D’après Thierry Lafronde
Ainsi un clandestin rwandais a assassiné un prêtre qui l’hébergeait en Vendée le 9 août 2021.
Il s’avère que cet assassin allogène était aussi le coupable du début d’incendie de la cathédrale de Nantes en juillet 2020 où il était paradoxalement chargé de mission dont celle de la fermeture des portes. Déjà, quel discernement de la part de l’évêché local !
Laissons de côté les analyses relatives au laxisme de la justice française et des services de l’état qui se « gaufrent » régulièrement, pas fichus d’expulser rapidement tous ces malfaisants qui n’ont rien à faire sur le territoire français.
Abordons le domaine de la « charité » chrétienne qui, pour certains, se doit d’accueillir toute la misère du monde, délinquants et assassins inclus. Le Pape François en est le premier chantre lui qui, au début de son pontificat, alla en Syrie et ramena en Italie une douzaine de musulmans alors que les chrétiens, notamment catholiques, s’y faisaient exterminer. Depuis, il ne cesse de parler de ponts à construire entre les communautés, de murs à abattre entre les états, d’ouverture au prochain, de tolérance à sens unique … en fait de soumission.
La charité chrétienne a bon dos.
Le père Hamel, égorgé en 2015 par deux islamistes, était lui aussi très charitable puisqu’il avait d’excellentes relations avec les musulmans et proposait ses locaux à l’occasion. Ils ont su le remercier radicalement.
Le prêtre assassiné ce 9 août hébergeait donc consciemment le pyromane de la cathédrale de Nantes au nom de la charité aussi. Paix à son âme mais quelle imprudence !
Certes les évangiles citent la parabole du bon pasteur qui laisse son troupeau de brebis pour aller chercher celle égarée.
Notons que l’on parle de brebis égarée et non de loup.
La sagesse populaire rappelle que l’on n’introduit pas un loup dans une bergerie. Certes certains loups contemporains ont peut-être sombré dans les mœurs molles du végétarisme et autre véganisme, mais la majorité garde son ADN de tueur et de nuisible pour les brebis.
Ce prêtre si et trop charitable, a été bien imprudent. Or la prudence est aussi une vertu chrétienne. Elle permet de discerner et d’éviter un risque majeur pour protéger avant tout le faible, l’innocent, en toute justice.
Nos temps troublés sont au discernement et au courage de prendre des mesures justes, adaptées, prudentes. Il n’est ni juste, ni adapté, ni prudent d’introduire un loup dans une bergerie.
Que les bergers et les prêtres donc se ressaisissent et s’occupent des brebis avant tout, en les protégeant et en se protégeant des loups. Sans angélisme et avec réalisme.
Ceci est valable pour nos politiciens qui ouvrent les vannes de l’immigration non contrôlée, au nom de l’humanisme, et qui financent les ONG pro migrants avec nos impôts, sans l’aval du peuple. De facto ils introduisent quelques loups dans la bergerie de France.