Général Christian Piquemal, Richard Roudier, Olivier Roudier à la manœuvre sous l’averse.

 

        Malgré de fortes averses, la Ligue du Midi était présente au Rond-Point du Prado à Marseille pour dénoncer les incohérences et les subterfuges d’Emmanuel Macron, candidat des beaux quartiers à l’élection présidentielle.

        Celui qui a été omni-présent à l’Elysée pendant prés de 4 ans et demi veut nous faire croire qu’il est un “jeune perdreau de l’année” en politique et qu’il propose une rupture avec le pouvoir socialiste omettant de rappeler cette phrase de François Hollande “Macron c’est moi !”.

        Il semblerait que l’échec, reconnu par la plupart des médias, du meeting de Marseille soit le point de départ de l’effritement du candidat, qualifié depuis lors de “ Micron en Marche arrière”. Une salle aux trois quarts vide (2.500 personnes) alors que les premières dépêches d’agences en indiquaient 7 à 10.000; une ambiance morose, des spectateurs qui quittent la salle par grappes au bout de 10 minutes; un discours calqué sur François Hollande encore plus creux qu’à l’accoutumée … et une tentative de faire peuple avec un pathétique “on craint degun” qui faisait penser plus  à Monsieur Brun qu’à un pêcheur du bar de la Marine.

        Preuve de cette dégringolade, plusieurs reportages de médias montrant les spectateurs quittant la salle et d’émissions en plateau (y compris sur des chaines TV de propagande), où le bellâtre se fait dézinguer, ont été supprimés sous un vague prétexte de droits d’auteur qui n’a convaincu personne.

        Une joyeuse ambiance, malgré la pluie, chez les contre-manifestants en présence du général Christian Piquemal, de David van Hemelryck qui organisa un lancer de tomates sur un portrait géant et de plusieurs centaines de chauffeurs de taxi et de leurs véhicules (sirènes et pétards en action).
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