Communiqué de la Ligue du Midi

 

On connaît la haine que porte la députée des bobos montpelliérains à ceux qui ne partagent pas ses choix et ceux de ses compagnons de route casseurs, squatteurs et délinquants divers qu’elle soutient et encourage. Dans le journal de FR3 Languedoc-Roussillon, du 31/05/18  à mi-journée, répondant à la question du présentateur sur les groupes de casseurs : « faut-il dissoudre les black blocs ?», Miss Ressiguier répond sans sourciller : « Ce n’est pas la même chose  parce qu’ils ne s’en prennent pas aux individus » (il est bien connu que chez ces gens-là, les policiers ne sont pas des humains).

 

 

Elle avait avec ses amis, prétendus insoumis, prévu un 26 mai de type « marée humaine », à La Salvetat pour dénoncer le groupe artistique des « Brigandes » ; ce fut pour elle un fiasco avec annulation de la manifestation car l’association organisatrice n’avait pas d’existence légale… c’est une habitude avec cette Muriel qui a prétendu le 14 avril 2018 ignorer que toute manifestation de rue devait être déclarée…

Lors du fameux saccage du centre-ville de Montpellier, la députée, contrairement à ses dénégations, participait bien à une manifestation non-déclarée (donc interdite), cette pratique empêchant de trouver des responsables en cas de dégradations et l’on sait bien qu’elles sont habituelles avec la gauchosphère. Détourner l’attention, créer un rideau de fumée, sont les pratiques courantes chez les insoumis en cas de grosse difficulté…

 

 

Il est vrai que le Parti de Muriel subit actuellement de lourds revers, avec l’enquête sur les comptes de campagne de Mélenchon, les luttes qui ne convergent pas selon ses désirs et la frousse bleue que manifeste le « chef » qui aurait été menacé et qui veut être protégé par l’État, ses revenus ne lui permettant pas de se payer des anges-gardiens (voir ici  l’abolition des privilèges selon Ste Méluche).

Les appels à la haine permanents qui constituent le fond idéologique de ces « insoumis » divisent, incitent aux exactions et aux menaces et les passages à l’acte deviennent courants -qui sème le vent récolte la tempête, pourquoi les insoumis seraient-ils à l’abri ?-  On se demande comment un Mélenchon, froussard et pleurnichard à l’Assemblée Nationale, peut encore oser prétendre à gouverner le pays ? La Ressiguier quant à elle n’hésite pas à défiler sous des drapeaux étrangers dont certains appartiennent à des organisations proches des terroristes moyen-orientaux.

La Ligue du midi est la cible favorite de la députée, surnommée au Clapas (1)  Miss Goulag, au vu de sa haine des libertés publiques et des droits des citoyens. Elle poursuit de sa vindicte cette association qu’elle affirme, en conférence de presse le 30/05/18 à l’Assemblée Nationale, de façon diffamatoire, subventionnée par le Conseil départemental de l’Hérault. FAUX … Le président socialiste du Conseil départemental appréciera…

 

 

Au delà de la Ligue, elle en veut aux « Roudier », peut-être parce qu’ils se considèrent comme lanceurs d’alertes. Dans la série des fantasmes, diffamations et calomnies, Miss Goulag prétend publiquement (Assemblée nationale, courrier au Président de la République, Facebook etc…) que Richard Roudier a été condamné en 2012 et emprisonné  pour incitation  à la haine raciale… FAUX ni en 2012 ni en aucun autre temps.

Le journal l’Humanité, portevoix indéfectible de la députée, dans son édition du 30/05/18, reprend la conférence de presse de l’insoumise et son refrain sur ses demandes de dissolution. Elle reproche aux « groupuscules d’extrême droite » la haine de l’autre, la violence, le mépris des règles de la démocratie et des « valeurs de notre république ». Miss Goulag a bien besoin d’un miroir car c’est exactement ce qu’on lui reproche ainsi qu’à ses « amis ».

 

Note

(1) Surnom de la ville de Montpellier

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