Film Silenced de Tommy Robinson : Le Poing, les « trois points » et les édiles

En cette mi-février, la Ligue du Midi projette d’organiser la projection du film SILENCED de Tommy Robinson, dans une salle privée de Castelnau-le-Lez, dans l’Hérault. Aussitôt, les représentants du Grand Orient de France font savoir qu’ils désapprouvent -à quel titre- cette projection, relayés sans attendre par le Midi Libre et appuyés par la gauchiasserie héraultaise avec ses médias spécialisés. Avant même que le maire de Castelnau-le-Lez prenne quelque décision, le Midi Libre annonce qu’un arrêté municipal va interdire la projection. Les médias nationaux et même internationaux s’emparent de l’affaire, donnant au film de Tommy Robinson et à la Ligue du Midi une publicité inespérée. Puis le maire de Castelnau-le-Lez rédige un arrêté municipal pour interdire cette manifestation, sans même en indiquer le lieu précis dans sa commune, qu’il semble donc ignorer.

 

Jusqu’à il y a peu, ils avançaient masqués pour imposer leurs lois. Aujourd’hui ils ne se cachent même plus, ce qui indique soit une assurance présomptueuse, soit la rage de la bête prête à tout parce qu’elle est au bord du précipice. On aura reconnu, dans cette description, les gauchiasses antifas du blog LE POING de Montpellier, qui relayent une information du groupuscule basé dans l’ouest, intitulé BASTION DE RESISTANCE, organisés en bandes de malfaiteurs haineux et destructeurs à la solde du pouvoir, mais aussi des francs-macs avec leurs belles vitrines de loges respectables.

 

Dans cet arrêté qui vaut son pesant de cafards grillés, il invoque une foule de raisons aussi variées que peu convaincantes et probablement non défendables en droit. Leur nombre et celui des pages suffit à le discréditer, tant il est visible qu’une petite foule de gratte-papier du niveau intellectuel d’un bulot s’est rassemblée pour pondre cette prose à la Prévert. Précision importante : le film disponible sur YouTube n’est initialement pas traduit ni sous-titré, et il faut donc une solide connaissance des langues anglaise et irlandaise pour comprendre les dialogues, d’autant plus qu’ils sont souvent très rapides. Le film dont dispose la Ligue du Midi et que l’on peut visionner avec Riposte Laïque comporte un sous-titrage, que l’on lit parfois incomplètement tant il disparaît rapidement pour suivre images et dialogues. Bien sûr l’argument passe-partout est invoqué, celui du trouble à l’ordre public. Cette projection prévue sous conditions de volontariat, d’inscription et de paiement, dans un lieu privé (le Parti Socialiste dira : semi-privé), protégé par un service d’ordre ne peut évidemment pas constituer un trouble quelconque. Sauf si la gauchiasserie menace d’organiser une contre-manifestation qui, comme souvent et à peu de frais, suffit aux décideurs pour interdire ce qui est prévu légalement et selon les règles.

 

Précision croquignolesque :  alors que le maire PS de Montpellier félicitait son collègue de Castelnau pour sa décision d’interdiction, le film était en train d’être projeté en plein centre de sa propre ville, dont il est censé être l’édile. C’est l’histoire de « l’arroseur arrosé » des Frères Lumière. Nous tenons tout de même à remercier Mickaël DELAFOSSE pour la gratuité dans les tramways et souhaitons qu’il étende cette mesure au stationnement dans les parkings pour le deuxième épisode du film…

 

Comme la Ligue du Midi n’est pas sans ressources ni sans prévoyance, un autre lieu est utilisé pour la projection du film. Éric MAUVOISIN-DELAVAUD, président du Rassemblement Vendéen vient présenter le film, ainsi que son association. Il manque juste quelques personnes par rapport au nombre prévu. On note la présence de plusieurs représentantes du collectif Némésis. Devant la publicité orchestrée par les francs-macs, les gauchiasses, les médias et le maire de Castelnau-le-Lez, il est décidé de donner suite à la projection du film dans plusieurs localités d’Occitanie, l’une est déjà programmée avec l’accord d’accueil d’un allié sûr et fidèle dans une fort belle demeure. D’autres suivront et soyons sûrs que de vrais Français patriotes sauront braver intimidations et menaces, comme cela s’est déjà fait, pour accueillir le film dans leurs locaux afin que tous puissent se rassembler autour des vérités dénoncées dans le film.

 

Notons que ce n’est pas la Ligue du Midi qui empêche les réunions des autres et que, contrairement aux anathèmes surfaits lancés par les nouveaux inquisiteurs, Il s’agit de l’œuvre d’un vrai journaliste d’investigation, Tommy Robinson, qui paie le prix fort pour avoir présenté la vérité sur une affaire où l’on dénonce des individus, non pas à propos de ce qu’ils sont mais de ce qu’ils font. Le prix fort est peu dire : prison à répétition, menaces de viols et de mort contre son épouse et ses enfants, divorce, banqueroute personnelle, santé dégradée, amendes exorbitantes malgré sa ruine financière, persécutions policières, acharnement judiciaire. Ainsi un juge à face de citrouille, enrobé dans son hermine comme un cochon dans son lard, a-t-il décidé que les gens venus témoigner que Tommy Robinson avait réalisé un authentique et sincère reportage d’investigation avaient menti. Ils avaient pourtant témoigné d’une imposture où une petite racaille présentée comme victime par les médias de grand chemin était en vérité un agresseur à répétition. Mais appartenant à la diversité, il était intouchable, tout comme les gangs à majorité pakistanaise ayant violé et parfois assassiné des centaines de fillettes de toute une génération le sont aussi. La vérité dérange les francs-macs et les gauchiasses. Elle dérange aussi certains élus dans leur pantouflage tranquille. Regardez le film de Tommy Robinson, interdit au Royaume-Uni et pour la diffusion duquel il est en prison. Regardez la vérité, les moyens employés pour taire les ravages de la diversité n’ont pas fini de vous surprendre.

 

Précisons enfin que le film s’est déroulé dans un silence de catacombe devant une salle comble (avec des spectateurs debout) ; et que le débat qui s’en suivit fut long, et passionnant et qu’aucun gauchiste ne se pointa, nous évitant d’avoir à désinfecter la salle de réunion que nous avait alloué un commerçant de la ville.

Article de Riposte laïque

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