Extraits du discours de Joachim Boumaza, samedi 22/01 à Narbonne
Hier, 21 janvier 2022, la nation célébrait la mort du monarque, aujourd’hui nous célébrons la mort de nos droits civiques. Hier nous étions des millions contre le gouvernement, pour nous battre contre la misère sociale, aujourd’hui nous sommes des milliers à nous défendre contre des millions de citoyens, qui ont préféré l’asservissement au salut du peuple.
Où sont les citoyens de 2015, qui scandaient haut et fort face à la barbarie « nous préférons mourir debout que vivre à genoux » ? où sont les restaurateurs, les patrons de bars et de discothèques ? où sont ces gens, qui nous ont demandé d’être solidaires de leur détresse ?
où sont ces policiers, qui nous imploraient de les soutenir, quand leur droits étaient bafoués ?
Où sont ces politicards, qui nous racolaient en 2017 pour que nous votions pour eux et qui nous racolent aujourd’hui, encore, encore et encore…
Ceux de 2015 sont devenus les esclaves de la « machine en marche », avec le sourire en plus, juste pour avoir le droit de boire un verre dans une brasserie…
Eux, ils ont préféré la cupidité, l’individualisme plutôt que de nous soutenir, on ne les voit jamais dans la rue avec nous.
Les policiers préfèrent nous frapper, nous mutiler, ils nous traquent jusque dans les cinémas et les aires de jeux, là où s’amusent nos enfants, ils veulent nous forcer à nous faire injecter, avec des poisons nommés Pfizer, Moderna, AstraZeneca. Ils suivent aveuglément les ordres, en tous cas c’est leur justification. Rappelons-leur qu’à une certaine époque, ceux qui ont suivi ces mêmes ordres ignobles ont fini condamnés à Nuremberg.
Et puis il y a toujours les mêmes, les véreux, les profiteurs, les sournois, les députés, les maires, les ministres, qui s’engagent auprès de leurs amis plutôt que de leurs administrés.
Ils pensent que leur prime de 100 euros, payés avec les impôts -les impôts qui enterrent des millions de foyers-, suffiront-ils à nous faire oublier leur bilan de merde, leurs tares, leurs vices et leurs crimes.
En ce lendemain de 21 Janvier, nous pouvons dire à ces individus, ces nouveaux riches bien engraissés, dont les ancêtres ont fait tomber la tête du roy, il y a 229 ans, parce qu’ils en avaient marre d’être ignorés par les aristos, que nous, le peuple, pourrions leur réserver le même sort. Continuons le combat, continuons à les combattre…
Notre force c’est la parole, et la parole c’est le pouvoir au peuple !