MaitresChezNous[2]

Le 14 mars 2015, 2000 patriotes réunis à Béziers ont fait tourner, en sens inverse, pour la première fois dans l’histoire contemporaine de notre pays, la roue dentée de la décadence. En face d’eux, à une centaine de mètres, 250 contre-manifestants, cornaqués par quelques fossiles communistes locaux et vieux profs, tentaient de se convaincre que les masses musulmanes allaient remplacer dans les organisations des “damnés de la terre”, les prolétaires d’usine, aujourd’hui défaillants.

Dans un discours sans concession qui, n’en doutons pas, sera étudié dans quelques dizaines d’années dans les universités et les lycées, Robert Ménard a déroulé le triptyque du combat de demain :

Dire non à la repentance, et au révisionnisme historique
« Non, je ne veux plus que nous soyons dans la repentance, je veux dire notre vérité à ceux qui armaient le bras des assassins des harkis, aux bourreaux qui nourrissent encore une haine de la France … » rappelant qu’en aucune manière la date du 19 mars 1962 n’a marqué la fin de la guerre d’Algérie, puisque le FLN continua durant plusieurs mois les massacres barbares de civils Pieds-Noirs et de harkis, notamment en juillet 1962 à Oran. 

Combattre le Métissage, fruit du multiculturalisme
«Non à cette France multiculturelle qu’on nous impose»… « Il y a 50 ans (…) nous tapions sur des casseroles en scandant « Algérie française ». Il faudrait aujourd’hui, avec la même ardeur, dire non à cette France métissée qu’on nous promet (…) mais dire oui à une France fière d’elle-même, de son histoire, de ses racines judéo-chrétiennes » Et Ménard de conclure d’un «Vive la France française» ….

Lutter contre l’immigration de peuplement
« Alors qu’on obligeait un million de Français à quitter leur Algérie natale, on ouvrait la France, quasi simultanément, à des millions d’immigrés bien décidés pour certains à ne jamais se sentir, à ne jamais devenir des Français à part entière ». Par cette formule, Robert Ménard avait l’intelligence d’enraciner son combat dans les réalités de la France d’aujourd’hui.

Evidemment ce discours identitaire était insupportable pour la “grosse” presse qui s’est contentée au mieux de renvoyer dos à dos, les deux manifestations, et au pire de dénoncer l’initiative de Robert Ménard comme étant un appel à la haine, ou à la division des français… mais il confortait les identitaires de la Ligue du Midi présents en nombre lors de cette inauguration, venus en cars ou en voitures de toutes les régions du Midi et bien sûr de Béziers et de ses villages alentour….

La Ligue du Midi, qui termina cette journée par une réunion de direction dans les salons d’un hôtel de la ville se félicita du succès incontestable de ce rassemblement auquel elle aura contribué en relayant pendant trois semaines les informations sur l’évènement et en y amenant plusieurs centaines d’adhérents et de sympathisants. Signalons que ses membres sont intervenus à plusieurs reprises lorsque quelques inconscients ont cru opportun de déployer des drapeaux algériens aussi bien dans la contre manifestation que sur une villa toute proche…

Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi, profitait de la diffusion d’un tract par ses militants pour répondre à de nombreuses sollicitations, s’entretenant avec des représentants des pieds noirs, des association de Harkis, des associations d’anciens combattants ou de défenseurs des prisonniers et fusillés de l’Algérie française. Sur ce tract tiré à 2000 exemplaires on pouvait lire en en tête : “Non à la repentance… Oui à la reconquête !” Décidément l’osmose était totale avec le discours du maire de Béziers.

D’autres infos sur le FB de la Ligue du Midi

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