Je me présente, Joachim, 27 ans, j’aimerais vous parler de ce qui se passe avec la dictature sanitaire. On parle toujours du passe-sanitaire, du vaccin, des premières, deuxièmes et troisièmes doses, on oublie tout le temps que ce qui se passe aujourd’hui était déjà annoncé en 2017 quand Macron était en campagne.

Le modèle économique dans lequel on vit, à base d’ubérisation, c’est ce qui pèse sur nous aujourd’hui par la dictature sanitaire. On vous oblige à travailler chez vous, on digitalise au maximum vos métiers, on vous interdit de travailler sur votre lieu de travail.

Dans les bars, on vous oblige à présenter une application avec un QR code, c’est aussi cela la digitalisation, comme le fait de suivre vos données avec vos smartphones ; c’est le principe de l’ubérisation : digitaliser un produit. Vous n’êtes plus un humain, vous êtes un code.

Depuis le début de la crise sanitaire jusqu’à aujourd’hui, de nombreuses personnes avaient une vie, aujourd’hui ils n’en ont plus. La plupart des gens s’en moquent, ils éclipsent le fait que des jeunes surtout des étudiants sont contraints de se prostituer pour moins de 10 euros pour survivre, au profit d’une classe plus aisée qui en profite ; ils refusent de voir que d’autres français sont obligés d’occuper 2 ou 3 emplois pour avoir un salaire sur lesquels les charges dont ils doivent s’acquitter sont plus importantes que ce qu’ils sont censés gagner, tout cela au profit des plateformes comme uber et deliveroo. Toutes ces personnes sont obligées de tapiner pour le gouvernement, ils n’ont pas le choix.

Derrière nous, il y a des milliers de citoyens qui profitent des terrasses de bars et restaurants, ou sont-ils aujourd’hui ceux qui d’habitude hurlent et protestent en masse parce qu’ils n’ont pas assez d’heures supplémentaires ou de vacances, on les voit toujours dans la rue, mais on ne les voit jamais dans nos manifestations ! alors, ils sont où ?!

Que sommes-nous pour eux ? des citoyens de seconde zone, car eux ont un passe-sanitaire ? Ils se disent qu’ils sont chanceux, qu’ils peuvent s’amuser confortablement tandis que nous qui refusons nous avons seulement le droit de consommer sur le bord du trottoir, assis dans le caniveau comme des clochards…

Ces gens au gouvernement, qui nous rabâchent sans arrêts qu’ils sont anti-fachistes, sont les premiers à nous exclure de la société, buvez votre bière comme des clodos ou mangez chez vous, nous n’en avons rien à faire, vous ne pourrez plus faire vos courses, ni vous rendre au centre commercial.

Ces mêmes gens qui se battaient dans les années 80-90 contre l’apartheid en Afrique du Sud, qui s’indignaient publiquement, ce sont les mêmes aujourd’hui qui nous imposent un apartheid sanitaire en France, ils n’ont aucune légitimité et pourtant ils sont encore soutenus par une majorité de français, car ils ont un intérêt viscéral en commun, celui de gagner encore plus d’argent sur le dos de ceux qui se crèvent la santé pour survivre. Il n’y a aucun problème pour ces gens-là.

Je me permets de faire un léger retour au printemps 2020, lorsque madame Macron (Brigitte) s’est exprimée sur la précarité, la pauvreté de tous ces jeunes, victimes collatérales de cette crise… il ne faut pas s’étonner que la détresse et le sort de ces étudiants soit une priorité pour la dame de l’Elysée, elle aime les petits jeunes, elle l’avait déjà prouvé avec « macronet » à l’époque.

En conclusion, je vous enjoins de continuer à vous battre, sur les réseaux sociaux et dans la rue ; chaque personne présente ici est un militant en puissance, et chacun peut communiquer à ce sujet. Revendiquez le haut et fort et chacun doit le dire, « je suis contre le passe-sanitaire », et surtout « LA PAROLE AU PEUPLE !!! » 

 

La parole au peuple, car le vrai peuple c’est nous !

 LIBERTÉ !  LIBERTÉ !  LIBERTÉ !

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