Communiqué de la Ligue du Midi

 

A l’occasion du concert des Brigandes un journaliste a posé, au téléphone, cette question : « pourquoi, à la Ligue du Midi, aimez-vous les Brigandes ? »

Voici la réponse (qui ne sera certainement jamais publiée) que lui a asséné un porte-parole de la Ligue: « ayant dû subir à maintes reprises les attaques du politiquement correct, la Ligue sera toujours du côté des bannis et des proscrits… c’est un peu son côté boy-scout. Quand nous voyons qu’un groupe musical qui transpire le talent est attaqué quotidiennement par les médias de propagande et tout spécialement depuis qu’il atteint une reconnaissance internationale ; quand on sait que ce groupe ne trouve pas une seule salle pour se produire et que le jour même (c’est évidemment une coïncidence) de leur premier véritable concert, la chaîne M6 leur consacre une émission qui ressemble plus à un traquenard qu’à du travail de journalisme, nous sommes forcés de les aimer surtout parce qu’en matière d’influence, elles sont un média à elles seules et qu’un de leur clip vaut 10 campagnes d’affichage,  un album  vaut 100 distributions de tracts et que leur dernier concert vaudra plus que tous les meetings de l’année…

Le premier vrai concert des Brigandes s’est joué à guichets fermés en Provence, devant 250 spectateurs qui avaient tous retenu via une solution de paiement en ligne. Il n’y a eu aucun ticket délivré sur place… Preuve de l’enthousiasme suscité par ces filles, les premiers spectateurs sont arrivés à midi alors que le concert ne débutait qu’à 15 heures. La séance de dédicace a duré plus d’une heure, plusieurs centaines de CD étant vendus durant ce laps de temps, de nombreux spectateurs repartant avec l’ensemble des 6 albums produits à ce jour.

Ainsi les Brigandes, en termes de « carton » sur internet, sont en train de battre tous les records dans la catégorie des groupes de variétés : 900.000 vues sur YouTube pour « foutez le camp » et plus de 800.000 en 4 mois pour « l’heure de dire adieu ».

Il faut dire, que le groupe représente un rayon de soleil par rapport au marigot du show- bizz et les derniers épisodes peu ragoutants des « Bertrand Cantat », et autres « Laetitia Halliday » qui font tache comparé à la fraîcheur des Brigandes… Aussi le système lâche-t-il les pitt-bulls pour tenter de dresser un contre-feu devant cette déferlante. A telle enseigne que des journalistes de FR3 ont même tenté de se faire admettre en fraude bien après le début du concert certainement équipés de caméras cachées; ils n’ont même pas eu le courage de contacter les organisateurs et leur seule activité de leur journée a été de prendre une photo à plusieurs centaines de mètres avec un énorme téléobjectif pour publier un cliché sur lequel on voit dans la campagne un homme et son chien. C’est à dire zéro…

La Ligue aime les Brigandes parce qu’elles reprennent tous les thèmes que nous avons envie de lancer à la face de ce pouvoir corrompu : l’invasion « foutez le camp » et « le grand remplacement », les francs macs « la loge des jacobins », la veulerie des élites « en enfer », les milices d’extrême gauche « l’antifa » « les soixante-huitards », l’hyper classe mondialiste : « BHL », « Merkel muss weg » « le rat jèze »,  l’identité de la France « l’heure de dire adieu » …

La salle applaudissait debout, à tout rompre, depuis plusieurs morceaux, mais l’ovation s’éleva d’un cran avec « le rondeau de France » quand les Brigandes chantèrent :

 

« Quand je vois flotter le drapeau de la France,

Dans l’or et l’azur mon cœur revit,

Par les temps de peine renaît l’espérance,

Ah vive la France Mont-joie Saint Denis ».

 

Mais ce n’était pas fini, bien qu’il fut 17h30, et le clou du spectacle, ce fut quand la chanteuse Marianne appela la Ligue du Midi pour interpréter avec elles le « Se Canto », chant traditionnel occitan écrit au Moyen-âge par Gaston Phoëbus qui deviendra l’hymne national des sudistes.

 

Nota

Un grand merci à toute l’équipe : chanteuses, musiciens, techniciens, administratifs, service de sécurité… A noter que le directeur artistique du groupe, Joël Labruyère, renouvelle avec talent le genre du sirventès. Ce poème chanté de propagande politique s’inspirait de faits d’actualité sous forme satirique. Les troubadours d’Occitanie (Provence comprise) des 12ème et 13ème siècle y excellaient. Citons Marcabru, Bertran de Born ou Peire Cardenal. C’était un temps de grande liberté d’opinion et d’indépendance d’esprit. Le clergé opulent et débauché pouvait y être moqué ainsi que les puissants et les mauvais. Mais, la cour de Rome et le roi de France ont envoyé Simon de Montfort et leurs troupes en croisade contre les Pays d’Oc et inventèrent l’inquisition…

  Voir également cet article : Le Concert des Brigandes du 18 mars 2018

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