Le billet de Robert Langlois
À part la Lozère, le Lot et l’Ariège, déserts qui y échappent encore, tous les départements d’Occitanie sont touchés. Même le Gers, pourtant quasiment vide de population, a lui aussi son quartier ‘’sensible’’. Sont particulièrement affectés : l’arc méditerranéen et les grandes agglomérations que sont Toulouse et Montpellier, dont la vie sociale est globalement affectée par les nuisances collatérales.
L’inventaire est éloquent, on ne sait plus où se mettre. Et encore, ici ne sont listés que les quartiers ayant fait l’objet d’une politique d’exception, c’est à dire d’un déversement colossal de fonds publics pour tenter d’y acheter la paix sociale, mais aussi les voix des communautés ethniques et religieuses qui s’y sont concentrées. En vain. Le désordre, les trafics, l’insécurité règnent dans ces quartiers où personne n’ose plus aller, pas même les services de police ou de gendarmerie. Ils sont devenus le repère des pires djihadistes qui nous font la guerre soigneusement dissimulés au milieu de populations qui les protègent.
Derrière le formidable gouffre financier que représente la ‘’politique de la ville’’ se dissimule plus sournoisement une véritable politique de peuplement qui consiste à délocaliser les populations sensibles de ces quartiers vers le périurbain large, et vers les petites villes qui se meurent dans la profondeur du territoire. C’est précisément là que se trouve reléguée la France périphérique qu’il faut finir de submerger. C’est également vers ces villes que sont dirigées les masses affluant d’Afrique, du Moyen Orient et d’Asie centrale. Le piémont pyrénéen et l’arrière pays sur l’arc méditerranéen sont en cours de colonisation, cela se voit à l’œil nu.
C’est bien le ‘’grand remplacement’’ que Renaud CAMUS a été le premier à théoriser au rang de concept politique qui est à l’œuvre. Cette submersion est exigée par les marchés qui ont besoin de cette croissance venue d’ailleurs. Elle sera financée par compensation sur le patrimoine financier et foncier de la classe moyenne de souche qui est appelée à être dépouillée en même temps qu’elle va disparaître.
Là où se concentrent ces populations allochtones, se concentrent tous les problèmes sociaux, de délinquance, d’échec, d’impossibilité et de refus de s’intégrer. Les sommes colossales qui y ont été englouties n’ont servi à rien. La politique de la ville est un échec. Il n’y aura jamais de paix sociale avec ces gens. Au contraire, ces quartiers sont des foyers d’infection et de radicalisation communautaire et ethno-religieuse, pour ces populations et cela va aller crescendo.
MACRON est là pour parachever le ‘’grand remplacement’’ et finir de dissoudre le pays. Il sera bien incapable de faire face aux échéances dramatiques qui s’annoncent. Au contraire, il se prépare à entraîner le pays dans de nouvelles aventures belliqueuses pour dissimuler sa responsabilité et créer un état de sidération dans le pays.
Notre Occitanie doit sérieusement envisager de revendiquer une large autonomie ; en tout cas d’échapper à la toute puissance destructrice de l’Etat central, et se doter de forces politiques à cet effet. L’ethno-mathématique fait que la solution ne peut plus être trouvée au niveau de l’état central français dont la vocation est clairement de dissoudre l’identité des peuples autochtones. Seule une forte résurgence identitaire locale pourra contrebalancer la submersion à l’œuvre. Il faut nous y convertir, sous peine de ne plus exister. C’est tout le sens de notre action politique.
Définition des quartiers sensibles :
Quartiers où règnent les bandes et la délinquance avec des faits de violences urbaines, fusillades ou règlements de comptes et trafics en tout genre. Ce sont les quartiers les plus chauds de France considérés comme des zones de non-droit.
Niveau 2: QSTD: (QUARTIERS SENSIBLES TRÈS DIFFICILES):
on y voit des faits de délinquance réguliers et de toute sorte. La plupart de ces quartiers ont vocation à devenir des zones de non-droit.
Niveau 3 : QSD (QUARTIERS SENSIBLES DIFFICILES):
Ils connaissent des faits de délinquance assez réguliers, trafic de drogue et toutes sortes de trafics, des nuits de violences urbaines qui peuvent arriver a la suite d’une petite tension.
Niveau 4 : QSP (QUARTIERS SENSIBLES PROBLÉMATIQUES):
Il y existe une petite délinquance qui peut être régulière et qui peut exploser a certains moments, mais généralement ces quartiers sont calmes; ils font parler d’eux de temps à autres et posent quelques soucis a la ville mais ne sont pas considérés comme chauds.
On observe que la situation de ces quartiers se dégrade et que tous ont tendance à s’endurcir dans la violence et la radicalisation pour progresser dans la hiérarchie du “non-droit”. Il n’y a pas de cas connu de retour à une meilleure situation. C’est sans espoir!!!
ZSP zones de sécurité prioritaire :
Territoire qui « souffre plus que d’autres d’une insécurité quotidienne et d’une délinquance enracinée » ou qui « connaît depuis quelques années une dégradation importante de ses conditions de sécurité » (ministre de l’intérieur du gouvernement Ayrault)
ZUS zones urbaines sensibles :
Territoire infra-urbain défini par les pouvoirs publics pour être la cible prioritaire de la politique de la ville
Narbonne : Saint Jean, Saint Pierre.
Villefranche de Rouergue : Le Tricot
Ales : Pré Saint Jean
Cugnaux : (Vivier)
Auch: ZUP Garros
Montpelier : Figuerolles
Tarbes : Soldazur
Perpignan : Saint Jacques, Saint Mathieu, La Réal
Castres : Laden, Petit Train
Montauban: Les Chênes