black blocs

Le billet de Thierry Lafronde

 

0,5 %, oui, vous avez bien lu, c’est finalement le tout petit nombre de casseurs antifas des « black blocs » qui devra répondre de ses méfaits accomplis brutalement à Paris le 1er mai 2018 ! Ainsi la préfecture de Paris reconnaît qu’ils étaient 1.200 au départ ; 200 furent interpellés, 109 mis en garde à vue et… seulement 6 poursuivis in fine par une Justice, si proche idéologiquement de ces chers chérubins « rouge et noir ».

 

Le pouvoir en place manifeste bien qu’il est en fait compréhensif de ces revendications brutales, voire complice de ces agitateurs sans foi ni loi. Aussi le petit peuple « d’en bas » ne doit rien attendre d’un tel pouvoir et se prendre en main. Ainsi, à Montpellier lors du « karnaval des gueux » de février dernier, où des hordes d’antifas ont saccagé le centre-ville… Arrivées au quartier de Figuerolles ces bandes de casseurs sont tombées sur un os : quelques jeunes descendants de Harkis les ont affrontés à mains nues pour protéger leurs biens, commerces et véhicules. Cela a suffi pour que les racailles gauchistes décampent (voir le reportage et l’article de Lengadoc-Info). Comme quoi, face à la carence, la démission ou la complicité bienveillante de l’État envers les casseurs gauchistes, c’est bien au peuple qu’il revient de prendre son destin en main pour se protéger et préserver ses biens. 

Mai 68 n’en finit pas de faire des ravages dans les esprits de nos pseudos responsables qui, bien qu’ayant goutté depuis bientôt 50 ans aux délices du pouvoir doré et de la vie facile, n’en restent pas moins convaincus idéologiquement que « la propriété (des autres et des petits) c’est le vol », qu’« il est interdit d’interdire (tout ce qui vient de la gauche) » et qu’il faut bien laisser à la jeunesse une soupape d’expression et de légitime colère.

Très logiquement 99,5% des antifas, racailles et gauchistes de tout poil ont bien reçu le message : pour leurs manifs à venir, c’est « open bar ». Du reste, il suffit de voir comment ils s’organisent en amont, en préparant le terrain et leurs tenues, en faisant des reconnaissances, en dissimulant des « outils » de combat urbain dans des caches préalables, en déployant toute une batterie de moyens de communication pour apitoyer le spectateur trop naïf, en disposant de toute une armada d’associations de lutte gauchiste, des droits de l’homme (de gauche) et autres étiquettes contestataires, en s’appuyant sur tout un réseau d’idiots utiles, avocats, journalistes, syndicalistes et élus (1) de plus en plus nombreux et/ou tétanisés à la seule idée de s’opposer à ce rouleau compresseur idéologique gauchiste.

Ce sont ces professionnels du combat politique et ils le mènent d’autant plus facilement qu’ils savent jouir d’une quasi immunité judiciaire en cas d’arrestation par des forces de l’ordre désabusées. Notons que dans les nombreux quartiers et zones contrôlées par les islamistes, ces antifas n’osent pas commettre leurs méfaits, conscients des risques qu’ils encourraient …

 

Au peuple d’en bas, aux patriotes, aux amoureux de l’ordre et du pays réel d’en tirer les conséquences, de se prendre en main et de décréter des « Zones patriotes à défendre » en somme !

 

Note

(1) Voir nos précédents articles sur la clique des Fortunato, Mazas, Ressigier, Torrès et les autres

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