Le billet de Martin Moisan

 

Comme chacun le sait, il n’y a pas de complot, pas de comploteurs. Il n’y a que des complotistes, des paranoïaques qui voient le mal partout, qui voient des fantômes dans le dos des mondialistes, des névrosés du repli sur soi même, la France rance comme ils disent.

En attendant, le processus se déploie inexorablement et si chaque fait pris séparément paraît n’avoir qu’une signification limitée ; mis bout à bout ils constituent un ensemble bien rigide, bien compact dont on ne se défera pas aussi facilement. En tout cas pas dans le cadre de la gestion courante de notre vie démocratique car nous ne nous appartenons plus nous-mêmes. Ce sont des instances supra nationales, européennes et mondiales qui priment sur nos voix. Nous ne sommes plus maîtres de rien chez nous et, quand bien même nous voterions, si le résultat n’est pas conforme aux attentes des mondialistes, il sera annulé et la volonté de nos maîtres finalement imposée par d’autres moyens.

 

Pacte de Marrakech, pas de complot, mais tout s’enchaîne à la perfection

 

Le pacte de Marrakech signé le 10 décembre 2018 ne devait pas être contraignant, il n’engagerait à rien, il serait sans conséquences ; toutes raisons pour lesquelles il a été signé en catimini, sans qu’il en ait été question auparavant, sans que les français en aient été informés et surtout sans qu’ils aient été consultés.

Pourtant, immédiatement après la signature du pacte de Marrakech, nous avons assisté à un enchainement de décisions visant à en rendre l’application contraignante. Nous pouvons le constater de jour en jour, tout se met en place pour le rendre obligatoire et pour réprimer toute opposition.

Dès février Macron nous réexpliquait que le grand remplacement était inéluctable.

 

Consécration par Bruxelles de l’obligation des peuples européens à l’endroit des peuples d’Afrique, particulièrement d’Afrique noire

 

Fin mars, c’est le parlement européen qui s’est empressé d’adopter une résolution sur les droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine en Europe, par laquelle il consacre la dette des peuples européens vis à vis des peuples africains et donc une obligation éternelle de nos peuples à l’égard des leurs. Le pacte de Marrakech trouvait là une première concrétisation au niveau européen en attendant une loi formelle plus contraignante. Telle est la procédure, il faut d’abord une résolution de la commission, ce n’est qu’ensuite que le reste suit sous forme de loi européenne à transcrire dans le droit des états membres. Par cette décision, l’Europe vient de consacrer le Grand Remplacement. L’Europe nous l’impose : nous allons devoir nous écarter et payer pour nous faire remplacer.

 

Organisation en France de la traque des actes et propos dits déviants

 

Toujours en application des dispositions du pacte de Marrakech, la France n’est pas restée en retard non plus, puisqu’elle a immédiatement créé la BADI, Brigade Anti-Discrimination, adjointe à la DILCRAH. L’objet de cette nouvelle structure : coordonner l’action des associations, ONG et autres GAFA afin de traquer et de sanctionner les propos et les actes racistes.

On ne pourra plus rien dire, la traque des propos déviants est désormais organisée par l’État et déléguée aux associations et aux réseaux sociaux. Gare aux contrevenants, la délation sera instituée en principe permanent et, comme au bon vieux temps, vous risquerez à tout instant la dénonciation,

 

Des évolutions législatives en gestation afin de durcir encore la répression

 

Dans le même temps, le lobby immigrationniste LICRA et la LDH et leurs avocats : Stasi et Charrière-Bournazel, venu avec ses propres articles de la nouvelle loi déjà écrits, prenaient le contrôle de la commission de lutte contre les groupuscules d’extrême droite (grosse commission Ressiguier) afin d’y promouvoir des mesures législatives visant à mettre le droit français en conformité avec les exigences du pacte de Marrakech. C’est à dire visant à réprimer de la manière la plus sévère toute opposition au Grand remplacement.

Au programme : sortir les écrits et les paroles des dispositions protectrices de la Loi de 1881 sur la presse et les pénaliser au même tarif que les actes. Mais aussi et c’est beaucoup plus vicieux : inverser la charge de la preuve en matière de haine ou de racisme. Ainsi, en cas de plainte, ça sera à vous de prouver que vous n’êtes pas raciste. Exemple : vous klaxonnez un groupe de grosses ménagères en boubou qui traversent en dehors des clous et qui bloquent le passage avec leur marmaille, et leurs caddies, si elles portent plainte, ça sera à vous de prouver que vous n’êtes pas raciste. Bonne chance. Résultat : quoi qu’on vous fasse, quoi que vous ayez à subir, vous n’aurez plus qu’à vous écraser. S’il y a du bruit dans la copropriété à minuit, écrasez-vous, si les poubelles dégueulent dans l’escalier, fermez-la. Dès que vous aurez à subir les mœurs des nouveaux venus, écrasez-vous sans quoi vous serez immédiatement dénoncé, poursuivi et condamné.

Plus aucune expression possible contre le grand remplacement, plus aucune possibilité de dire quoi que ce soit à des personnes dites racisées. Totale latitude pour elles de vous imposer leur mœurs et leurs nuisances sans que vous puissiez vous autoriser la moindre réaction.

 

Le déni d’État : le mensonge devient la vérité

 

Bien entendu, tous les relais et pseudopodes le l’État sont mobilisés pour travestir la réalité et occulter les conséquences insupportables de la submersion migratoire. Tel est le cas du CNCDH qui dans son rapport annuel inverse totalement la réalité pour nous expliquer que :

« Plus on a d’aversion à l’égard de l’islam et plus on a d’aversion à l’égard de la laïcité ».

« Plus la personne est hostile à l’islam, moins elle est attachée au principe de laïcité, moins elle est encline à défendre les droits des femmes à s’habiller comme elles l’entendent ou à refuser le statut de femme au foyer, moins elle tend à trouver l’homosexualité acceptable. Autrement dit, ces arguments, souvent avancés pour justifier le rejet des pratiques de l’islam, ne résistent pas à l’analyse, le ressort de ce rejet n’est ni un attachement plus marqué aux valeurs républicaines, ni une défense de l’émancipation des femmes ou des minorités sexuelles. »

C’est ainsi, pour les remplacistes il ne doit plus y avoir de vérité : le mensonge c’est la vérité.

 

Réquisition des logements vacants – Français, ôtez-vous de là qu’on les y mette

 

Dernière avancée connue à ce jour, conformément aux dispositions du pacte de Marrakech et afin d’en faire consacrer l’application par la jurisprudence, un collectif d’associations remplacistes :

-Auberge des Migrants, Cimade, DROP Solidarité, Fondation Abbé Pierre, lGISTI, Ligue des droits de l’Homme, Médecins du Monde, Refugee Women’s Centre et Salam Nord/Pas-de-Calais-,

vient de porter la violation des droits fondamentaux des exilés devant la justice.

Si par malheur, la justice venait à consacrer le droit fondamental des envahisseurs au logement et notre obligation à les prendre en charge de A à Z conformément aux exigences du pacte de Marrakech ; alors ce seraient les dispositions des ordonnances de 45 sur la réquisition des logements vacants ou insuffisamment occupés qui pourraient s’appliquer.

Elles sont toujours en vigueur, il suffit d’une simple décision des préfets pour que les logements vides soient réquisitionnés.

Toutes les disponibilités ayant déjà été mobilisées appartenant aux domaines de l’État, au parc HLM, ou au secteur privé : social, associatif ou hôtelier, face à l’afflux incessant ce sont désormais les logements privés qui vont être réquisitionnés.

Les ressources encore disponibles sont immenses, en particulier dans les grandes stations touristiques du littoral ; mais aussi dans la profondeur du territoire, les campagnes et les petites villes qui se meurent où l’épandage se poursuit déjà à un rythme accéléré.

 

En résumé

 

Comme on vient de le voir, tout concourt à rendre au plus vite contraignantes et irréversibles les dispositions du pacte de Marrakech ; que ce soit à l’échelon européen ou national : consécration de notre prétendue obligation à l’égard des peuples d’Afrique, répression féroce des oppositions, consécration des prétendus droits fondamentaux des migrants au logement et aux aliments et de notre obligation en regard.

Tout cela s’inscrit dans le vaste plan de soutien de la croissance voulu par les marchés. Soutien qui se fera par la venue massive de nouveaux consommateurs qui ne produiront jamais rien, mais dont la consommation sera solvabilisée par notre paupérisation, par la réduction de nos droits et par la spoliation de nos patrimoines. Le plan est simple : déshabiller la classe moyenne de souche pour rhabiller les masses de nouveaux venus et les faire rentrer dans la consommation au profit des marchés.

 

Tout faire pour battre Macron aux élections européennes

 

Puisqu’il en a fait un enjeu personnel, tout, absolument tout doit être fait pour que Macron soit battu par le RN qui est le mieux placé, mais également pourquoi pas, en plus, par LR en deuxième position.

Il est indispensable de finir de le fragiliser et de l’isoler avant de nous en débarrasser définitivement et avec lui de la caste remplaciste, le plus tôt possible.

 

Fragiliser Macron au maximum, s’est ouvrir la perspective d’une crise institutionnelle majeure qui pourrait tout emporter et rouvrir le jeu politique.

 

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