Comment oser se présenter comme un démocrate quand on tente de faire taire un journaliste ?

La plainte de Jean-Luc Gleyze, Président du Conseil Général de Gironde, et ex-soutien du très immigrationniste Benoît Hamon, est un coup de couteau à la gorge de la démocratie.

La brève de François Jay

 

À  Bordeaux, mais aussi dans le reste de la Gironde, se déroulent quotidiennement des crimes et délits dont les auteurs sont des Mineurs Etrangers Non Accompagnés (Les « MNA »). Ces vols, violences, cambriolages, escroqueries, agressions à l’arme blanche se font généralement en bande. La police est dépassée par le phénomène. Des policiers nous ont déclaré : « nous ne nous occupons, presque plus, que d’eux ». Arrêtés, ils sont relâchés et recommencent immédiatement…

C’est le Conseil Départemental de Gironde qui est en charge de l’encadrement de ces mineurs. Les moyens financiers consacrés par cette collectivité, dirigée par Jean Luc Gleyze du parti socialiste, sont considérables. Plus de 50 000 € par individu et par an -4 fois le prix de revient d’un étudiant en classe préparatoire aux grandes écoles- !

Les contribuables, s’interrogent et ont des doutes sur l’utilisation de tout cet argent public, pris de force en taxes et impôts. Il est urgent que la Chambre Régionale des Comptes et l’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) enquêtent sur ces budgets énormes avec des résultats aussi lamentables.

Le culot de Jean Luc Gleyze !

Les girondins sont d’autant plus choqués par les résultats de l’action de Jean Luc Gleyze, qui vient de porter plainte contre Eric Zemmour, que ce dernier a « osé dire », sur Cnews, ce qu’une grande majorité de citoyens pense : à savoir que « tous ces clandestins mineurs devraient être expulsés ». Qui paye cette procédure initiée par Gleyze contre un chroniqueur, lequel ne fait que son travail d’information et de commentaire ? Si ce sont les contribuables girondins, il s’agit d’un véritable scandale. L’argent public n’a pas à servir des positions politiques, même si ce sont celles de Monsieur Gleyze, Président du Conseil Départemental de Gironde.

Ce que les girondins constatent, c’est l’échec d’un encadrement qui est hors de prix. On ne peut que déplorer que les multiples associations qui gravitent autour du Conseil Départemental et qui vivent grassement des subventions, n’aient pas un comportement plus limpide. Comme le disait, Christophe Adam Directeur d’Emmaüs Gironde, « le social est un marché dans lequel les assos se concurrencent comme des entreprises. Les pauvres font vivre beaucoup de monde ». Les électeurs constatent que les MNA qui devraient être reconduits à la frontière, comme tous les clandestins qui violent nos lois sur le séjour des étrangers, font vivre beaucoup de monde, et, « en même temps » pourrissent la vie des honnêtes gens. N’est-il point temps que l’IGAS, la Chambre Régionale des Comptes, le fisc, et certainement aussi le Procureur de la République, s’occupent de remettre de l’ordre dans ce petit monde associatif corrompu qui consomme les subventions publiques, verse à ses dirigeants de confortables salaires, et emploie les copains et militants politiques ?

 

Si rien ne bouge, faudra-t-il aller jusqu’à une plainte des victimes devant le Doyen des juges d’instruction ?

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