Ligue du Midi à propos du sénégalais chauffeur de bus en Italie

 

Le 20 mars dernier à Milan un chauffeur de bus d’origine sénégalaise a pris en otage 51 collégiens, les a entravés, a répandu de l’essence et a mis le feu au véhicule. Les enfants ont été sauvés in extremis.

Selon les médias relayant les premiers interrogatoires, cet acte abominable trouve sa motivation « dans la haine des blancs colonisateurs de l’Afrique » qui « contraignent ses habitants à émigrer et mourir en Méditerranée… ». « Le blocage du navire humanitaire Mare Jonio, au large de Lampedusa avec 48 migrants à bord aurait constitué le facteur déclenchant… ».

Après avoir favorisé, laissé prospérer le terrorisme islamique en 0ccident et l’avoir nourri de repentance, de tolérance, de laxismes, de dénis, de relativismes nos élites politico-médiatiques mondialistes, et leurs cohortes d’ONG et de mouvements antiracistes ont engendré un nouveau monstre : « le terrorisme immigrationniste ».

Les ressorts sont toujours les mêmes :  on érige le blanc occidental en éternel coupable, on proclame en son nom une repentance entérinant cette culpabilité et, en aiguisant le ressentiment contre ce nouveau bouc-émissaire, on fabrique une victimisation qui devient le terreau empoisonné d’un terrorisme revendiquant sa légitimité.

Le pacte de Marrakech, qui accorde un droit quasi universel à la migration et qui suggère, en filigrane, le racisme des sociétés d’accueil, si l’on en juge par les nombreux moyens de protection mis à disposition des migrants pour s’en défendre, attise par anticipation les braises de ce nouveau terrorisme.

Cette propagande « anti-blancs » a été bien intégrée par ce Sénégalais, terroriste d’un nouveau type qui ne regrette nullement son geste et même le revendique puisqu’il devient l’expression de la lutte de tous « ses frères » (sic), s’arrogeant le droit de violer légitimement nos frontières, nos territoires et nos cultures.

Mme Livia Turco, ex-ministre italienne, remplissant son rôle de collaboration à la violence portée contre nos sociétés s’est empressée de déclarer : « il faut condamner l’acte, mais il faut comprendre le geste ».

Il y a des idéologies meurtrières. Elles le sont d’autant plus que, par une aberrante contradiction, elles livrent des enfants, des populations civiles innocentes en pâture au terrorisme qu’elles contribuent à enfanter tout en servant les intérêts des seules coupables :  les oligarchies mondialisées qu’elles prétendent combattre.

Faites connaitre notre site, partagez !