Par Martin Moisan

 

Tout se tient. Refuser le vaccin, c’est refuser le Great reset. Refuser le vaccin, c’est mettre le Great Reset en échec.

 

Les mondialistes nous confirment que le capitalisme est mort.

Qu’il soit ultralibéral et financier comme celui de Wall Street, d’État comme en Chine, ou mixte comme en France, le capitalisme global est partout en échec et sa crise terminale menace l’hégémonie des oligarchies. En Occident, face au risque de voir leur pouvoir et leurs richesses leur échapper, les classes dominantes sont en train de masquer leur déconfiture en organisant le chaos pour purger la crise majeure qu’ils ont eux-mêmes suscitée. Dans ce contexte global, il est maintenant très clair que la fausse pandémie de Covid est l’habillage qui permet aux mondialistes de justifier le Great Reset pour garder la main et contrer les révolutions populistes. Objectif : créer l’illusion d’une transformation du capitalisme en « capitalisme des parties prenantes » et faire croire à la future participation de tous. Escroquerie qui masque un autre projet : celui de placer l’entreprise en clé de voûte de l’organisation sociale et de lui transférer toutes les souverainetés, ainsi que le contrôle de toutes les activités humaines.

Bref, le Great Reset est un projet fou d’évolution terminale de l’ultra capitalisme pour tenter de le sauver. Un cauchemar matérialiste où tout, absolument tout se trouverait asservi au profit. Fin des États nations, fin de la souveraineté des peuples, fin des peuples, fin de la démocratie, fin des sociétés traditionnelles, fin de la joie de vivre, asservissement de l’Homme au profit, seule finalité de toutes les activités humaines.

Au passage, on est bien d’accord. Si les capitalistes nous disent qu’il faut un Great Reset, cela confirme que le capitalisme est mort ; ce que nous savions déjà.

Complicité active de la gauche.

Les déconstructeurs de gauche peuvent se réjouir, leur travail a ouvert une nouvelle ère, celle de l’homme nucléarisé, bientôt réifié, bientôt privé de toutes les libertés, enchaîné au service du profit. On le voit bien, l’ultra gauche, les antifas et les Black Lives Matter ne sont rien d’autre que les milices du Forum de Davos, chargées de museler les révolutions populaires et de faire taire les populistes.

On se demande bien quoi penser d’un projet qui se targue d’écologie et qui commence par vous imposer un vaccin aux OGM. Foutaises ! On le voit bien, pour le Forum de Davos, l’écologie n’est qu’un habillage pour faire avaler la partie toxique du projet. Dès lors, que penser de Gréta et de l’écologie politique qui n’ont rien fait d’autre que de préparer les mentalités et conditionner les populations au Great Reset ? Oui, les écologistes peuvent se féliciter d’être les accompagnateurs de Forum de Davos et de la vaccination de masse aux OGM. Où sont Hulot, Lepage, Bové et les faucheurs volontaires quand on nous injecte des OGM ? Au passage encore, pour Marine Le Pen, la question ne se pose plus, on sait.

Deux menaces existentielles pour le capitalisme : l’échec d’un modèle fondé sur une croissance sans fin et la menace des populismes en réaction à la submersion migratoire.

La première des réalités qui menace les deux capitalismes, celui financier de Wall Street et celui d’État en Chine, c’est l’impossibilité de poursuivre une croissance illimitée dans un monde limité. Impossible d’aller plus loin après avoir ravagé les sols, la terre et l’eau. Jusqu’ici, les mondialistes, avaient trouvé un El Dorado de croissance en faisant émerger des marchés colossaux en Asie, en Amérique du Sud et accessoirement dans certains pays d’Afrique. Ils y avaient fait éclore une classe moyenne de nouveaux consommateurs qui se comptaient en centaines de millions, voire en milliards, ils y avaient transféré toutes nos industries de main d’œuvre ; y trouvant de nouvelles rentabilités et une croissance phénoménale. Ils avaient également pensé créer une nouvelle classe de consommateurs en submergeant les pays de la vieille Europe et de l’Amérique du Nord par les masses venues du Sud. Il est résulté une multitude de crises intriquées qui convergent et menacent de tout emporter. Maintenant qu’ils ont concentré et amassé des richesses colossales qui dépassent celles des états qu’ils ont ruinés, les oligarques et leurs entreprises mondialisées entendent prendre le contrôle absolu en faisant disparaître les états et les peuples, en nous asservissant et en nous ruinant.

Le « capitalisme des parties prenantes », escroquerie du Forum de Davos.

Voici ce que dit Schwab : « De manière générale, nous avons le choix entre trois modèles. Le premier est le « capitalisme actionnarial », adopté par la plupart des sociétés occidentales … Le deuxième modèle est le « capitalisme d’État », qui confie au gouvernement la direction de l’économie et a pris de l’importance … notamment en Chine. Mais, par rapport à ces deux options, la troisième est la plus à recommander. Le « capitalisme des parties prenantes », un modèle que j’ai proposé pour la première fois il y a un demi-siècle, et constitue clairement la meilleure réponse aux défis sociaux et environnementaux d’aujourd’hui.’’

Selon une autre de ses formules, ce serait également la manière de façonner un nouveau capitalisme ‘’inclusif pour tous’’ (sic) ! Cela veut tout simplement dire qu’il s’agit de placer l’Homme, producteur comme consommateur, dans le capitalisme, comme on place un un rouage, un fluide, un consommable, une pièce d’usure, au service de l’entreprise et du profit ; sans autre finalité pour lui que cette participation. Bref de définitivement asservir l’Homme à un système global contrôlé par l’entreprise mondialisée placée en clé de voûte de l’organisation sociale. Pour cela, avec l’aide de la gauche mondiale, il leur a d’abord fallu détruire les sociétés traditionnelles et ensuite réduire les populations blanches de l’Europe et de l’Amérique du Nord, par la déconstruction de leurs cultures et de leur Histoire et par la submersion migratoire. Pensant avoir suffisamment réduit ces potentielles résistances, ils sont passés à la phase finale du plan.

L’entreprise, « fiduciaire de la société », clé de voûte de l’organisation sociale.

Schwab le dit, « le capitalisme des parties prenantes positionne l’entreprise en tant que fiduciaire de la société. Fiduciaire, cela veut dire que la société devrait faire confiance et se référer à l’entreprise seule détentrice du pouvoir souverain pour conduire son destinCela veut dire que toute la souveraineté serait transférée des peuples aux entreprises. Cela veut dire que le capitalisme se verrait régenter tous les autres secteurs de la vie, pour qu’ils fassent partie intégrante d’un système dirigé par les entreprises. Il s’agirait pour tout le reste de la société, pour les hommes, pour le vivant, pour la terre, pour l’air et pour l’eau, de se soumettre à l’entreprise, seul organe souverain, seul organe doué d’un droit de disposition sur le reste de la Création (de l’univers pour les agnostiques).

Un capitalisme auto-régulé, sans obligations ni lois autres que les siennes.

Schwab le dit lui-même : « Les chefs d’entreprise ont désormais une opportunité incroyable. En donnant un sens concret au capitalisme des parties prenantes, ils peuvent aller au-delà de leurs obligations légales et respecter leur devoir envers la société. » Dans ce projet, il est clair que le profit est le seul devoir de l’entreprise. Il n’est nulle part question de régulation, de législation ou de réglementation par les états ou émanant de la volonté souveraine des peuples. Ce sont les entreprises qui fixeraient elle-mêmes leurs obligations, sans que rien ne garantisse qu’elles auront à respecter d’autres règles que les leurs. Les seules obligations des entreprises résulteraient de leur seule volonté d’auto-réglementation, sans remise en cause de l’objectif final qui est le seul profit. Fin de la souveraineté des peuples, fin de la démocratie.

Concentration de toute l’activité économique et de tous les profits entre les mains des seules entreprises mondiales. 

On voit très bien quelle est la finalité de la phase de confinement actuel justifiée par la fausse pandémie. Avec cet arrêt net de certains secteurs de l’économie, il s’agit tout simplement de faire disparaître toutes les entreprises de taille intermédiaire pour concentrer l’activité économique entre les mains des seules entreprises mondialisées. On peut imaginer que seules les micro-entreprises en dessous d’un certain volume d’activité seraient tolérées. (forfait fiscal ou auto-entrepreneur). Dans cette hypothèse d’ubérisation généralisée, les micro entreprises restantes seraient sous-traitantes aux conditions des donneurs d’ordres mondialisés.

Les travailleurs robotisés. 

C’est à peine croyable, pourtant c’est bien la finalité du brevet déposé par Microsoft en 2020. (N° 2020 / 060606 A1 – remarquer la numérotation). Brevet par lequel, un système global géré par une intelligence artificielle relierait les entreprises, les hommes auxquels auront été injectées des nanoparticules, et un système de cryptomonnaie.  Dans ce système global, les entreprises affecteraient des tâches aux hommes par l’intermédiaire de ces nanoparticules qui, en retour, contrôleraient l’exécution et affecteraient in fine la contrepartie en cryptomonnaie. On n’est plus dans le complotisme car tout est affiché. Ce brevet est parfaitement cohérent avec la finalité du Great Reset et du capitalisme des parties prenantes, et de l’entreprise fiduciaire de la société. Dans ce schéma, les nanoparticules injectées à l’homme le rendraient totalement dépendant des entreprises et d’un système global géré par une intelligence artificielle.

Un seul salaire, ‘’le salaire vital’’. Communisme 2.0. 

Voici ce que dit le livre blanc du capitalisme des parties prenantes : « Les salaires payés ne devraient pas être basés sur l’offre et la demande telles que déterminées de manière concurrentielle sur le marché. Au lieu de cela, le point de référence et la base des salaires d’emploi seraient un « salaire vital » ou « un salaire suffisant pour répondre aux niveaux de vie de base, qui varieront selon le pays, le niveau de vie local et les besoins ». On le voit bien, pour les travailleurs, le Great Reset c’est le communisme 2.0. Vous savez maintenant où vont aller nos derniers emplois et où la jeunesse va pouvoir aller chercher du travail …

Disparition des activités sociales ludiques.

Là encore on voit bien le sens des dispositions actuelles qui interdisent toutes les activités ludiques et distractives en société. Cinéma, théâtres, spectacle vivant, restaurants, bistrots, réveillons, “foiridons” de campagne, ski, piscine, parcs d’activité, boites de nuit, fêtes entre amis, sports collectifs … bref, tout ce qui peut donner de l’agrément ou de la joie de vivre. Le masque et les termes “gestes barrière et distanciation sociale” sont à eux seuls des synthèses de ce programme. Finie la joie de vivre. l’Homme est privé de toute activité sociale ludique, de toute jouissance, il est conditionné à la dépendance à l’entertainment (divertissement) des GAFA. Il est conditionné pour être asservi à la maximisation des profits des entreprises mondialisées.

Contrôle social, dictature. 

Ce point n’est cité que pour mémoire. En effet on voit déjà très bien ce qu’il en est des libertés individuelles et ce qu’il en sera quand ils seront arrivés au bout de leur projet. Le Great Reset est un projet totalitaire qui ne peut s’établir que par la dictature et la fin des libertés individuelles.

Quid des activités régaliennes des états ?  Autre sujet dont il n’est rien dit, mais dont on peut penser que tout ce qui pourra être privatisé et rentabilisé le sera. Qui décidera des guerres ? Sans doute nous diront-ils qu’il n’y en aura plus … Foutaise. Les guerres et les destructions de valeur seront la soupape de régulation de leur système.

Oui, le capitalisme est mort. Ce sont les capitalistes eux-mêmes qui nous le confirment.

Oui, il va falloir tout remettre à plat, mais pas à leur manière, pas avec eux et surtout pas sans nous. 

Quoiqu’il advienne aux USA, 2021 s’annonce comme une année dantesque et nous pouvons être assurés que les mondialistes vont accélérer pour nous appliquer leur programme ; particulièrement en Europe Occidentale en encore plus en France.

Le premier geste de résistance fondamental est de refuser le vaccin. Si nous faisons masse, et si nous tenons, ils n’y pourront rien. Si nous lâchons, le dernier maillon aura sauté et nous serons submergés.

De la mise en échec de la vaccination dépendra la continuation ou l’échec de leur programme de captation de nos sociétés et de nos vies.

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