constitutionnel… depuis longtemps nourris de ce jus de charogne ont trouvé bon qu’on nous l’injecte de force.

Le Conseil national de l’Ordre des Médecins, malgré le serment d’Hippocrate, le code de Nuremberg et la Déclaration d’Helsinki, a soutenu le fétide, sanctionnant même ses membres les moins zélés.

Les syndicats, déjà aveugles et sourds depuis les Gilets jaunes, ont fait mine de ne rien sentir de la puanteur oligarchique qui se répandait.

Comme Esaü échangeant son droit d’aînesse contre un plat de lentilles, la population, depuis longtemps zombifiée, a gentiment échangé, moyennant l’injection des putrides matières, son droit à la souveraineté contre le droit de boire un café à la terrasse des bars. Ainsi font les esclaves.

Pour le reste, entre ceux qui aspirent à garder leur liberté et l’oligarchie qui aspire à la restreindre, il n’y a finalement, pour les séparer, que les agents des « forces de l’ordre ». Mais ceux-ci, soumis à leurs hiérarchies, confirmant à chaque occasion les résultats de l’expérience de Milgram, sont, comme nous l’avions anticipé, de bons chiens de garde. Ils serviront leurs maîtres dussent-ils se faire injecter, dussent-ils faire injecter leurs enfants. Ce ne sont pas nos amis.

Brefs, les Résistants sont comme des naufragés perdus dans un océan d’excréments. Que peuvent-ils faire ? Médias, Justice, gouvernement, partis, syndicats, police, antifas… agissent de concert et font système. Toute action frontale est vouée à l’échec. Nous pouvons manifester pendant dix ans tous les samedis, cela ne changera rien !

Notre seule chance, et c’est pitié de dire cela, est une hécatombe de vaccinés. Si dans chaque famille (y compris dans celles des flics et des journalistes !), un frère, un père, un enfant, décèdent des conséquences directes ou indirectes de la « vaccination », alors la situation et le rapport de forces pourraient être très différents. Le ton pourrait changer. En serons-nous là cet automne, à l’occasion d’un nouveau variant que des systèmes immunitaires artificiellement modifiés ne sauraient combattre ? Faut-il le souhaiter ?

Quoi qu’il en soit, le désespoir n’est pas une option. La restriction des libertés ne doit pas nous enlever notre liberté. Nous avons toujours le choix, même si celui-ci est parfois difficile, voire cruel. Perdre son emploi est dramatique, mais ce peut être aussi l’occasion d’un nouveau départ et d’une indépendance retrouvée. Ne plus aller au cinéma, au restaurant ou en vacances est un léger inconvénient. C’est surtout une bonne occasion de trier ses amis et de se retrouver ensemble. Dans le pire des cas, peut-être serons-nous obligés de quitter la France ? Et alors, quelle importance si la France est devenue un système concentrationnaire ? D’autres l’ont fait, en leur temps et pour des raisons très similaires, voyez les huguenots. Si l’important est notre liberté, cette liberté que nous proclamons chaque samedi, alors personne ne peut nous l’enlever, pour peu, là est le sacrifice à faire, que nous sortions du jeu, que nous ayons la volonté de refuser s’il le faut les avantages que nous donne cette société. Il sera toujours possible de ne pas se faire injecter, il sera toujours possible de ne pas faire injecter ses enfants. Le coût social, nous le savons, sera de plus en plus élevé. Mais, perdre son travail, sa maison, ses biens, son pays failli n’est rien. Garder à sa famille et à ses enfants la possibilité d’un destin est tout.

L’animal domestique a une laisse mais sa gamelle est toujours pleine, il a un toit qui l’abrite et des maîtres qui le caressent. L’animal sauvage connaît souvent la faim, le froid et les balles de ceux qui le chassent. Cependant, celui-ci est libre. Voulons-nous une existence plus incertaine, plus difficile, mais libre, ou une vie paisible et assurée, mais dépendante d’une laisse électronique à base de QR-Code, une vie qui durera jusqu’à ce que nos bons maîtres s’ennuient de nous et nous fassent piquer ?

Le choix à faire est un choix personnel. Les zombies l’ont fait sans conscience. Les hommes libres doivent le faire en conscience, en fonction de leur situation, et sans être jugé par quiconque.

En attendant, il faut continuer à manifester, non parce que manifester pourrait ébranler le pouvoir, qui s’en moque, mais pour connaître des gens, pour constituer des réseaux au niveau local, pour se renforcer psychologiquement, pour rompre la stratégie de dissociation des individus que mène le pouvoir républicain depuis deux siècles.

Apprenons à sortir du jeu. Apprenons la sécession. Apprenons la liberté !

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