Capture vidéo France 3

 

D’après Bellica

Depuis une dizaine de jours, la presse française subventionnée s’agite pour défendre à cor et à cris une « maman voilée » qu’elle présente comme une martyre innocente victime de persécutions islamophobes. Fatima E. était présente au titre d’accompagnatrice d’un groupe d’élèves d’école publique venus assister à une réunion plénière du Conseil Régional et avait jugé pertinant d’arborer pour cette occasion l’étendard religieux misogyne qu’est le voile islamique. Montrée par la presse de gauche comme une simple mère de famille portant un foulard sans arrière-pensée politique, Fatima E. est en réalité membre d’une association liée à des islamistes, comme le montre un faisceau d’éléments convergents.

Les faits

Tout a commencé le 11 octobre, lorsqu’au cours d’une réunion du Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté, Julien Odoul, jeune président du groupe RN-BFC, s’est adressé à la présidente du conseil Marie-Guite Dufay (PS) « au nom des principes laïques », à ce qu’une femme voilée présente dans la salle retire son voile ou quitte les lieux. S’en est suivi une scène larmoyante et une levée de boucliers à gauche pour défendre le droit à porter le voile islamique dans les institutions républicaines. Le journal Libération a carrément qualifié la scène « d’agression » et le CCIF (Collectif contre L’Islamophobie en France) a prétendu qu’ « une femme et son enfant ont été violemment pris à partie » alors même que les propos de Julien Odoul étaient on ne peut plus calmes, mesurés, argumentés et dénués d’agressivité, comme on peut le voir sur la vidéo de la scène, et qu’il ne s’est à aucun moment adressé à Fatima E. :

Fatima E. a carrément déclaré : « Ils ont détruit ma vie » et a dit à la presse que ses enfants étaient « traumatisés » par cette histoire. Plusieurs éléments montrent que Fatima E. est en réalité une militante de l’islam politique. Elle est proche d’Olivier Benamirouche, responsable local de l’associon CRI (Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie) à Belfort. Or le CRI a été fondé par Abdelaziz CHAAMBI, islamiste fiché S, comme le montre une pétition crée par les proches de Chaambi pour réclamer le retrait de sa fiche S. Sur sa page Facebook, Olivier Benamirouche partage des vidéos d’Abdelaziz Chambi.

Olivier Benamirouche a publiquement fait état de ses liens avec Fatima E. Cadre du club de boxe RoyalTeam de Belfort. Olivier Benamirouche a publié sur sa page et sur la page du club des messages de soutien à la « sœur » Fatima E., présentée comme une membre du conseil d’administration dudit club. On notera également que ce club de boxe pratique une communication très marquée sur le plan politique et religieux. Drapeaux palestiniens et voiles islamiques sont mis en avant sur la page facebook du club. Certaines publications ont depuis été supprimées mais des captures d’écran ont été réalisées.

 

Un happening politique concerté ?

Les similitudes sont frappantes entre l’affaire Fatima E. et plusieurs happenings politiques organisés par les militants islamistes pro-voile. A chaque fois, une ou plusieurs militantes de l’islam politique se rendent voilées dans des lieux où le voile n’est pas admis et s’assurent que les caméras soient braquées sur elles. A chaque fois, elles se présentent comme de simples femmes voulant « s’habiller comme elles le souhaitent », injustement exclues sans rien avoir demandé. En réalité, on finit toujours par découvrir qu’il s’agissait de militantes déterminées qui avaient prémédité leur action. Cet été, Marianne a révélé que la prétendue femme « exclue d’un Aqualand pour sa tenue trop couvrante » (un burkini) était une militante d’extrême-gauche ouvertement pro-islamistes et anti-blancs, et qu’elle avait planifié son happening pro-burqini en s’assurant que tout soit filmé. Au terme d’un patient travail d’enquête, le blogueur et militant pro-laïcité Naem Bestanji a démontré que la multiplication des affaires de « burkini » en France étaient le fruit d’une stratégie délibérée d’agitation politico-médiatique.

En choisissant d’accompagner des élèves au Conseil Régional de BFC avec un voile islamique, Fatima E. savait d’avance que les caméras seraient présentes et que brandir un symbole religieux misogyne dans une institution de la République, devant des enfants, ne manquerait pas de choquer. De surcoît, ce coup médiatique intervient comme par hasard au milieu d’une campagne médiatique et juridique du CCIF pour exiger que les mères d’élèves puissent porter le voile islamique dans le cadre des sorties scolaires. Le CCIF appelle les femmes musulmanes à se présenter voilées lors des sorties scolaires et s’engage à les aider à porter plainte pour discrimination et à médiatiser leur cas. C’est ce qui s’est passé avec Fatima E., devenue illico égérie du CCIF.

Enfin, les discours larmoyants de Fatima E. transpirent la victimisation calculée. Il faut atteindre un degré extrême d’embrigadement politico-religieux ou de cynisme politique pour déclarer « ils ont détruit ma vie » à propos d’élus réclamant pacifiquement qu’elle respecte la neutralité religieuse, dans un pays où l’islamisme a fait plus de 250 morts ces 4 dernières années. Patrick Jardin, le père d’une jeune femme morte au Bataclan, a d’ailleurs fait part de son écœurement : « Ils ont tué ma fille, et cette voilée ose pleurnicher ! », écrit-il dans sa dernière tribune.

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