Par Nicole MINA, Conseillère Régionale Occitanie

 

2020, annus horribilis, est terminée. Je ne pense pas possible d’en faire un inventaire exhaustif des misères qu’on a dû supporter. Je dis misères, comme l’aurait exprimé nos ancêtres, car ce mot recouvre bien les conséquences néfastes, aussi bien morales que physiques.

« Mon Dieu, délivrez-moi des peines physiques. Des morales, je m’en charge », disait Nicolas Chamfort, cynique philosophe du XVIII° siècle.

Pourrons-nous nous charger de nous débarrasser de ces peines morales qui nous ont été infligées en 2020 ?

Il faut dire que nos dirigeants euromondialistes ont fait très fort. L’année 2019 s’était terminée sur un espoir, suscité par cette jacquerie moderne nommée Gilets Jaunes. Faut-il voir dans cette révolte populaire et la crainte qu’elle a suscitée au plus haut de l’état la cause des mesures « sanitaires » censées nous sauver mais qui finalement nous ont asservis ? Je ne suis pas loin de le croire.

En effet, si je ne me risquerai pas à gloser sur l’origine biologique du virus ni de sa diffusion, je ne peux m’empêcher de penser que ce fameux Covid-19 a apporté une formidable opportunité pour imposer aux Gaulois réfractaires en quelques semaines des obligations et interdits propres à détruire notre société et appliquer un Grand Reset mortifère.

Je ne listerai pas les macroneries incohérentes et hallucinantes qui nous ont été infligées, du masque inutile au masque obligatoire même pour les enfants, des grandes surfaces et transports ouverts face à l’interdiction de rassemblements de plus de 10 personnes.

Je préfère parler du but poursuivi par nos dirigeants, et les conséquences futures de cette situation, que les sorosiens, n’en doutez pas, vont prolonger sans vergogne sous le fallacieux prétexte de mutations virales.

Tout d’abord, la cassure sociale et familiale, par l’habitude de ne voir les amis et les parents qu’en virtuel et par le fait d’être incarcérés à domicile comme des coupables. Bien sûr, la plupart des adultes vont résister, mais les plus jeunes resteront marqués à vie par ce confinement propre à imprimer dans leur inconscient une « distanciation sociale » induite propre à s’interdire les amitiés et les regroupements spontanés. Sans compter l’habitude du masque intégrant étrangement les mœurs d’une certaine culture allogène. Et rappelant les masques imposés aux esclaves du XVIII° siècle.

Ensuite la maîtrise du peuple par la peur. La peur insidieuse et générale. Peur des virus, de la maladie, de l’alter ego perçu comme vecteur de contagion potentiellement mortelle. Peur du chômage aussi.

Enfin, le meurtre économique par le démembrement du tissu PME/PMI et commerçants, jugés par l’UE trop nombreux en France dès 2016, et dont il faut donc éclaircir les rangs. Ultime étape de l’asservissement des masses laborieuses, la généralisation, avec le soutien des syndicats ripoux, de l’activité partielle de longue durée (avec perte de 18% des revenus comme chez Kalistrut Aérospace, en Ardèche) et du télétravail (là aussi, disparition de rapports sociaux). Sans compter le remplacement de nombreux commerces par le « click and collect » profitant aux grands groupes.

Et pendant qu’on instille la peur de la mort virale, la peur de perdre son gagne-pain, les vrais dangers mortels sont édulcorés, voire déniés. Le terroriste potentiel n’est qu’un pauvre « migrant » à héberger et nourrir, et on feint d’ignorer les suicides (bientôt plus nombreux que les morts Covid) de travailleurs indépendants et de désespérés du confinement.

Quant au danger de voir disparaître notre culture, notre situation, que pèse-t-il face à l’invasion migratoire et ses corollaires, les pleurnicheries télévisuelles sur le sort des victimes d’un racisme fantasmé ?

Un espoir cependant devant le désastre annoncé, le combat de Trump contre le Deep Estate, qui peut provoquer un électrochoc mondial et aider les nationalismes à émerger davantage.

Je sais, vue la période, je devrais la jouer guillerette et vous souhaiter une bonne année. Mais je suis trop en colère de la situation de notre pays pour oser ce que je considèrerais comme une blague de mauvais goût.

Alors, je me contenterai de vous présenter mes meilleurs vœux de santé physique et morale, de courage et de persévérance pour continuer notre combat.

Je sais que nous ne retrouverons pas la France « d’avant », celle où une jeune fille en minijupe pouvait rentrer seule après la dernière séance du cinéma de quartier, mais mon souhait personnel pour 2021 serait de retrouver dans notre société un minimum de sécurité, de sérénité et d’espoir.

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