La « brève » de François Jay

 

Nommé au Conseil Constitutionnel par un pouvoir aux abois, Alain Juppé quitte Bordeaux qui est le théâtre, chaque samedi d’émeutes violentes.

Il abandonne une équipe qu’il avait choisie pour sa docilité et pour laquelle il avait veillé à éviter l’émergence d’une personnalité. Aucune voix divergente, aucune proposition n’était jamais formulée par ses colistiers.

25 ans d’une politique de gauche laissent une ville endettée dont le dynamisme est bridé par toutes sortes de mesures qui freinent les entreprises, la rénovation du centre-ville, la circulation automobile, et le développement harmonieux avec les territoires périphériques.

La violence des manifestations hebdomadaires de protestation témoigne de l’ampleur de la tâche des successeurs pour redresser la situation.

Nommer Alain Juppé au Conseil Constitutionnel c’est verrouiller le pouvoir en faveur de l’oligarchie. N’oublions pas qu’à la souveraineté populaire est systématiquement opposée le pouvoir des juges et celui transféré à Bruxelles. Au peuple souverain on oppose des juges et des commissaires non élus.

Nommer Juppé à un poste clef, c’est bloquer les réformes que les nationaux devront faire pour sortir la France de la glue de la construction européenne. Un mauvais coup pour le peuple, pour notre Patrie.

Mais nous allons bientôt gagner mes amis, comme en Italie, en Hongrie, en Angleterre etc… Même si les technocrates feront tout pour empêcher le blocage de l’immigration et la remigration !

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