Le billet de Colette Mercier

 

Regardez bien ce qui se passe à CALAIS depuis des décennies, vous y verrez en concentré la préfiguration de ce que sont déjà en train de devenir les villes moyennes de la FRANCE périphérique.

Pas de zones refuges pour les français de souche

 

Les furieux qui veulent notre disparition organisent la submersion migratoire jusque dans les moindres recoins du pays pour qu’il n’y subsiste aucun point de fuite ou de regroupement ethniquement homogène pour nous. Le bourrage se fait à marche forcée, partout les collectivités territoriales sont sommées de recenser les établissements et logements vacants pour y loger les migrants. Toutes les petites villes de FRANCE sont concernées, pas une n’y échappe. Le constat est aveuglant, les choses sont allées à une vitesse extraordinaire, la puissance de l’État a réalisé en quelques mois un mitage forcé de tout le pays, jusque dans les zones rurales les plus reculées – et ce n’est pas fini.

Pas de zones refuges, pas de zones intactes pour la population d’origine. Submersion forcée partout, telle est la politique que l’on voit à l’œuvre. Il ne s’agit pas d’une thèse complotiste, pas d’un ‘’sentiment d’insécurité’’. Non, c’est simplement la triste réalité qu’il nous faut appréhender.

périphérique

Le « Monde » de ce jour : « paisibles » migrants armés de bâtons à Calais

Finalisation de la submersion par le regroupement familial

 

Pour le moment, ce ne sont que des hommes jeunes arrivés seuls. Cette première vague a été incrustée de force partout, dispersée sur tout le territoire, pour le moment par petits paquets. Aucun n’est expulsé, tous, absolument tous, sont régularisés de fait, car aussi bien les lois européennes que nationales sont faites pour rendre la remigration rare, voire impossible.

Une fois cela fait, quand le bocal sera bien plein, vous verrez arriver toute la smala qui va suivre. Ce sera alors la phase du regroupement familial. Les épouses, les grappes d’enfants, les vieux, les cousins, les oncles, les tantes, les neveux. Quand on sait ce qu’est la famille africaine élargie, on mesure que pour un qui rentre aujourd’hui ce sont plusieurs dizaines qui suivront. Le calcul est très vite fait, ce seront des millions. Ne pas vouloir le voir maintenant c’est se condamner à devoir le subir plus tard.

 

La FRANCE périphérique zone de fixation massive de ces populations

 

Contrairement à ce que l’on dit, il n’y a pas de pénurie de logements en France. Simplement les logements vacants ne sont pas aux bons endroits. Il n’y a plus de capacité de logement dans les grandes métropoles qui d’ailleurs ne souhaitent pas fixer davantage de populations exogènes, elles ont déjà leur quota. Y construire massivement des logements serait trop cher. En revanche, les petites villes, qui se meurent, regorgent de logement vides, sans compter les résidences de loisir dans les stations touristiques. Le bon parti pour le pouvoir remplaciste c’est de remplir les logements inoccupés dans la profondeur du territoire. C’est exactement ce qui est en train de se produire.

 

Pas de zones refuges, pas de zones à défendre

 

Une fois cela fait, les populations seront tellement intriquées que ces zones seront impossibles à défendre. De surcroît il n’y a quasiment plus dans ces villes que des retraités et des personnes âgées qui seront placés en face de populations vindicatives et violentes en pleine force de l’âge -on peut intégrer dans ce dispositif les nouvelles lois sur l’euthanasie-.

 

Une confrontation dramatique

 

On mesure alors ce que sera le sort des français âgés et laissés sans défense qui n’auront pas pu (ou pas su) s’organiser pour se protéger par leurs propres moyens.

On le voit à CALAIS, l’État n’a pas la volonté de défendre la population de souche. D’ailleurs quand bien même il le voudrait, il n’en a plus les moyens depuis bien longtemps. CALAIS préfigure la confrontation dramatique que nous aurons à assumer d’ici très peu de temps partout dans les petites villes de la FRANCE périphérique. Nous sommes mis brutalement et massivement en présence de gens venus nous conquérir qui n’ont ni les mêmes mœurs ni la même culture que nous. La barbarie et la loi du plus fort seront la règle, l’affrontement sauvage sera inéluctable. Pas sûr que nous ayons le dessus.

 

La question urgentissime de la prise du pouvoir

 

Nous arrivons à un moment de notre Histoire où tout va se simplifier. Tout le monde le sait, la solution n’est plus dans les élections. La solution n’est pas non plus dans le réformisme, les choses sont trop abouties, le travail fait par nos adversaires est trop avancé, plus rien n’est réformable par le consensus démocratique. Or rien ne pourra se faire sans détenir le pouvoir dans le pays.

Par conséquent, la seule question sérieuse qui se pose et celle de la prise du pouvoir et de ce qu’il faudra en faire. Il est évident que cela ne résultera pas d’un consensus démocratique impossible à obtenir en l’état de division du pays. Il est évident que ce qu’il y aura à faire sera extrêmement difficile et sans doute très violent. La remigration ne se fera pas de manière consentie ou alors il aura fallu imposer au préalable un rapport de force qui facilite le consentement et les départs massifs. Ce rapport de force ne se fera pas dans la facilité, il faudra l’assumer.

La seule question qui se pose aux leaders de notre camp est la suivante :

Comment prendre le pouvoir alors que le jeu électoral est totalement verrouillé de l’intérieur et que faire ensuite dans l’urgence extrême ?

Tout le reste n’est que vaticination…

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