D’après Éric de Verdelhan

« L’etat ne devait pas decider car l’etat ne conait pas le passer de chacun, elle ne c’est pourquoi cela et arrive. L’etat ne conais rien de cet perssone sont but peut etre dans le but de faire une bonne action. Ou simplement d’aider ca famille. Si les gent sont bien eduquer et bienveillan nous navons pas besoin de l’etat. Le respect mutuel sufis pour remplacer l’etat comme cet celebre citation « vivre et laisser v ivre » qui nous viens des trancher pendant la seconde guerre mondiale. Pendant le revolution française il n y avez pas d’etat pourtant cela avait bien marcher ou pendant les romains avec leur lois dent pour dent oeille pour oeille. Ce que tu fait à l’autre ont te le fait. Il y a encore des civilizations sans etat reconue dans le monde pourtant ces civilisation se porte bien alors que ce n’est pas l’etat qui juge ci ceci et juste ou pas. La notion de juste et pas compliquer car celle-ci et différente pour chaque persone. Et ne sont jamais la meme. »

(Extrait d’une copie de philo. Baccalauréat juin 2022)

J’étais à l’étranger quand « Boulevard Voltaire » a publié le coup de gueule d’un professeur qui, écœuré, a posté sur la toile l’extrait de copie du bac ci-dessus. On oublie trop souvent que, chez nous, il y a encore des professeurs, certes minoritaires, qui ne sont pas perpétuellement en grève, qui aiment leur travail, et qui ne sont pas tous socialos, gauchos ou communistes.

Mais, comme disait Audiard « Comme le poisson-volant et le mouton à cinq pattes, ce n’est pas la majorité de l’espèce ». Il m’arrive souvent de dire qu’« enseignant de gauche » est presque un pléonasme. Ce n’est pas charitable pour les profs de droite, mais assez proche de la vérité.

Soyons lucides : cette profession – féminisée à 75% – est gangrénée par la vérole gauchiste à plus de 90% (1). Je fais donc, préventivement, mes plus plates excuses aux professeurs consciencieux, motivés et impliqués dans leur tâche, un travail ô combien ingrat et ardu.

Durant toute ma vie, j’ai enseigné, à des parachutistes d’abord, puis à des agents, courtiers ou salariés d’assurance, et en parallèle, dans le cadre associatif, à des amateurs de sports de l’air.

J’ai aimé transmettre un savoir, des connaissances (voire des compétences) à mes élèves.

Pourtant, j’avoue humblement que je serais parfaitement incapable d’être professeur – en primaire, en secondaire ou en faculté – dans l’Education dite « Nationale » (on se demande bien pourquoi ?). Faire partager sa passion pour une langue ou une matière à des élèves est une bonne chose, en revanche, comme dit l’adage populaire : « on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif ».

J’admire sincèrement les professeurs qui croient encore à leur mission de pédagogues, mais l’Education Nationale, le « Mammouth » comme disait Allègre, cette grosse machine à fabriquer des illettrés, ce monstre qui emploie plus de personnel que la « Général motors » ou l’ex Armée rouge, est responsable (ET coupable) du délitement du niveau des élèves français, de leur avachissement tant intellectuel que moral, et de leur nullité dans toutes les disciplines ou presque.

J’exagère ? Que nenni ! Il ne faut pas nier ce qui, hélas, est une évidence !

Le texte en entête de cet article totalise… 47 fautes d’orthographe grossières, et la qualité des arguments développés n’est pas digne d’un élève de CM2 d’antan (la 7ème d’autrefois).

Il aura fallu 11 années pour fabriquer un tel cancre, c’est déplorable, lamentable, pitoyable !

Après avoir lu ce torchon, j’ai ressorti de mes archives poussiéreuses un courrier de mon vieil ami Georges G… qui me faisait des propositions pour le club de parapente dont j’étais alors le président et dont il était adhérent. Georges a fait son dernier vol en parapente à 80 ans, avant de rejoindre un monde réputé meilleur. Titulaire de son seul Certificat d’Etudes Primaires, il avait servi chez les Commandos de Marine, puis dans la Gendarmerie, avant de faire une carrière honorable de cadre dans la banque. Sa longue lettre de deux pages, calligraphiées, avec des pleins et des déliés à l’ancienne, était rédigée dans un français impeccable, sans la moindre faute d’orthographe.

Elle était écrite par un personnage modeste qui se disait « Bac moins 6 » en rigolant.

On nous sérine à longueur d’année que le niveau des élèves ne baisse pas et, telle l’autruche la tête dans le sable, on refuse de commenter les enquêtes « PISA » effectuées le plus sérieusement du monde par l’ « Organisation de Coopération et de Développement Économiques » (OCDE).

Rappelons que l’OCDE compte 34 pays membres dans le monde. L’OCDE est née en 1960, de la volonté de 18 pays (d’Europe, des Etats-Unis et du Canada) de créer une organisation dédiée au développement économique. Les pays membres de l’OCDE sont en théorie « les pays les plus évolués ». C’est en 2001 que l’OCDE a produit le premier rapport « PISA ».

« PISA » doit son acronyme à « Program for International Student Assessment », ou, si vous préférez, « Programme International pour le Suivi des Acquis » des élèves. Ce classement est fait pour mesurer les performances des systèmes éducatifs au sein des pays, de manière standardisée.

L’enquête est publiée tous les trois ans. Le dernier classement « PISA » date de 2019. Le prochain doit sortir, sauf erreur, en décembre 2022.

Concrètement, « PISA » mesure les connaissances acquises de jeunes des quatre coins de la planète et la performance des systèmes éducatifs des pays. Avec pour slogan : « Ce que les élèves de 15 ans savent et ce qu’ils peuvent faire avec ce qu’ils savent ».

En 2019, la France est arrivée à la… 26ème place du classement, c’est une honte !

Mais faut-il pour autant en être surpris ? Assurément non car tout ceci est voulu !

L’éducation « laïque et obligatoire », totalement gangrénée par les syndicats de gauche, n’est jamais que le larbin zélé, « l’idiot utile », la troupe de manœuvre, du Nouvel Ordre Mondial.

J’ai souvent écrit que je préférais la devise des « Croix de Feu » : « Travail, Famille, Patrie » (2), à la devise maçonnique imposée aux Français en 1848 et qui ne rime à rien ; « Liberté. Egalité. Fraternité ». La liberté – d’expression entre autres – est morte avec le « politiquement correct » et la dictature des minorités ; l’égalité n’existe même pas devant l’impôt ; et la fraternité est un concept qui survit dans les Loges maçonniques mais beaucoup moins dans les banlieues de non-droit.

Les Frères-maçons et leurs visées mondialistes sont à la manœuvre depuis 1789, et ils luttent très efficacement contre les nations. Au fil des ans, on a tué la notion de patrie au profit du rêve (de l’utopie ou du cauchemar ?) européen ; on a tué le travail en désindustrialisant le pays ; on a tué la famille traditionnelle avec le PACS, le mariage gay, l’IVG, la PMA, le poids du lobby LGBT…etc…

Mais pour abattre une nation, il faut aussi tuer sa langue et sa littérature. Les amoureux du français combattent les anglicismes mais l’anglais, c’est la langue des « Bobos », pas celle du peuple.

Et s’il n’y avait que l’anglais ! Il y a aussi le pathos verbeux du monde des affaires et des gens branchés, les nouveaux précieux ridicules. Ce charabia prétentieux, mitigé de franglais, est réservé aux « zélites », incompréhensible, bien sûr, pour le commun des mortels.

Et que dire de celui des banlieues ? On y parle une langue bizarre illustrée par une gestuelle qui aide à la mieux comprendre : « C’te meuf, j’la kiffe grave », « J’nique les keufs ! ». Et, tant qu’on y est « j’nique ta mère, eh bouffon ! » accompagné d’un doigt d’honneur qui vous informe que le primate à capuche qui gesticule devant vous a des pulsions sexuelles inassouvies.

Au début des années 80, les Socialistes voulaient 80% de bacheliers. L’an dernier, le taux de réussite au bac était de…97,5%. Le but est atteint, que dis-je, il est largement dépassé. Pour parvenir à un tel résultat, il y avait deux solutions : soit améliorer la formation, l’apprentissage et les savoirs des élèves en relevant notre niveau d’exigences, soit tirer tout le monde vers le bas, par démagogie racoleuse, pour que Mohamed, Rachid ou Mamadou, issus de la « diversité », enfants du Jus Solis ou immigrés – légaux ou illégaux – de fraîche date, soient au même niveau de médiocrité que Pierre, Paul ou Jacques (3). Les visées communautaristes, le « melting-pot », dont rêvent les partisans d’une France métissée, sont responsables du délabrement du niveau d’étude actuel. Car, pour affaiblir une nation il ne faut pas se contenter de tuer sa langue, il faut aussi abêtir les masses, tuer leur bon sens et leur raisonnement, et les abreuver de programmes télévisuels débiles : « Panem et circenses ».

Ajoutons-y la haine du Blanc et nous aurons bouclé la boucle !

Il existe encore, çà et là, quelques Gaulois qui ne veulent pas entrer dans le moule de l’« homo mondialus » : ce crétin à bonnet, nourri au hamburger, gavé au Coca-cola, abruti par la téléréalité, le loto, le foot et le porno ; ce bipède apatride, sans racine, sans repères, fruit d’un métissage identitaire, racial, ethnique et parfois même sexuel, que le Nouvel Ordre Mondial rêve de standardiser, mais au fil des ans, ces ringards deviennent minoritaires.

Il n’y a pas la moindre connotation raciale dans mon propos, car, comme l’écrivain Jean Raspail, j’aime les races, alors que certains voudraient nous faire croire qu’il n’y a aucune différence entre un Chihuahua, un Caniche et un Berger allemand. Mais, respectueux de l’autre chez lui, je ne supporte plus que des gens venus chez nous pour profiter de la générosité de notre système social veuillent nous imposer leurs lois, leur religion, leurs us et coutumes.

On peut reprocher beaucoup de choses à Emmanuel Macron – le sujet est inépuisable – mais il lui arrive parfois d’annoncer la couleur et de dire franchement qu’il est la marionnette des adeptes du « Grand Remplacement ». Rappelez-vous ce qu’il disait le 18 avril 2021, c’est une bouillie de chat assez infâme, au propre comme au figuré :

« Je pense que les Etats-Unis et l’Europe sont confrontés à des réseaux d’inégalités, à des discours de haine, etc…Et la race arrive, je dirais en plus de cela, parce que nous n’avons pas réglé cette question… Notre histoire est très différente (de celle des USA) parce que nous étions des États coloniaux. Et nous avons définitivement cette question de la race, qui est au cœur même de notre société, et qui crée de nombreuses tensions lorsque des personnes sont victimes de discrimination et lorsque des personnes subissent des discours racistes, du racisme ou des discours inacceptables (quel charabia !). Ma conviction est que nous devons aborder cette question en commençant par la transparence et une évaluation équitable. C’est pourquoi j’ai lancé de nouvelles plateformes pour lutter contre la discrimination, le racisme, etc… Deuxièmement, un dialogue calme et ouvert pour comprendre comment cela s’est passé et, d’une certaine manière, pour déconstruire notre propre histoire…Je pense donc que nous devons – essentiellement – aller aux racines mêmes de ce phénomène. Mais nous devons lancer de nouvelles politiques, concrètes et déterminées, pour nous débarrasser du racisme dans notre société. C’est essentiel… ».

J’ai allégé, par de nombreux pointillés, la logorrhée fumeuse et filandreuse du président de la « Start-up France », mais vous aurez compris que les racistes, c’est nous, les « Gaulois ».

« Moi y’en a mêtre bien fé comprendre ? J’esspaire que ouie ! »

Notes :

1)- Qu’on ne me fasse surtout pas dire ce que je n’ai pas dit ! Je ne fais aucune corrélation entre la féminisation du métier de prof et son gauchisme sectaire, mais je ne prends pas Sandrine Rousseau ou Nathalie Artaud pour des nanas d’extrême-droite.

2)- Cette belle devise sent le soufre depuis qu’elle a été reprise par le gouvernement de Vichy.

3)- Pourquoi ne signale-t-on jamais que les élèves et étudiants asiatiques sont très souvent en tête de classe ? Ceci démontre pourtant que ce n’est pas l’immigration en elle-même qui est responsable de notre nivellement par le bas, mais certaines populations immigrées qui refusent l’intégration.

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