Réponse : parce que les français ont peur…

 

Une large majorité des Français de souche européenne est opposée à la poursuite de l’immigration, les études et sondages le montrent depuis plus de 20 ans. Ces mêmes Français pourtant votent encore majoritairement pour les partis immigrationnistes. C’est ainsi que M. Macron a obtenu en 2017 un nombre de voix double de celui de Mme Le Pen. Comment expliquer cette situation paradoxale ? Et comment conduire les Français à adopter une attitude plus cohérente et à réagir enfin, par leur vote, à l’invasion qui menace de les faire disparaître ?

 

  • Si les Français votent encore majoritairement pour les partis immigrationnistes c’est avant tout par peur de la violence et de la guerre

La plupart des Français souhaiterait que l’immigration s’arrête. Ceux qui, au nom de l’idéologie des citoyens du monde, approuvent l’invasion de l’Europe sont peu nombreux. Si l’on proposait aux Français d’être par un coup de baguette magique débarrassés de l’immigration du jour au lendemain, presque tous applaudiraient avec enthousiasme. Pourquoi dans ces conditions continuent-ils malgré tout à voter en majorité pour les partis immigrationnistes ? La médiocrité de la candidate du F.N lors des deux dernières élections explique certes une partie du phénomène. Mais là n’est pas selon nous l’essentiel. Si la majorité des Français continue à voter pour les partis immigrationnistes c’est avant tout parce qu’ils ont peur de la violence et de la guerre. Ils jugent qu’une politique anti immigration déclencherait nécessairement des violences, des affrontements, le chaos, la guerre même, et ils s’y refusent, préférant à tout prendre subir l’immigration et ses effets.

Parmi ces Français qui continuent à voter sans enthousiasme pour les partis immigrationnistes, on rencontre plus précisément trois types d’attitude. Il y a ceux qui refusent les mesures d’arrêt de l’immigration pour des raisons morales. Une politique anti immigration se traduirait inévitablement, pensent-ils, par des mesures de rétorsion envers les immigrés, par leur départ forcé, voire par des violences à leur égard. Et ils s’y refusent par principe, quelles qu’en soient les conséquences. Cette première attitude est celle des « martyrs » : plutôt tendre la joue gauche que tirer l’épée.

D’autres refusent la mise en œuvre d’une politique d’arrêt de l’immigration parce qu’elle leur paraîtrait de toute façon vaine. Ceux-là sont convaincus que, quand bien même elle tenterait de se transformer en forteresse, l’Europe échouerait inévitablement : ils refusent dès lors l’adoption d’une politique anti immigration, qui accroîtrait, jugent-ils, les tensions, le désordre et la violence alors qu’elle resterait inopérante. Cette seconde attitude est celle des « résignés » : la poursuite de l’immigration de masse étant selon eux inéluctable, il leur paraît préférable de ne pas ajouter au désordre en tentant vainement de s’y opposer.

D’autres enfin refusent une politique anti-immigration parce qu’ils préfèrent repousser le chaos et la violence le plus loin possible dans le temps. Ceux-là s’efforcent d’habiter dans des endroits où les immigrés sont encore peu nombreux, scolarisent leurs enfants dans des établissements protégés et disposent d’un niveau de vie correct et d’un patrimoine suffisant : ils espèrent que la situation ne se dégradera pas trop vite et qu’elle leur permettra de continuer à vivre de façon satisfaisante. Ils effectuent en quelque sorte un calcul fondé sur la préférence pour le court terme : plutôt que de voir s’enclencher une politique anti immigration qui provoquerait, pensent-ils eux-aussi, un chaos immédiat et bouleverserait leur existence, ils préfèrent une dégradation continue mais progressive de la situation d’ensemble, espérant qu’elle sera suffisamment lente pour les épargner eux pendant la durée qu’il leur reste à vivre. Cette position est celle des « calculateurs » : repousser le chaos à plus tard et jouir du court-terme.

Aux martyrs il n’y a rien à dire : qu’ils restent avec leurs désordres psychologiques. Nous voulons en revanche montrer aux résignés et aux calculateurs qu’ils se trompent tragiquement.

 

  • Or ce sont précisément le pacifisme et la résignation qui engendreront le chaos

Ces Français résignés et pacifistes font un mauvais calcul : c’est précisément en continuant à ne pas réagir que nous hériterons inéluctablement de la violence et de la guerre. C’est alors que la peur deviendra pleinement justifiée car les conséquences de notre inaction seront de toute évidence terribles.

Si nous ne mettons pas un terme rapidement à l’immigration nous n’éviterons pas le chaos à brève échéance. Les signes sont multiples : la persécution des chrétiens d’Orient ; le fait que les pays musulmans sont tous en situation de guerre ou de tension graves, internes ou extérieures ; le fait qu’en France, comme ailleurs en Europe, les immigrés sont d’ores et déjà à l’origine de l’essentiel de la violence…

Si les choses suivent leur cours actuel, la violence et la délinquance ne cesseront de croître . D’abord parce que les populations immigrées sont le plus souvent culturellement violentes. Deuxièmement parce que les immigrés sont chaque jour plus nombreux et déjà largement majoritaires ou même en situation d’hégémonie dans de nombreux quartiers, dans des villes entières, dans des départements entiers. La violence ne pourra qu’augmenter. Troisièmement, parce que ces immigrés sont avides de revanche à l’égard des Européens et des Occidentaux, qui les ont dominés, colonisés ou réduits à l’esclavage pendant des siècles. Ils sentent qu’ils ont affaire à une population européenne désormais vieillissante, psychologiquement faible, moralement inhibée, toute prête à la soumission : ivres de leur puissance, ils deviendront chaque jour un peu plus agressifs, un peu plus arrogants, un peu plus conquérants.

Dans ces conditions l’attitude d’abstention et de résignation court-termiste dans l’espoir d’éviter la violence constitue un calcul gravement erroné. La dégradation va s’accélérer et l’espoir de passer entre les gouttes deviendra de plus en plus vain. En proscrivant certains endroits et certains horaires on pouvait jusqu’à ces dernières années éviter les ennuis : cela devient au fil des mois de moins en moins possible. Le nombre des lieux protégés sera de plus en plus restreint. On pourra être agressé partout et à tout moment. Insulté, menacé, tabassé ou poignardé à toute heure, dans la rue ou les transports en commun. Saucissonné et torturé chez soi, dans son pavillon de banlieue ou de province profonde. Car-jacké en plein jour sur une route de la France rurale. Seuls les très riches pourront continuer à se protéger de façon efficace.

Les services publics (transports, hôpitaux, universités…) seront les foyers d’une tension et d’un malaise croissants et deviendront toujours plus désagréables à fréquenter. Il y faudra notamment prendre garde en permanence à son expression et à son comportement, choisir ses mots et baisser le regard.

Pour financer l’accueil, les besoins sociaux et les exigences toujours plus impérieuses des immigrés, les impôts et taxes pesant sur les Français de souche européenne, déjà parmi les plus élevés du monde, ne cesseront d’augmenter. On notera ainsi par exemple que le gouvernement vient de décider de fermer de nouvelles classes de la France rurale et périphérique afin de pouvoir financer la forte diminution du nombre d’élèves par classe à laquelle il a décidé de procéder dans les écoles « prioritaires » de banlieues.

Dans ce contexte le basculement et la prise de pouvoir sont probablement pour bientôt. Les « quartiers » sont depuis longtemps passés sous domination des immigrés. Ceux-ci sont de plus en plus nombreux dans les lieux de pouvoir et d’influence : politiciens nationaux et locaux, médias, police, avocats, enseignants…. Leurs revendications et leurs exigences ne cesseront de croître.

Le calcul courtermiste est donc gravement erroné : si nous ne réagissons pas, nous n’éviterons pas à court terme sinon le chaos du moins une dégradation extrêmement rapide de la situation.

 

  • C’est en menant une politique de libération de l’Europe que l’on pourra éviter la violence

La réalité est à l’inverse de ce que pensent les pacifistes, les résignés et les calculateurs courtermistes. Il est possible sans violence de mettre fin à l’invasion migratoire et de procéder en quelques années à une remigration significative : c’est en menant sans délai cette politique de libération qu’on pourra éviter le chaos.

Pour arrêter l’invasion et opérer une remigration, la politique à conduire ne présente pas de difficultés matérielles ou techniques : elle suppose seulement la volonté de la conduire. Elle passe par quatre types de mesures :

  1. Il faut d’abord changer la loi pour supprimer les différentes procédures d’immigration actuellement ouvertes, notamment l’immigration familiale et l’asile.
  2. Il faut deuxièmement instaurer un contrôle efficace aux frontières, appréhender et expulser les délinquants étrangers et naturalisés ainsi que les immigrés en situation irrégulière, et les placer en rétention tant que leur expulsion n’a pu être organisée.
  3. Pour inciter les immigrés à regagner volontairement leur pays d’origine, il faut troisièmement supprimer le droit du sol et procéder à une opération générale de ré-attribution de la nationalité aux seules personnes dont les ascendants sont de nationalité française ou européenne depuis trois générations au moins. Il faut ensuite réserver les prestations sociales et l’accès aux services publics aux seules personnes auxquelles la nationalité française a été réattribuée.
  4. Il faudrait quatrièmement accorder une aide en capital d’un montant incitatif aux personnes choisissant de remigrer. Pour conduire les autorités des pays d’origine à apporter leur concours à cette politique de remigration, il faudrait leur accorder des aides budgétaires significatives (et ne pas hésiter à les corrompre).

Il faut insister sur ce point : tout cela pourrait se mener de façon efficace, sans violence et sans déclencher d’émeutes durables, pour les trois raisons suivantes :

D’abord parce que nous disposons encore, nous Français et européens, de tous les leviers, militaires, policiers, administratifs, financiers et économiques. Nous pourrions notamment sans difficulté augmenter rapidement les effectifs des forces de l’ordre : les jeunes Français de souche européenne se presseraient pour être recrutés et participer à la reprise en main de notre pays. De même nous disposons amplement des moyens financiers permettant de financer cette politique : nombreux sont les Français qui seraient prêts à payer tous les impôts qu’il faut pour financer la politique de libération pacifique de la France et de l’Europe.

Nous pourrions sans difficulté, deuxièmement, maîtriser et empêcher les réactions d’opposition violente à la politique anti immigration. Il suffirait de donner aux forces de l’ordre l’instruction de tirer sur les émeutiers et les éventuels opposants armés pour que les émeutes s’arrêtent immédiatement. Le retour à l’ordre, l’usage assumé de la force et la démonstration de notre détermination feront rapidement comprendre aux immigrés qu’ils n’ont d’autre choix que de remigrer.

La politique de libération, troisièmement, serait efficace et sans violence parce que l’aide à la remigration que nous apporterions offrirait aux immigrés une porte de sortie enviable.


 

Concluons sur cette remarque :

 

c’est en toute logique que les différentes attitudes résignées et pacifistes ont pris racine au sein des sociétés européennes : gavées de morale et d’idéologie humaniste, en paix depuis deux générations, amollies par le confort de la vie moderne, elles ont perdu tout contact avec la violence, le sang et la guerre et les ont en horreur. C’est bien ce qui les perdra.

Comment conduire les Français à réagir enfin, par leur vote, à l’invasion qui menace de les faire disparaître ? Comment les décider à se débarrasser dans les urnes de la classe dirigeante immigrationniste qui les conduit au gouffre ? La recette est simple : il faut tout à la fois faire peur et redonner espoir. La peur : si nous ne réagissons pas les conséquences seront terrifiantes, et ce à brève échéance. L’espoir : nous pouvons encore, si nous le voulons, libérer l’Europe pacifiquement sans drames ni chaos.

 

Nous pouvons encore, si nous le voulons, éviter le sang, les larmes, la guerre… Et rester libres.

 

 

D’après le blog du Paysan Savoyard
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