répression

Le billet de Colette Mercier

 

Inutile de faire le catalogue des actes de répression violente ni la liste des martyrs. Le camp résistant et identitaire est traqué, pourchassé et systématiquement condamné au moindre agissement, à la moindre manifestation de résistance. L’État totalement impotent et laxiste va même traquer ceux qu’il accuse de se substituer à lui dans ce qu’il ne fait pas. Des poursuites sont engagées contre ceux qui débloquent les facs, idem pour une instruction judiciaire à l’encontre du groupe qui a organisé une action symbolique au Col de L’Échelle vient d’être ouverte sur ce motif.

Nous assistons à une dérive totalitaire de la gouvernance Macron qui, face à l’émergence de la vérité qu’il ne peut plus cacher, n’a plus d’autre choix que celui de la force brutale contre les lanceurs d’alerte et les résistants.

 

Totale latitude pour les casseurs et pour les délinquants

Depuis plusieurs mois, nous observons la totale latitude laissée aux casseurs d’extrême gauche ; que ce soit à Notre Dame des Landes, dans les facultés ou sur les boulevards nantais, montpelliérains ou parisiens où les Black blocs peuvent tout saccager sans aucune réaction de la police.

Manifestement des consignes objectives de laisser faire sont systématiquement données aux forces de l’ordre qui ne sont là que pour assurer un rôle de figurant dans un scénario anxiogène destiné à conditionner l’opinion. Nous assistons à un chaos largement mis en scène de manière graphique par les scénaristes du pouvoir. Corrélativement, on observe que la justice ne condamne plus, n’emprisonne plus et que totale latitude est laissée à la délinquance de droit commun ; cela sans parler des « réfugiés » qui eux, quoi qu’ils fassent, ne risquent strictement rien.

 

L’opinion placée en état d’hébétude pour ne pas voir le pillage du pays

Après un an de pouvoir les choses apparaissent clairement : tout est fait pour encore sur-concentrer la richesse vers les très, très riches… Le patrimoine national est bradé aux marchés pour en assurer la croissance. L’immigration de remplacement est furieusement accélérée pour assurer la croissance de la consommation au profit des marchés. La classe moyenne est prise dans un laminoir de paupérisation ayant pour objet de l’obliger à aliéner son patrimoine au profit des banques en couverture de la dette.

Pour couvrir la manœuvre, une vaste opération de mise en sidération de l’opinion est organisée par le pouvoir avec la complicité objective des groupes d’extrême gauche : NPA, anarchistes, autonomes, France Insoumise, antifas … qui sont les supplétifs inconscients de la mondialisation libérale.

Peu importe le coût de la casse à Notre Dame des Landes, dans les facultés, sur les boulevards, dans les banlieues (en centaines de millions d’euros) et partout où le chaos est objectivement mis en scène pour stupéfier les gens.

Ce que veut le pouvoir c’est que l’attention de la classe moyenne soit détournée de ce qu’il fait réellement contre elle et qui la concerne au plus profond. Peu importe ce que coûte la casse, tout cela se fait au profit de l’hyper classe et aux frais de la classe moyenne.

BORLOO se fout des banlieues, COLLOMB se fout de l’ordre public, MACRON se fout des milliards de la SNCF, il se fout de la jeunesse en faculté dont l’année est perdue et dont les diplômes universitaires ne valent plus rien. Tous ceux au pouvoir se foutent des gens, de la France, ils se foutent de tout. Ils sont arc-boutés, tendus vers un seul objectif : organiser le pillage final du pays au profit de l’hyper classe mondialisée tant qu’ils sont au pouvoir. Ils ont été mis en place pour cela.

 

L’identité comme valeur de recours

Néanmoins, malgré tous les efforts du pouvoir pour détourner l’opinion, pour l’apeurer et la conduire vers un réflexe de repli électoral vers lui, les conséquences inéluctables de cette politique et des douleurs qui vont avec, sont de plus en plus sensibles. Plus personne n’y échappe. Où que l’on soit, quoi que l’on fasse, quel que soit son statut social, il n’y a plus d’échappatoire. Chacun à titre personnel, directement dans sa famille ou ses proches, est touché.

Plus personne ne peut ignorer les conséquences visibles de la mondialisation, de la submersion migratoire, de l’islamisation vindicative et de la paupérisation galopante de la classe moyenne.

Les sondages le démontrent, la question de l’identité est majoritairement au premier plan des préoccupations des gens. Elle le sera d’autant plus qu’ils comprendront qu’elle englobe toutes les autres : insécurité, paupérisation, chômage, précarisation, déculturation …

La question centrale de l’identité s’impose de manière inéluctable dans l’opinion quelles que soient les manœuvres des mondialistes qui n’y peuvent plus rien.

Les groupes identitaires, résistants, patriotes, pour le moment épars et encore mal coordonnés ont vocation à représenter la part majoritaire du pays qui rejette ce pouvoir et les atteintes qu’il fait subir à son identité. La question est de savoir comment et par quel truchement. Élections courantes ou solution historique exceptionnelle ?

 

Absence de viabilité de la solution électorale

Les plus anciens se souviendront de l’invalidation de 11 députés du parti de Pierre POUJADE (déjà opposé au traité de Rome) sur les 52 élus de ce parti en 1956 ; invalidations portées à 22 à la fin de la législature.  Plus récemment ce sont les deux référendums rejetant le « Traité de Lisbonne » par les Pays-Bas et la France qui ont été annulés et diamétralement contredits par des votes parlementaires. Enfin, en Grande Bretagne, la Chambre des Lords vient de voter une disposition visant à annuler le Brexit pourtant décidé par référendum.

On le voit, tout ce qui contrarie les volontés des mondialistes est systématiquement rejeté par le système qui maîtrise le jeu électoral et les élus. Lorsqu’ils ne conviennent pas, les résultats d’élections ou pire de référendums sont systématiquement annulés.

Nul doute qu’une très improbable victoire électorale de notre camp serait immédiatement invalidée. D’ailleurs lors de la précédente consultation, le premier ministre VALLS l’avait largement annoncé en cas de victoire de la candidate frontiste. À l’inverse de nous, eux n’ont aucune inhibition d’ordre légaliste. la Loi n’existe qu’à leur profit, sinon, ils l’enjambent.

Enfin, l’ethno-mathématique électorale combinée aux diverses manipulations de l’opinion et aux divisions profondes de ceux qui votent encore rend très improbable une éventuelle victoire électorale du camp identitaire.

 

Quand notre camp prendra-t-il conscience que l’enjeu historique qui nous est proposé ne relève plus de l’ordinaire démocratique mais d’un sursaut exceptionnel d’ampleur historique ?

Quand lèverons-nous nos inhibitions légalistes ?

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