Sera présente à la Fête de la Ligue du Midi 2019

  

Nicole MINA

 

Conseillère régionale d’Occitanie,

prendra la parole lors de la fête de la Ligue du Midi,

le 8 septembre 2019 en petite Camargue.

 

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Nicole MINA

Nicole MINA

La légitime torpeur des vacances de la majorité des Français (pour ceux qui peuvent se le permettre) ne doit pas nous faire oublier notre prochaine échéance : une rentrée qui ne s’annonce pas comme les autres.

L’année 2018 s’est achevée sur une révolte populaire, issue principalement des forces vives mais méprisées de la nation. Je veux parler bien sûr des premiers Gilets Jaunes dont le problème essentiel venait de leur place dans une société maltraitée par ses dirigeants. Retraités surtaxés, travailleurs voyant leur carrière détruite leur échapper, diplômés contraints à l’expatriation, chômeurs français dont les emplois étaient distribués aux « migrants ».

2019 a vu ce mouvement confisqué par les antifas-Insoumis, courroie de transmission et roue de secours de Macron et ses sbires.

En parallèle, de nombreuses « affaires » ont surgi, vite étouffées par un gouvernement inique et cynique dont certains membres gavés de nourritures bien terrestres ont osé conseiller au peuple de « moins manger » et même de se supprimer un repas ! A côté d’une telle forfaiture humaine, la phrase faussement attribuée à Marie-Antoinette « S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche » apparaît bien anodine ! Savent-ils ces obsédés de pouvoir et d’argent que pour certains de leurs concitoyens la fin du mois commence le 10, que les épiceries solidaires sont leurs seules ressources et que le potage bouillon-vermicelle remplace les homards et le foie gras ?

Mais voilà, pour ces collabos de la décadence sorosienne, nous ne sommes plus leurs concitoyens, nous sommes « le peuple », c’est-à-dire une masse informe dont il faut se méfier, et donc écraser. Ecraser d’impôts, écraser par la force violente en cas de manifestation de souffrance ! Du haut de leur Olympe, nous ne valons pas plus qu’une colonie de fourmis à canaliser…

Avec la prévision d’un écrasement définitif : son éradication par un remplacement de hordes d’esclaves venues d’ailleurs pour un métissage programmé. Et peu importe aux remplacistes que notre civilisation plurimillénaire disparaisse. Seule compte la perspective d’un mondialisme où la spéculation effrénée dominera la planète. Tout cela sous prétexte d’humanisme bien entendu !

Revenons en parallèle à l’action de nos leaders de l’opposition… Qui avons-nous vus sur les ronds-points ? Mélenchon et ses journalistes suiveurs, pour un coup de récup’ peu efficace, les résultats des élections européennes nous l’ont prouvé. Dupont-Aignan aussi, pour exprimer sa solidarité, mais brièvement. ET C’EST TOUT ! Notons que Marine le Pen, populiste proclamée, est restée dans ses pénates, sachant que, active ou pas, elle en récupèrerait des voix.

Car il faut l’admettre, pendant que la France et l’Europe exprimaient la souffrance d’une crise grave nos leaders d’opposition faisaient des comptes d’apothicaire pour supputer du nombre d’élus qu’ils auraient à l’Europe ! Les résultats sont là : chacun a peaufiné les arguments pour se vanter de sa victoire tandis que le peuple continuait à s’enfoncer dans le désarroi.

Autres faits marquants de l’actualité de ces dernières années : les attentats islamistes régulièrement qualifiés « d’œuvres de déséquilibrés » et qui nous ont endeuillés. Plus les dégradations et profanations quotidiennes dont ont été victimes nos lieux de culte et cimetières. Là aussi, réactions convenues de la part des leaders censés nous défendre âprement.

Il faut aussi rappeler l’incendie de Notre-Dame à propos duquel Marine Le Pen a simplement félicité les pompiers, évitant d’évoquer la dimension culturelle, symbolique et religieuse de l’édifice, ainsi que les causes discutables du feu.

L’été terminé, nous allons aborder la rentrée. Et il ne faut pas être grand clerc pour augurer que les mouvements de protestations vont reprendre.

On entend de ci de là des personnalités parler de solutions politiques. En particulier « d’union des droites ». Et d’autres de contredire cette éventualité par le slogan « ni droite ni gauche ».

Arrêtons-nous un instant sur cette formule somme toute séduisante. Elle a été initiée en son temps par le visionnaire Jean-Marie Le Pen.

Avant la révolution de 1789, les dénominations « droite » et « gauche » n’existaient pas. Le roi, représentant de Dieu dans son royaume, se devait de conserver celui-ci en bon état économique, social et religieux. Si cela n’a pas été le cas de certains souverains, d’autres ont laissé leur empreinte par leur action décisive pour le bien-être du peuple. L’exemple le plus connu étant Henri IV et sa fameuse poule-au-pot.

A la révolution, être « à droite » ou « à gauche » signifiait où l’on siégeait à l’assemblée révolutionnaire. A droite les conservateurs et royalistes libéraux, à gauche les républicains futurs régicides. Et le Centre direz-vous ? Eh bien il était formé des indécis, siégeait en bas de l’hémicycle et pour cela était surnommé « la Plaine » ou « le Marais ».

Ce rappel historique n’est pas vain, car de nos jours la confusion peut aller à penser que «ni droite ni gauche » peut signifier centrisme.

Or rien n’est plus faux ! Centrisme signifie être fluctuant entra la gauche et la droite, ce qui semble de plus en plus être la position électoraliste de Marine Le Pen, héritière de l’expression mais la maîtrisant mal. Un peu de social et de modernisme (IVG, GPA) pour attirer l’électeur de gauche, arguments de droite pour conforter l’électorat conservateur.

Or, le « ni droite ni gauche » ne doit en aucun cas être considéré comme « un peu de droite, un peu de gauche » à proportions variables mais comme une notion qui TRANSCENDE la droite ET la gauche !

Et pour transcender ces deux tendances dont la frontière de plus en plus floue est surtout politique, il n’y a qu’une seule réponse : le bon sens dans l’intérêt du peuple ! Et l’intérêt du peuple, c’est-à-dire NOTRE intérêt majeur, où est-il dans la crise que nous vivons ?

Eh bien il est dans la lutte pour la sauvegarde de notre culture, de nos racines, et pour la transmission de nos valeurs à nos enfants. Et peu importe que nos moyens de lutte soient analysés de gauche ou de droite par nos politiques dont trop souvent la préoccupation essentielle est leur carrière !

Parce que de cette lutte découlent les solutions aux maux qui nous accablent : le problème économique avec la nécessité de nourrir et héberger les faux « migrants », le problème de l’emploi avec la préférence étrangère, le problème de l’insécurité dont chacun connaît les causes.

À nous de nous prendre en main, pour notre région, pour la France, pour une reconquête légitime de notre destin !

 

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