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        « 300 C’était presque le nombre de manifestants présents sur l’esplanade du Peyrou à l’instar des 300 Spartiates des Thermopyles… un début de résistance face aux hordes d’envahisseurs accueillies par l’État bobo complice de cette invasion ». C’est par cette phrase qu’un sympathisant de la Ligue du midi campait le début du rassemblement “Halte à l’invasion”  du samedi 8 octobre 2016.

        La Ligue du Midi, qui étend son influence sans cesse croissante dans la grande région Occitanie avait prévu d’organiser de longue date, ce samedi, une manifestation populaire pacifique sur la voie publique à Montpellier ayant pour thème « SAUVONS NOTRE PAYS – NON AU COUP D’ÉTAT MIGRATOIRE ».

        Consciente du danger létal que représente pour le Peuple de France l’invasion allogène massive que nous subissons au jour le jour, la Ligue, qui défend bec et ongles les identités régionales, les traditions, le patrimoine et la culture de nos terroirs, avait pris l’initiative d’une “quinzaine”, suivie et relayée efficacement par Riposte Laïque,  Résistance Républicaine et le SIEL. Épaulés par des organisations patriotiques locales une quinzaine de démonstrations a été organisée dans plusieurs villes de France. La manifestation de samedi à Montpellier clôturait cette quinzaine.

        La Ligue avait déclenché cette campagne dès la prise de connaissance des projets gouvernementaux visant à démanteler avant le 31 décembre 2016 la jungle de Calais. N’oublions pas qu’à cette date, nous entrons en année électorale et que le gouvernement n’a pas envie de traîner un boulet durant toute cette période. Il a donc décidé de balayer sous le tapis les 12 à 16.000 clandestins en les éclatant en 150 mini-jungles d’un peu moins de 100 individus chacune. Il faut savoir qu’à partir du 17 octobre, 20 compagnies de CRS seront cantonnées à Calais pour tenter de procéder à cette évacuation périlleuse. Notons au passage que les dits individus sont très majoritairement de jeunes hommes seuls qui, a priori, devraient être en mesure de porter les armes pour défendre leurs pays contre ceux qu’ils taxent d’agresseurs.

        Alors qu’elle était annoncée depuis 1 mois et déposée en préfecture depuis 10 jours, la manifestation de la Ligue du Midi a été, par la volonté du Préfet, transformée en rassemblement, cantonné dans le périmètre de la Promenade du Peyrou. Des bandes de « Crasseux » (pour reprendre l’expression de Richard Roudier, Président de de la LDM) s’étaient agglutinées devant la Préfecture de l’Hérault, là même où devait se terminer le cortège. À la demande des autorités préfectorales, pour éviter toute confrontation avec les gauchistes, diverses modifications de l’itinéraire du cortège avaient été adoptées. Finalement, la manifestation de la Ligue avait été autorisée. (C’est du moins ce qui avait été annoncé verbalement à Richard Roudier, le Préfet n’ayant pas cru devoir répondre par écrit à la demande déposée officiellement dans les délais légaux comme le veulent les usages) . “Qui  ne dit mot consent !” se dirent les Crasseux qui, eux, ne s’étaient nullement embarrassés de telles formalités. Le résultat de tous ces mics-macs préfectoraux sciemment diligentés, c’est que dés le début du rassemblement, ordre a été donné aux policiers de bloquer les grilles de l’Esplanade empêchant des dizaines de personnes  de rejoindre les manifestants, y compris des correspondants de presse, des élus régionaux et municipaux. Une vidéo tournée par Lengadoc-Info dans laquelle on voit les policiers cadenasser les grilles met en relief  ces atteintes à la liberté d’expression et de manifestation et démontre s’il en était encore besoin de quel côté penchent les autorités.

        En remerciement du laxisme (laxisme ou « lâcheté » ?) de la Préfecture, les bandes de va-nu-pieds – dont une cinquantaine  équipés de cagoules et de battes de base-ball – remontaient la rue de la Loge vers le Peyrou pour en découdre avec les membres de la Ligue. Plusieurs barrages de CRS en tenue de campagne les en ont  dissuadé.

        Des discours dynamiques sur l’enracinement des Français à leur Terre et à leurs Traditions se sont succédés au Peyrou, dont une remarquable diatribe de Renaud Camus et des discours musclés et enracinés de Llorenç Perrié, catalaniste de Perpignan, de Jean Luc Bouchereau (SIEL OCCITANIE), d’Alain Barnier (Viviers VBM) venu de l’Ardèche, de Françoise Vallergue et d’Olivier Roudier, porte-parole de la LDM ainsi que du groupe musical des “Brigandes”.

        Richard Roudier quant à lui narrait l’anecdote suivante survenue 48 heures avant à l’occasion d’un banal contrôle de police sur un des hauts lieux de la vente de drogue à Montpellier :

        ” Un mineur isolé de 16 ans porteur de cannabis est interpellé. Lorsque les enquêteurs perquisitionnent son appartement,  ce sont deux autres adolescents eux aussi âgés de 16 ans, également mineurs isolés, qui leur ouvrent. Dans le logement, trente-sept autres grammes de résine, des téléphones, ordinateurs et chaînes de cou (cassées) volés sont découverts. Ainsi qu’un passeport tunisien au nom du prétendu mineur. Problème : le document indique qu’il est en réalité âgé de 22 ans. Acculé, l’intéressé va finir par avouer. Il raconte être pris en charge par le Conseil départemental depuis deux ans, qu’il vit en réalité chez sa copine et va se marier car étant en situation irrégulière. Convoquée à l’hôtel de police, la dite petite amie a, pour sa part, refusé de s’expliquer. Elle s’est bornée à confirmer ce projet d’union. Sachant qu’en deux ans, le jeune homme aurait coûté quelque 280 000 € au département… 16 ans, c’était également l’âge de celui que l’on appelle désormais le violeur au tesson de bouteilles qui, en une nuit, a violé une jeune fille, en a attaqué deux autres et commis divers vols. Cela faisait 8 mois qu’il était logé dans un appartement prêté à une association par le Conseil départemental”.  Voila le résultat de cette politique migratoire du “bateau ivre” alors qu’ailleurs, un couple s’est pendu parce qu’il ne pouvait acquitter son loyer.

        “Il faut bien comprendre que le cri d’alarme que nous poussons, ici comme ailleurs, est dirigé avant tout contre le Pouvoir central – le Système – qui favorise l’invasion migratoire de notre Pays, hypocritement conscient des conséquences directes de ce tsunami dont le but non-avoué est d’aboutir au « remplacement » de notre population par des minorités ethniques sans cesse grandissantes, très majoritairement islamiques et islamisées. Minorités qui partout où elles sont concentrées, veulent imposer leurs lois et coutumes comme à Calais, Roubaix, Saint-Denis et en de nombreux lieux qui deviennent rapidement des zones de “non-droit”.

        “C’est ce que j’appelle un Coup d’État migratoire. En effet, la ”traite  des migrants” se déroule en Europe sur l’injonction de l’ONU et de la Commission Européenne. Il y a un objectif qu’on ne nous dissimule plus, qui consiste à fournir aux entreprises multinationales de la main d’oeuvre bon marché, des jeunes mâles, sans attaches familiales, mobiles et peu contestataires, ce qui permettra à Monsieur Bouygues et aux chaînes hôtelières rachetées par le Qatar de jouer sur les salaires à la baisse. Mais la raison inavouée de cette migration, c’est la volonté des mondialistes de submerger les peuples autochtones en vue de submerger et de diluer leur identité, ce que Guillaume Faye, en son temps, appelait « la machine à broyer les peuples ».

        “Les préfets, ces agents du jacobinisme d’État, ces administrateurs que le monde entier ne nous envie pas, sont à la manœuvre et passent allègrement au dessus de la tête des maires et des élus. C’est le cas dans toutes les villes et villages de France  où commence à souffler un vent de révolte.

       “ Vous vous rappelez sans doute qu’il y a 5 mois à l’occasion du centenaire de la bataille de Verdun une officine gouvernementale avait programmé dans cette ville un concert du rappeur Black M -vous savez, celui qui nous traite dans ses chansons de Kouffars- . Dés cette annonce, la mobilisation avait été très forte dans les milieux patriotes et identitaires et en trois jours tout l’establishment capitulait en rase campagne sans  même qu’un coup de feu ne soit tiré (c’est bien sûr une image…)

        “Pourquoi ?
1° Nous étions sur un événement fort et fédérateur : Verdun, une image d’Épinal de notre roman national…
2° Nous avions investi les réseaux sociaux
3° Nous avions fait peser le risque d’une intervention physique sur le lieu même du concert

4° Et enfin, pour la première fois, nous avions pu disposer d’une caisse de résonance d’un grand parti politique qui représente des millions de d’électeurs et dont le secrétaire général déclarait dans les médias : « le concert de Black M. est comme un crachat contre le monument aux morts »

        “Si nous faisons un parallèle entre cette affaire et la tentative de coup d’état migratoire nous constatons que nous pouvons nous retrouver dans les mêmes configurations : 1° des migrants qui arrivent par milliers jusque dans le plus petit village des Albères, de l’Ardèche ou de l’Aude, 2° des réseaux sociaux qui commencent à s’enflammer, 3° des dizaines de manifestations devant les centres de migrants ou les CADA, 4° l’implication depuis une quinzaine de jours du Front National sur le terrain.

        “Chers amis, chers camarades, le combat est devant nous… rapprochez vous localement de vos dirigeants et responsables, vous tous que je vois dans cette foule, toi qui vient de Narbonne, de Sète, de Toulouse, de Carcassonne, de Perpignan, de Nîmes, d’Alès, de Lunel, de Saint Gilles, d’Avignon, de Vauvert, de Sommières, de saint Pons, de La Salvetat, de Béziers … moun Païs et soyez fiers gens del païs d’Occitania d’avoir été les premiers en France à avoir impulsé cette machine à vaincre. Car nous vaincrons…

       “Vive la Liberté
        Siam en co nostre !

        On est chez nous !

        En fin du rassemblement, les Autorités de Police informaient les dirigeants de la Ligue que des groupes constitués entendaient faire une ratonnade sur les personnes venues manifester. Sans doute ces Crasseux-là ne s’étaient-ils jamais encore frottés au Service d’Ordre de la Ligue… sinon ils s’en seraient souvenus…

        Par dépit – et sans doute pour remercier le Préfet de l’Hérault de son laxisme (pardon : de sa « bienveillance ») les Gauchistes  ont détruit dans la nuit, par le feu et à coups de barres de fer, la permanence de la Députée socialiste de l’Hérault, Madame Anne-Yvonne Le Dain. La presse met en cause “Un petit groupe d’anarchistes qui a paradé en centre-ville toute la soirée, allumant notamment des feux d’artifice sans être inquiétés“. Répartis en binômes ils ont couvert le centre ville de Montpellier de centaines de tags  (qui paye le nettoyage d’après vous ?), tags qui, comme le soulignait Anne-Yvonne Le Dain sont de la même couleur et de la même graphie que ceux ayant dégradé sa permanence. Honte à ce comique d’Hussein Bourgi qui y a vu la patte des Identitaires.

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