L’insécurité est-elle en train de franchir un cap à Montpellier avec la multiplication des agressions violentes avec armes ?

C’est la question posée mardi soir, dans un tract par les Identitaires de la Ligue du Midi. On se souvient que dans la nuit de vendredi à samedi, un jeune étudiant patriote a été violemment pris à parti dans le quartier de la gare par trois « jeunes », alors qu’il attendait, le tramway avec son amie… Menaces avec un un couteau, vol d’un portable, nombreux coups au visage lorsqu’il a tenté de protéger sa petite amie.

La veille, un patron de bar du centre-ville avait, lui aussi, été sauvagement agressé par cinq « jeunes », armés de matraques. Celui-ci s’en est sorti avec trois fractures au visage, le nerf facial écrasé, un ulcère à l’œil et une « jambe gauche bien amochée ».

Récemment, ce sont des contrôleurs de la TAM qui ont dû faire face aux menaces et au racisme anti-blanc – « sale français de merde » – par un « jeune » sorti tout droit de prison cinq jours avant. Si l’on rajoute à ceci le bordel de « Nuit debout » et les exactions des manifestants-casseurs de vitrines, de mobilier urbain et de flics, on comprend que le public hésite à sortir le soir.

C’est cette situation délétère qu’ont voulu dénoncer les Identitaires. Il ne s’agissait pas de faire rendre gorge aux auteurs de ces agressions (quoique…) mais de montrer aux usagers de cette partie vitale de la ville que les racailles sont loin de faire la loi, surtout quand ils sont confrontés à un groupe soudé. Après une distribution de tracts devant l’entrée de la gare, les membres de la Ligue du Midi qui avaient endossé les fameux coupe-vent “bleu de France” se sont dirigés vers le pont de Sète où ils ont présenté cette action aux usagers, puis ont emprunté la rue des Deux ponts qui ressemble à s’y méprendre à un coupe-gorge de film d’horreur, et enfin s’en sont retournés à leur point de départ en empruntant le Pont de Lattes.

Les 4 arrêts de tram autour du square Planchon n’ont pas été oubliés et de nombreuses discussions  ont été engagées avec les usagers du tramways à la fois interloqués et rassurés à la vue de  cette cohorte de gaillards et de filles. Par la rue de la République, puis la rue Pagézy,  et enfin la rue Maguelonne les identitaires ont achevé cette ronde citoyenne en assurant à la population qu’ils reviendraient si la nécessité s’en faisait sentir.  Les adhérents de la Ligue ont profité de cette sortie nocturne pour asséner un certain nombre de conseils : ne jamais se déplacer seul à pied à partir de 22 h, préférer les sorties en bande, avoir une attitude ferme mais sans provocation, n’arborer aucun objet tentant (téléphone, bijoux), envisager d’apprendre des techniques d’auto-défense surtout pour les filles, fréquenter les salles de sport… (La ligue peut vous conseiller).

 

En conclusion, la Ligue du Midi exige la mise hors d’état de nuire de la racaille, le renforcement des rondes de police dans les zones criminogènes, l’expulsion des clandestins et la légalisation des rondes citoyennes.

 

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