Maryvonne m’avait mis la puce à l’oreille dés l’annonce (sans que le nom soit précisé) de l’assassinat d’un couple de policiers dans les Yvelines avec cette intuition qui n’appartient qu’aux femmes : “Tu sais, j’ai un mauvais pressentiment… et s’il s’agissait du fils Salvaing qui habite Magnanville… il est commandant de police dans un commissariat, l’âge correspond et il a un enfant de 3 ans”… je ne voulais pas y croire et puis l’information est tombée comme un couperet. Il s’agissait bien de Jean-Baptiste Salvaing, commandant de police au commissariat des Mureaux, 42 ans, né dans l’Hérault à Pézénas, dont le père est médecin de ma famille et ami.
Le jeune policier assassiné par cette « racaille islamiste » repris de justice, aurait pu se sauver ainsi que sa jeune femme si nos lois votées par de prétendues élites de tous bords, acceptaient l’idée de la légitime défense, car est-il inconcevable que tout citoyen attaqué puisse se défendre contre un agresseur ? Jean-Baptiste et Jessica seraient encore là s’ils avaient eu le droit de se défendre. Voilà que ce jeune couple “du pays” vient d’être sacrifié au nom de l’hypothétique divinité de cette religion satanique importée que l’on appelle l’Islam. Nous savons tous que cette pratique engendre nombre de maladies mentales par ses rituels pluri-quotidiens d’envoûtements, en se frappant la tête, chez ces adeptes fragilisés par le déracinement, la haine de l’Autre, l’ingestion d’une nourriture malsaine issue d’animaux pollués par la souffrance. Certes, nous le savons tous, mais ceux qui nous gouvernent semblent l’ignorer par faiblesse ou allégeance à cette pseudo religion venue de l’étranger, incompatible avec un pays épris de liberté comme le nôtre.
Avec l’Islam, le pire est toujours à venir. Ne minimisons surtout pas la capacité de nuisance de ces terroristes. A Orlando (USA) un homme seul, armé d’une kalachnikov, met une nation de 300 millions d’habitants en émoi et pourrait bouleverser l’élection présidentielle de novembre. En France face à un homme seul, armé d’un couteau, le pays est obligé de mobiliser une unité d’élite de la police de plusieurs dizaines d’hommes lourdement armés. D’après Alexandre Mendel, auteur de “La France Djihadiste“, avec qui je me suis récemment entretenu, il y aurait approximativement en France 15.000 djhadistes prêts à passer à l’acte. Imaginez le chaos en cas d’attaques simultanées et coordonnées sur l’ensemble du territoire…
Ces derniers temps, nombre de nos camarades sont très remontés vis-à-vis de la police, en particulier depuis l’interpellation du général Piquemal à Calais et en raison, aussi, de la mansuétude dont bénéficient les casseurs dans les manifestations CGT et autres “Nuits debout”. Il ne faudrait pas se tromper de cible. Pour reprendre une expression débile, ne faisons pas d’amalgame entre notre regretté ami, policier de terrain, joueur de rugby, qui a exercé à la Brigade Anti-Criminalité et les culs de plomb du ministère de l’intérieur qui depuis l’arrivée des socialistes au pouvoir mènent un concours de nullité avec ceux du ministère de la justice.
Le ministre de l’intérieur, le premier ministre et le guignol de l’Elysée, malgré leur popularité microscopique osent encore se pavaner… Ils ont assisté impavides, aux dégradations de l’hôpital Necker lors de la manifestation du 14 juin. Combien de groupes d’extrême-gauche ont ils dissous en Conseil des ministres pour ces actions nauséeuses ? ZÉRO ! Alors, incompétence, couilles molles ou bien calcul cynique afin de s’acoquiner à des bandes armées dans l’hypothèse d’un séisme lors de l’élection présidentielle ?
Avec l’assassinat du couple de policiers, le pays est désormais sur la pente de la guerre civile ; le président de la République au lendemain de l’attentat du Bataclan avait déclaré que nous étions en guerre… il est grand temps qu’il nous dise s’il a choisi son camp !
Voici trois mesures immédiates qui peuvent nous préserver de l’explosion :
– Expulsion de tous les clandestins
Au travail !