Communiqué de la Ligue du Midi

 

En perdition après avoir essuyé un rejet de son idéologie de la part des classes populaires dans l’affaire du squat Roland à Toulouse, la mouvance anarchiste vient d’entrer dans un cycle de radicalisation violente et dans une dangereuse escalade criminelle qui vient de se propager à nos portes, en Cévennes, jusque dans les zones rurales de la Lozère et du Gard.

Toulouse : après avoir dû quitter la maison squattée de Roland, 88 ans, sous les yeux de la France entière et sous protection policière, et après un désaveu cinglant de la part des populations et des travailleurs pauvres du quartier, la mouvance anarchiste locale s’est lancée dans une radicalisation ultra violente et maintenant criminelle.

  • Représailles ultra violentes lors d’une attaque en meute des amis de Roland qui s’étaient réunis à quelques-uns pour fêter leur succès et l’éviction de squatteurs. Attaque revendiquée sur le site IAATA sous le titre  « la fête est finie ».
  • Tentative d’incendie criminel de véhicules dans les locaux de la Dépêche du Midi. Un acte criminel, prémédité et annoncé dans le précédent communiqué du site IAATA. « À bas la Dépêche, vive les Squatteureuses » (sic)
  • Un acte criminel immédiatement revendiqué sur le site infolbertaire.net.

Cévennes : nouvelle provocation à nos portes, installation d’un squat rural dans un hôtel à Saint-Julien-des-Points, au nord d’Alès dans le département de la Lozère.

Une nouvelle fois, les classes populaires du voisinage se sont immédiatement mobilisées pour exprimer leur rejet de l’idéologie du squat et de la déconstruction du droit de propriété. Immédiatement une pétition a été lancée sur place ainsi qu’un appel à la mobilisation populaire contre ces provocateurs ultra violents.

La Ligue du Midi apporte tout son soutien à la population locale, aux propriétaires de l’hôtel et aux voisins qui se sont élevés en nombre contre cette provocation.

La Ligue du Midi condamne la radicalisation violente de la mouvance anarchiste ainsi que sa dérive criminelle.

Elle en appelle aux pouvoirs publics pour qu’ils fassent immédiatement cesser cette occupation. En effet, au vu du précédent et de l’escalade criminelle à laquelle on vient d’assister à Toulouse, le risque court, d’ores et déjà, de graves troubles à l’ordre public et de la réitération de nouveaux actes criminels en Cévennes.

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