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La chronique de “Femmes en colère”

        Des experts, dits scientifiques, d’Arabie Saoudite » ont reconnu en mai 2016 lors de la Journée mondiale de la femme, que celle-ci était… un mammifère ! Cette «découverte» a été saluée avec l’émotion qu’il convient par les porte-paroles des droits des femmes,  Association Jane Austin et Amnesty International émues aux larmes pour cette avancée extraordinaire.

        Cette révélation prodigieuse, ce sacré bond dans le futur, est créateur de droit pour la femelle de l’humain, le droit à la nourriture: comme la chèvre ou la chamelle. Jusqu’à ce jour, elle n’était qu’objet mobilier. Inutile d’ajouter que cette promotion n’est pas du goût d’une élite politico-religieuse des émirs du pays.

        Ce genre d’annonce « révolutionnaire » permet de mesurer la distance morale et intellectuelle entre des pays soumis à des diktats religieux rétrogrades et l’Europe, laquelle s’interrogeait en 1550 lors de la « controverse de Valladolid » sur le caractère d’humanité des indiens récemment découverts. Les pétro-dollars ne comblent pas l’abime de sous-culture du monde musulman, la décadence intellectuelle des peuples interdits de raisonnements par la religion.

        C’est bien à propos que le chercheur pakistanais, dr. Farrukh Saleem, dénonce le manque d’ “ éducation “ des disciples de Mahomet. Le Coran et les ” haddiths “ interdisant toute réflexion, codifiant tout élément de la vie quotidienne, ont privé le monde musulman de créateurs, inventeurs, scientifiques, penseurs…

        Les prescriptions de la Charia concernant la vie pratique sclérosent le cerveau des adeptes : l’eau chaude du thé non conformément versée attire les djinns, de même uriner dans un trou ou une grotte ; on ne rentre pas avec le même pied dans les mosquée ou mes toilettes. Le rituel du torche-cul (Rabelais préconisait un oison) à la manière du prophète, avec trois pierres, pose de sérieux problèmes aux utilisateurs d’eau, de lingettes. Il est étonnant que le prophète, aidé de l’ange Gabriel envoyé par dieu, n’ait pas prévu ces inventions à venir. Il convient surtout de ne pas se déshabiller sans invoquer Allah car les djinns pourraient vous pénétrer. La croyance pré-islamique aux djinns (de même qu’aux anges) subsiste. Ce sont des esprits sexués, qui peuvent, être bons ou mauvais, et se reproduire avec des humains (cf. Sourate 55, verset 15)… esprits de l’air, ils peuvent vous posséder lors d’un sifflement, par exemple.

       La charia réglemente l’entretien du corps, l’alimentation. Par exemple, pour se rendre à la mosquée, il convient de se laver, porter ses meilleurs habits, se parfumer. Avant les cinq prières quotidiennes, il faut se passer un peu d’eau sur la tête, les pieds (sexe?) et les mains jusqu’au coude. Il est aussi prévu qu’à l’issu d’une fornication derrière un buisson (!!!), l’eau pouvant manquer, un peu de sable sur le visage et les mains fera l’affaire. Surtout ne pas oublier tous les quarante jours de se raser les aisselles, pubis et anus. Pour les cuisses, c’est sujet à controverse. Le prophète, vivant dans le désert avait l’odorat sensible et vite compris que les trois cailloux ne suffiraient pas dans certains cas de défécation.

        Voilà des sujets et des règles propres à scléroser tout cerveau et engendrer une aliénation totale (aliénation = soumission = islam). Il convient d’ajouter à ces balivernes qui ne peuvent remplir une vie, l’éducation et les déguisements destinés à séparer les deux sexes, éviter la mixité et faire des musulmans des infirmes sexuels. Si le Coran insiste sur la pudeur, il ne demande pas à la moukère de se couvrir la tête, mais le sein. Ce sont les salafistes qui prescrivent de se cacher les cheveux. Aussi les musulmanes qui arborent ces défroques d’un autre âge, en France, comme burkini, burka, voile ou autres, le font avec agressivité par provocation, affirmation communautaire, rejet des valeurs du pays d’accueil, dans un esprit de conquête, d’occupation du territoire, de rejet du mode de vie occidental, en un mot pour coloniser le pays. Les niaises qui, croyant défendre des libertés et par solidarité se baignent habillées, ne sont que les idiotes utiles du salafisme.

        Revenons-en à nos femelles du mâle humain : bien que dépourvues d’âme, les experts précités leur reconnaissent la capacité de procréer et leur concèdent une caractéristique unique chez les animaux, celle d’avoir « sept vertèbres cervicales ». Un jour peut-être, franchiront elles la barrière des espèces.
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