Lot de Cologne[3]

D’après Patrice Lemaitre dans Nice-Provence Info

On apprenait dans la presse que plus d’une centaine de plaintes pour agressions sexuelles sur des femmes avaient été enregistrées à l’issue du nouvel an à Cologne (Allemagne). À l’heure où j’écris ces lignes seize hommes ont été interpellés, tous étaient des demandeurs d’asile et portaient sur eux leur titre de séjours.
Cette terrible situation fait évidemment suite à l’afflux sans précédent de « migrants » en Allemagne au cours de l’automne. La chancelière allemande a déclaré sans rire : « Nous devons accepter le fait que les immigrés soient plus criminels que les autres ».

Mais la palme de l’abject, c’est Henriette Reker la mairesse de Cologne qui la remporte en insinuant que les victimes ont provoqué les violeurs. Cette dame n’hésite pas à carrément demander aux femmes allemandes d’adapter leurs comportements et d’adopter un nouveau code de conduite. On croit rêver.
Non contentes d’être insultées, agressées, humiliées, menacées, tripotées, violées, les femmes de Cologne doivent éviter les gares, les piscines et même certaines rues, s’habiller selon des critères moyen-orientaux, cacher leurs jambes, couvrir leurs cheveux, bref, subir une culture sexuellement oppressive pour être charia-compatibles.
Voilà où l’on en arrive à force de « bienvivreensemble » de « pasdamalgame ». Le plus inquiétant est le silence absolu qui a régné dans les médias teutons les jours suivant cette chasse aux blanches. La raison ? On avait peur de déclencher des réactions racistes ! Il ne fallait surtout pas stigmatiser. Mais la vérité ne pouvait pas ne pas finir par éclater eu égard à l’ampleur du phénomène et aujourd’hui ce sont des centaines de témoignages dont certains très crus qui viennent montrer au grand jour les bienfaits de cet avantageux mélange de cultures.
Une question se pose quand même…. Où sont les féministes Femen, les hystériques de Soros ? Qu’en pense le planning familial ? Et Cécile Duflot ? Bien silencieuses toutes ces dames, à côté des cris de terreur et de détresse de nos cousines germaines.
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