Tentes de migrants sur la place des Quinconces.

Par François Jay

 

Un mort par balle dans la cité des Aubiers. Un lendemain de réveillon qui sent le sapin et la poudre. Comme dans les films de voyous, une voiture noire arrive en trombe, s’arrête, un homme en descend et tire une quarantaine de balles sur des jeunes. Un mort, 4 blessés. La police arrive, rapidement, et porte secours à ceux qui 24h avant leur tiraient dessus avec des mortiers de feux d’artifice.

 

Pierre Hurmic, nouveau maire écologiste, élu sur un programme -vélo, éolienne, forêt urbaine, accueil du migrant-, découvre que son prédécesseur, Juppé, lui a laissé une situation pourrie (*). Cela fait 30 ans que Juppé flattait la gauche et draguait le mahométan. Jusqu’à remettre la légion d’honneur à l’imam de Bordeaux, le très antisémite Tarek Obrou. Tout ce que la gauche lui demandait, Juppé courait pour le faire. Surtout la mixité sociale.

 

Comprenez !

imposer aux bordelais le vivre ensemble en expropriant (à bas prix, via la SEM InCité) pour installer du migrant partout. Résultat, la fuite de la population historique a précipité la défaite électorale de la petite mafia qui entourait l’ex-québéquois. D’ailleurs, une partie de l’ancien Conseil Municipal juppéiste a quitté Bordeaux pour Arcachon, le Périgord, Le Pays Basque etc… après avoir blindé la ville d’HLM, subventionné toutes les assos gauchistes, chassé les automobilistes et défendu le mineur maghrébin non accompagné. Mais eux ne veulent pas vivre dans une ville pourrie !

 

La pizzeria Fellini a brulé

La veille, les émeutiers de la Saint Sylvestre ont, toute la nuit, tiré des feux d’artifice sur les boulevards bordelais. Faute d’armes à feu, peut-être. Ils ont bravé le couvre-feu et ont ajouté aux feux de poubelles l’incendie d’un restaurant italien. Après avoir enfoncé la porte et vraisemblablement pillé, les jeunes ont mis le feu. Une belle fête, surtout pour l’équipe qui faisait vivre ce restaurant dans un quartier récemment rénové à coup de millions d’euros d’argent public. La politique de la ville a montré encore une fois sa pertinence et son efficacité. Le patron, durement touché par les mesures prises par Macron, au prétexte de lutter contre l’épidémie de grippe chinoise, a promis de reprendre l’activité. Quel courage, merci à ce migrant italien. Ce sera difficile dans un local qui a été ravagé par les flammes et sans assurance de pouvoir travailler librement.

 

Deux mille migrants de plus

Dans le cadre d’une répartition plus juste des colons, le gouvernement a décidé de répartir les occupants installés en Ile de France, sur le territoire français. L’Aquitaine recevra dans ce cadre de 2000 résidents de plus. Comme la ville est déjà mitée de squats dont les autorités ne savent pas quoi faire, à coup sûr, tous les HLM des programmes énormes de Juppé ne suffiront pas. Le moratoire sur les constructions, promis par le maire écologiste, ne tiendra pas. Le béton va continuer à couler, et avec lui, le grand remplacement des bordeluches historiques pour des populations plus exotiques. L’arrivée de la gauche écologique à la mairie était inscrite dans la politique de Juppé. Ce ne sera qu’une étape.

 

Demain ceux qui squattent les bâtiments « 18ème », campent sur la place des Quinconces, dealent place des Capucins, égorgent cours Victor Hugo, tirent dans les cités construites par Chaban Delmas, prendront la suite de la gauche, à la mairie.

 

 

 

Note :

(*) A Montpellier le nouveau maire PS Mickaël Delafosse ne vient-il pas d’annoncer qu’il trouvait une situation de la ville digne des « 24 travaux d’Hercule » (sous-entendu, laissée par le « divers gauche » Philippe Saurel)

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