Communiqué de la Ligue du Midi du 28-05-2022

Comme le soulignait un des orateurs, l’hommage à Jeanne d’Arc prend au fil des ans à Montpellier de plus en plus d’importance en termes d’intensité et de public. Visiblement les antifas n’aiment pas ça ! Richard Roudier coordinateur de l’opération qui regroupait les identitaires de la ligue du Midi, des souverainistes et des royalistes se félicitait de ce succès et prononçait au terme de la cérémonie qui dura une bonne heure, la dislocation du rassemblement qui se terminait par la « cantate à l’étendard ».

Ce jeudi 26 mai, jour de l’Ascension, plus de soixante-dix personnes dont la moitié de jeunes, étaient venus rendre un hommage plein de ferveur, à Jeanne, la sainte patronne de la France. Parmi les orateurs entourés des bannières, on notait la présence des personnalités : Nicole Mina, coordinatrice « Reconquête Hérault », ex-conseillère régional, Erick Cavaglia professeur d’Histoire géographie, candidats aux élections législatives dans la 1^ère circonscription du Gard, Catherine André représentant les Cercles royalistes. Un dernier orateur fit l’historique des fêtes à Jeanne d’Arc et rappela que la statue montpelliéraine était l’œuvre du sculpteur local Paul Dardé.

En fin de rassemblement, alors que la cérémonie s’était déroulée sans encombre, un groupe de jeunes patriotes, qui se dirigeait vers un lieu de pique-nique tout proche tomba dans un véritable guet-apens tendu par une bande de prétendus antifascistes au niveau du théâtre des beaux-arts.

Ces malfaisants avaient tenté quelques minutes plus tôt de faire un mauvais sort à trois des nôtres (trente contre trois) qui étaient allés au ravitaillement. Ces camarades s’étaient rendus tranquillement au supermarché du boulevard Louis Blanc. Ils auraient été identifiés par le groupe d’antifas parmi lesquels des membres de la Jeune garde et des « Armata Ultra ». Au vu de quelques adhésifs apposés sur des panneaux de signalisation, on peut penser qu’un certain nombre d’antifas avaient fait le déplacement depuis Valence et Clermont-Ferrand… Quel honneur !

Nos trois camarades parvenaient à se dégager prestement et opéraient la jonction avec un groupe plus important de patriotes qui regagnaient le lieu de piquenique. Le choc se produisit quelques rues plus loin au niveau du local (quel hasard) du syndicat « Solidaires ».

Ils pensaient mettre en déroute notre groupe à grands coups de projectiles et de bombes lacrymogènes mais nos camarades bien qu’en infériorité numérique gardaient la ligne. Dans le feu de l’action un jeune patriote glissait au sol et se faisait dérober dans un nuage de gaz son sac à dos uniquement rempli de victuailles.

Après avoir fait partir les personnes âgées et les femmes, dont une enceinte, qui étaient parmi eux, la dizaine de militants a donc fait face à la horde armée de pied en cap de matraques et de gazeuses, alors que pris au dépourvu, les nôtres se défendaient à mains nues. Il y eut plusieurs mêlées mais pas un pouce de terrain n’a été cédé, si ce n’est pour être repris immédiatement.

Peu à peu les antifas devant la détermination de nos jeunes commençaient à reculer, puis des renforts d’amis arrivant des rues adjacentes (merci aux téléphones portables) ils devenaient carrément fébriles cherchant de tous côtés une échappatoire.

Si un de nos membres a été isolé, mis à terre et frappé au sol, nous avons réussi à l’arracher à leurs griffes crasseuses ainsi qu’à les faire reculer une fois de plus. Malgré le poids du nombre, voyant qu’ils n’arriveraient à rien, les antifas battaient en retraite à la course… pour tomber nez à nez au bout de quelques centaines de mètres sur l’équipage d’un fourgon de police -alerté par le voisinage- qui procédait en flagrant délit à l’interpellation de sept malfaisants.

Parmi les voyous, on pouvait noter la présence de Léo Maimone, figure emblématique chez les antifas, de Nicolas Kaizer qui vers la fin de la matinée tentait de prendre des photos de la cérémonie « Jeanne d’Arc » ainsi que trois « Armatas ultras » et de nombreux membres de la « jeune garde »

Au final, il y a eu sept interpellations et, pendant que nous fêtions la victoire, un de ces lâches était en garde à vue pour le vol du sac de notre camarade, qui à l’heure actuelle est en train de faire évaluer ses blessures dans le cadre de la plainte qui a été déposée. Pourvu que justice soit faite. Nous n’y croyons pas trop…