D’après Antonin Campana

 

La notion de Grand Remplacement est une réalité qui est d’abord démographique (les allochtones submergent les Autochtones). Cependant, les allochtones qui s’installent au milieu de nous apportent aussi avec eux leur culture d’origine. Il s’ensuit fort logiquement que cette culture s’impose naturellement là où ils s’imposent. Quand les allochtones seront majoritaires, leur culture sera donc majoritaire et remplacera de facto la culture autochtone.

 

L’islamisation du territoire est la forme visible du Grand Remplacement culturel. Les mosquées poussent comme des champignons, les cantines adaptent leur repas, les règles sanitaires de l’abattage animal évoluent, la grande distribution change la composition de ses rayons, les piscines adaptent leurs horaires, la Banque s’ouvre à la finance islamique, les femmes rallongent leurs jupes, les journaux ne blasphèment plus, les intellectuels s’esbaudissent devant la religion de paix et d’amour et toute la société entre progressivement en dhimmitude.

Nous connaissons tout cela. Nous le voyons dans la rue.

Depuis peu, venue des campus américains, une autre offensive culturelle se développe sur notre territoire. Une « cancel culture » (certains disent une « karcher culture »), a ouvertement proclamé sa volonté d’“effacer“ la culture autochtone.  Cette culture de l’effacement, principalement portée par les décoloniaux, les indigénistes et les Blancs honteux, entend effacer tout ce qui provient du Blanc. On souille ses statues, on rabaisse son histoire, on avilit ses grands hommes, on réduit au racisme la philosophie grecque, les mathématiques, la littérature, ou les conceptions sociétales qui organisent la société qu’il a créé. Cette culture de l’effacement, qui parle maintenant des « lois fondamentales de la physique » pour ne pas parler des « lois de Newton » (Newton était Blanc : à effacer !), remplace aussi sûrement la culture autochtone que l’islamisation, d’autant que les deux offensives culturelles s’allient dans l’entreprise de destruction (islamo-gauchisme).

A qui doit-on ce Grand Remplacement culturel ?

L’islamisation est indissociable de l’immigration. Or l’immigration est un processus voulu, poursuivi et organisé depuis 50 ans par les gouvernements successifs, malgré les Cassandre qui les alertaient sans relâche et qu’ils punissaient pour cela. Jean-Marie Le Pen a été condamné pour avoir dit qu’un jour « les Français raseront les murs et descendront des trottoirs en baissant les yeux ». Aujourd’hui, même les policiers baissent les yeux !

La cancel culture, par ailleurs indissociable de l’immigration puisque portée en partie par des allochtones, est aussi le produit d’un système d’avilissement construit, qui commence à l’Ecole et se poursuit à l’Université. Cela fait de nombreuses années déjà, bien avant que l’idéologie woke n’apparaisse aux Etats-Unis, que l’Ecole républicaine et l’Université apprennent aux jeunes Français à haïr leur propre histoire et leurs grands hommes, tout en relativisant la grandeur de leur culture et de leur civilisation.

Il faut donc poser des questions simples :

Qui est responsable des enclaves étrangères islamisées ?

Qui punit l’islamophobie et ferme les yeux sur l’islamisation ?

Qui contrôle les programmes scolaires qui nous stigmatisent ?

Qui subventionne les instigateurs de réunions interdites aux Blancs ?

Ne soyons pas dupe. Les responsables du Grand Remplacement culturel sont ceux qui sont coupables du Grand Remplacement de population. Ce sont nos chers gouvernants, de droite, du centre, comme de gauche, ces hommes et ces femmes qui se succèdent à la tête de l’Etat depuis des décennies.

Ces gens ont-ils un point commun qui les caractérise, par-delà les étiquettes politiques, les partis, les choix politiciens qui semblent les distinguer ?

Bien entendu : tous, absolument tous, se veulent et se proclament « républicains » !

Une simple coïncidence ?

Si vous le pensez…

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