Par François Jay

A la suite de la manifestation de septembre 2021, à Toulouse, contre le passe-sanitaire, une cinquantaine de nervis antifas avait agressé un groupe de militants nationalistes de Bordeaux et de Toulouse. La police avait procédé à des interpellations, et par hasard, seuls des militants de droite s’étaient retrouvés en garde à vue. Et pour 48h ! Le procureur avait fait durer la GAV, sans aucune justification, à part l’espérance qu’une plainte soit déposée par les « pseudos victimes gauchistes ».

Aucune plainte des agresseurs gauchistes n’ayant été déposée, le procureur a tenté une comparution immédiate. Et là, patatras, le transport au tribunal ne s’est pas passé comme espéré et le Tribunal n’a pas pu examiner l’affaire. Contre mauvaise fortune bon cœur, le même Procureur a essayé de faire incarcérer les militants arrêtés… jusqu’au procès. Et nouvel échec, un vice de procédure a permis aux avocats des patriotes d’obtenir une libération… 

Acharnement judiciaire

C’est plus d’un an après que les 5 militants comparaissaient devant les juges de Toulouse. Et… ils ont tous été relaxés. Pourtant, durant l’audience, les juges et le Procureur se sont évertués à trouver des motifs de condamnation. Les échanges entre eux en étaient même grotesques. Malheureusement pour ces magistrats, il n’y avait pas de motifs juridiques de condamner des gens qui étaient agressés, qui ne portaient pas d’armes et dont la seule action violente, prouvée, était un coup de poing en riposte montré par une vidéo…

Beaucoup d’efforts, donc, pour une relaxe générale. Rien n’est plus reproché à nos camarades.

Déconfiture des antifas

Encore une fois, dans ce pays, il a été démontré que les groupuscules crasseux et violents qui hurlent dans les manifestations « tout le monde hait la polic e, les patrons et les fachos », qui agressent, pillent, jouissent d’une totale impunité. Ils peuvent impunément commettre des délits, y compris vis à vis de la police.

A Toulouse, ces spécialistes des actions violentes sont tombés sur un os. En s’attaquant à nos camarades, ils ont pris une belle dérouillée et, comble du ridicule, ils ont appelé la police au secours…

 

Une circonstance qui explique peut-être leur absence, comme plaignants, à l’audience.

Faites connaitre notre site, partagez !