Le billet de Thomas Fajeau

        Une fois n’est pas coutume, j’écris cet article, non pas pour le publier sur ma page Facebook et le partager avec le tout venant ; mais sur la newsletter de la Ligue du Midi pour le partager avec  un lectorat attaché à nos valeurs identitaires et patriotiques, à notre terre, à nos coutumes et à notre tradition, à la famille et à la société patriarcale. l’Histoire donnera raison à ceux qui portent ces valeurs et qui luttent vraiment contre le libéralisme global et le mondialisme. Contraire à la nature humaine, ces doctrines conduisent à la destruction de notre monde, à la décadence et aux abîmes. Abyssus abyssum invocat, autrement dit, l’abîme appelle l’abîme. Le libéralisme global c’est la nihilisme, l’abîme, et à la fin la barbarie. C’est ce qu’il nous faut combattre en premier.

     L’Université la plus gauchiste de France propose une formation sur le genre

        Etudiant en urbanisme à l’Université Toulouse II Jean Jaurès (ex-Mirail) c’est avec la plus grande stupéfaction que j’ai découvert une plaquette présentant une nouvelle formation aussi novatrice qu’hallucinante. Il s’agit du fameux Master  GEPS (Genre, Egalité et Politiques Sociales) dont nous n’avons appris l’existence que la semaine dernière. Pourtant, il n’y a plus à s’étonner de rien, le monde universitaire est plus que jamais sous l’emprise du paradigme « post-soixante-huitard ». La gauche libertaire (et libertine !), et désormais carrément libérale avec le phénomène Macron, constitue le socle idéologique de ce milieu qui se projette désormais au delà de tour ce que l’on a pu connaître. Tel est le combo gagnant de la gauche intellectuelle des trois « L » (Libertarisme, Libéralisme et libertinage). Tels sont les nihilistes barbares qui s’attaquent désormais à ce qu’il y a de plus profond dans la nature humaine.

        L’université de Toulouse est particulièrement réputée pour son gauchisme parmi les plus virulents et des plus aboutis de France. La fac du Mirail est restée bloquée pendant plusieurs mois en 2006 et 2009 avec la complicité et la soumission du corps enseignant, de l’administration universitaire et même de l’autorité préfectorale et donc de l’Etat. Les dégradations défiguraient tellement cette belle Université de la République, il y avait tellement de tags et de slogans anti-France, anti-fa, anarchistes, communistes, trotskistes, et libertaires en tout genre qu’il a fallu procéder à une réhabilitation complète des bâtiments de 2014-2016. De nouveau, seules les affiches NPA, PCF, Philippe Poutou, ou Révolution Permanente (anti-fa)  collées partout sur les murs flambants neufs des nouveaux bâtiments font office de « décoration ». On est là dans le creuset du nihilisme absolu, dans le creuset du déni de la nature humaine, dans le creuset barbare de la fusion syncrétique entre matérialisme et libéralisme. Étudier dans cette ambiance est un réel combat.

        Le Master de la décadence incarnée

        Hélas, une fois brièvement planté le décor peu glorieux de cette Université, il reste encore à découvrir ce fameux Master GEPS et ce qu’il dit de l’état de la dérive mentale de l’élite universitaire décadente qui monopolise l’enseignement  et le formatage de la pensée unique libérale.

        Le Master GEPS (Genre, égalité politique sociales) est une entreprise de destruction massive de nos valeurs. Il enseigne exactement l’antithèse des principes les plus élémentaires de notre tradition. Il bouleverse les composantes les plus élémentaires de notre mode de vie issu d’une très longue série de progrès conduisant de la barbarie à la civilisation. Il abolit la différenciation naturelle des sexes. Il dénonce le schéma familial traditionnel hérité de notre modèle culturel gréco-latin ; de la Rome antique où le Pater familias constituait le pilier protecteur et l’autorité morale de la famille, permettant ainsi la stabilité affective, morale et éducative des enfants. Il détruit l’image du père de famille dont l’autorité est nécessaire à l’éducation mais au delà à la construction de la personnalité par opposition à cette autorité.  La doxa actuelle veut, détruire une des plus vielles institutions au monde, à savoir la famille, garante en grande partie de stabilité et de l’ordre dans les sociétés humaines, les structurant à l’échelle élémentaire. C’est donc à cette base de la construction sociale que veut s’attaquer l’élite universitaire, parachevant  ainsi l’œuvre de ses aînés de mai 68.

        Sans plus aucun habillage destiné à la masquer, la Théorie du genre est enseignée comme une matière bien différenciée. Elle constitue carrément un pavé au milieu d’autres matières tout aussi nauséabondes.
« Semestre 1 : Théorie du genre 1 : Egalité, Mixité, Parité : 25 heures »
« Semestre 2 : Théorie du genre 2 : Egalité, Mixité, Parité : 25 heures »

« Semestre 3 : Théorie du genre 3 : Egalité, Mixité, Parité : 25 heures ».

        On a peine à croire ce qu’ose avancer la Théorie du genre. Pourtant, elle a pour but de nous faire avaler que nous sommes, à la naissance, indifférenciés au plan sexuel malgré ce que tout le monde, depuis l’aube de l’humanité, cherche à voir en premier lieu chez un nouveau-né et maintenant dès avant la naissance ; c’est à dire si c’est une fille ou un garçon. D’après ces gens, les caractères sexuels différenciés attribués par la nature n’auraient aucune incidence sur le sexe ni sur la sexualité. Le choix du genre serait optionnel, chacun pourrait selon son goût choisir son sexe (maintenant son genre) et en changer quelle que soit sa dotation d’origine, celle dont la nature l’a  pourvu. Toutes distinctions liées au genre seraient fortuites. Je cite la plaquette « Le parcours vise à former des étudiant-e-s à la conception, au pilotage et à l’évaluation des politiques sociales du point de vue de l’égalité femmes-hommes ». (Vous noterez au passage l’orthographe gaucho-féministe d’une plaquette universitaire !).

        Cette idéologie est enseignée dans une structure publique étatique, l’Université, par des enseignants payés avec nos impôts. Ces enseignants-chercheurs (que cherchent ils réellement sinon la destruction finale de nos sociétés ?) dont le misérable salaire atteint péniblement (ironie) les 5000€ net mensuel environ en fin de carrière sont désormais payés pour enseigner ces horreurs à des étudiants déjà décérébrés, hippies et gauchistes (ça va de pair), crétins crasseux, parqués là en attendant d’être au chômage car bons à rien ; ou pour les moins mauvais employés dans des services sociaux publics où ils iront diffuser ces thèses infectes jusque dans la population. Car qui va dans ce dépotoir ? Les ratés, ceux dont on n’a pas voulu ailleurs ou bien des fanatiques déjà pré-adhérents à ces thèses. Vos impôts servent à financer ces fonctionnaires de l’enseignement supérieur. Mais au delà de ces considérations proprement financières, déjà assez scandaleuses, cette idéologie est enseignée à l’Université et donc élevée au rang de dogme, de pensée officielle de l’Etat. Elle est enseignée ici, à l’Université Toulouse II. D’ailleurs la plaquette ne se prive pas de s’en vanter ouvertement : “une formation unique en France”. Tu m’étonnes !

        Voilà comment, l’état impose un véritable diktat de la pensée unique. Seuls le féminisme et le dogme LGBT doivent désormais régir la conscience de tous les Français ! L’imposture est totale, car c’est derrière une soi-disant science humaine qu’est enseignée cette funeste idéologie. Une pseudo-science élevée au rang d’un enseignement  universitaire, un peu à l’instar de l’enseignement du Livre vert  sous le régime de Mouammar Kadhafi en Libye ou du  petit livre rouge dans la Chine de Mao. La France vit donc un totalitarisme idéologique dissimulé, insidieux, vicieux. Car la stratégie est bien rodée, cette formation universitaire a pour but de former  les futurs cadres qui à leur tout auront le devoir d’infuser au restant de la société cette idéologie “crasse”. Comme cela est indiqué dans la plaquette  “Débouchés”:

Les titulaires du Master pourront prétendre à des postes de responsabilité, de chef-fe de projet, de coordinateur/trice de dispositifs, de conseiller-e technique, de chargé-e de mission, de chargé-e d’études, de formateur/trice, de consultant-e dans des associations, des ONG, des collectivités territoriales, des administrations de l’Etats ou encore des entreprises, etc »

        Emasculation, dévirilisation, féminisation, déracinement

        Voilà :  l’Etat, avec vos impôts, forme les futurs cadres qui iront structurer les associations gaucho-féministes subventionnées, les ONG (maffieuses) chantres du mondialisme et de la doxa libérale et libertaire décadente et plus largement la fonction publique qui se chargera de la direction des consciences et de la stricte application du dogme. La destruction finale de notre société est à l’œuvre, tout y concourt, même la formation universitaire des démolisseur.

        L’hypocrisie totale de cette minorité mondialiste décadente et libertaire dans laquelle s’insère les étudiants et les enseignants de ladite formation, cette même minorité qui prétend combattre la culture européenne et ses racines chrétiennes, païennes et gréco-latines au nom d’une idéologie prônant la tolérance, contraste étrangement avec leur silence observé vis-à-vis de l’islam, pourtant bien connu pour son intolérance. Très bien-pensante cette secte féministe totalitaire ne trouve rien à redire au sort des femmes dans la société musulmane.

        Même les animaux de compagnie dans nos société occidentales sont mieux traités que les femmes dans le monde musulman. En 2017 la condition d’un labrador dans un pavillon de Los Angeles est préférable à celle d’une femme dans un taudis de Karachi. Ces gens ont atteint le comble de la supercherie. Ils se caractérisent par leur hypocrisie, le manque total de cohérence de leur pensée et le déni schizophrène de leur appartenance à la civilisation occidentale européenne et plus généralement à la condition humaine. Ces gens haïssent ce qu’ils sont eux même, c’est à dire des êtres humains sexués. Tel est le comble du nihilisme, la haine de soi même et de ce que l’on est. Ces gens n’aiment personne. Comment peuvent-ils prétendre s’occuper des autres et imprimer des valeurs positives à la société alors qu’ils ne s’aiment pas eux mêmes ? Ces gens sont des ‘’haters’’ des fanatiques haineux de la nature humaine et de l’organisation sociale qui lui est conforme.

        Le combat contre le nihilisme libéral précède celui contre l’Islam

        Alors ne nous étonnons pas de voir la France première cible du terrorisme. Cela fait longtemps que nous sommes identifiés par les barbus comme une société émasculée, dénuée de virilité fragile et vulnérable. C’est à cause de tels traîtres, collabos féministes socialistes, libertaires et décadents que la France constitue une cible de choix privilégiée par les islamistes et l’Islam tout court. Affaiblis par la décadence libérale nous sommes leur terre de conquête ! C’est en combattant d’abord à cette idéologie crasse, en nous fortifiant dans notre identité et nos traditions que nous  pourrons ensuite repousser et faire refluer l’Islam hors de nos frontières européennes. La reconquête passe d’abord par la reconquête idéologique contre les libéraux libertaires nihilistes.

        Moi, étudiant toulousain, me battrai jusqu’au bout avec vous, mes chers camarades, pour défendre notre identité et notre terre en péril contre les démolisseurs libéraux.

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