Allocution d’Erick Cavaglia
Chers Amis,
Nous n’avions pu célébrer dignement, l’an dernier, le centenaire de la canonisation de Jeanne par le pape benoit XV pour cause de confinement.
Notre rassemblement pacifique avait été interdit par des autorités toujours plus coercitives avec les indigènes français honnêtes, respectueux des lois et s’acquittant de leurs impôts, qu’avec les hordes de délinquants allogènes qui mettent à feu et à sang notre Pays.
Aujourd’hui, le confinement perd de sa rigueur. La dictature sanitaire entre dans sa phase finale : la vaccination pour tous avec à la clef un contrôle systématique et permanent de la population sur le modèle chinois.
Nous mettons à profit cette liberté provisoire et conditionnelle pour rendre à Jeanne d’Arc, Seconde Sainte Protectrice de notre Pays les honneurs et l’hommage qu’elle mérite.
Cette célébration n’est pas une tradition poussiéreuse destinée à refaire prendre l’air à des militants souffrant de claustrophobie.
Il s’agit de puiser dans le message et les actes de la Pucelle d’Orléans les vertus qui nous font tant défaut aujourd’hui, dans un contexte dramatique qui menace de faire sombrer une nouvelle fois notre pays et notre civilisation.
L’épopée fugace de Jeanne s’est effectuée dans un climat qui, à bien des égards pouvait ressembler au notre.
Par l’humiliant traité de Troyes de 1420, un roi atteint de folie avait déshérité son fils légitime au profit d’une dynastie étrangère.
Depuis le premier choc pétrolier de 1973, les présidents successifs de la Ve république ont signé des accords et des pactes qui bradaient notre souveraineté : Strasbourg, Barcelone, Lisbonne, Marrakech, autant de traités signés en catimini à l’insu et contre le peuple français. Sans compter tout ce qui se trame dans notre dos avec le silence complice des médias aux ordres, à New-York, Davos et Bruxelles.
Jeanne reçut du Ciel la mission de rétablir la légitimité du pouvoir politique en faisant sacrer le Dauphin Charles à Reims.
La légitimité d’un pouvoir, c’est lorsqu’il est reconnu et accepté par tout un peuple.
Aujourd’hui nous sommes dirigés par un autocrate instable qui a été élu par une minorité et qui dispose d’une majorité parlementaire qui n’a aucune assise dans le pays réel.
La seconde mission de Jeanne fut de chasser les armées étrangères du sol français.
Il convient à cette occasion de rappeler que les souverains anglais, pour conquérir le royaume de France ont mené des descentes militaires sur notre territoire sans panache qui relevaient plus de razzias, de pillages, d’incendies de villages qui terrorisaient la population pour mieux l’asservir.
Aujourd’hui, pas une ville, pas une campagne qui ne soit souillée par des bandes ethniques extra européennes qui pratiquent à leur tour une politique de la terre brûlée avec les mêmes desseins.
Oui, à l’époque de jeanne, notre Pays était menacé de disparition, il a failli être rayé de la carte de l’Europe en tant qu’entité ethnique, politique et culturelle.
Nous revivons actuellement la même situation, en plus grave.
La France est soumise à un président qui déteste le peuple qu’il doit gouverner, il en nie la culture, il en déconstruit l’Histoire pour finalement le remplacer.
Il est l’homme de paille du consortium constitué de la finance mondialiste apatride, de big data et de big pharma.
Aux ordres de ses commanditaires, il compte bien exploiter le virus en cours pour accélérer ce processus de destruction.
Ainsi, depuis quarante ans, nous sommes les témoins furieux et impuissants de la liquidation systématique et planifiée de notre Nation, précisément celle que Jeanne a forgé par son courage et son martyre et léguée à Charles VII.
Son territoire est menacé de partition, ses frontières ont été vidées de leur fonction protectrices, le pouvoir politique ne réside plus dans la capitale, le sentiment national qui soude les Français entre eux et établit confiance et solidarité est combattu par les élites républicaines autoproclamées.
La vraie religion de nos ancêtres s’éteint alors que nos églises et cathédrales sont incendiées.
La fausse religion laïque des droits de l’homme montre son vrai visage : elle a transformé la « douce France » chantée jadis par les poètes en une planète des droits exclusifs de la racaille… et la racaille du monde entier s’y donne rendez-vous et y prospère, financée par le labeur des Français.
Pourquoi sommes-nous là aujourd’hui ?
Après avoir tout donné à son Dieu, à son Roi et à son Pays sur le bûcher érigé place du Vieux Marché de Rouen en 1431, que peut encore nous offrir Jeanne, à nous qui vivons dans un monde désenchanté et matérialiste ?
Elle est l’antidote au désespoir et à la désespérance. Elle est le rempart face au renoncement et à la trahison.
Elle nous rappelle que rien, en Histoire n’est jamais écrit. L’histoire demeure le champ de tous les possibles. Les actes que nous posons ici et maintenant pourront donner un autre cours à notre destinée.
La foi, le courage, l’abnégation, le dévouement et l’engagement sont les remèdes au lâche individualisme matérialiste et consumériste.
L’esprit de Jeanne est vivace, il traverse les âges. Il est notre héritage et nous devons l’accueillir et nous laisser habiter par lui afin de reconquérir notre cher Pays et sauver notre civilisation.
Gloire et Honneur à Toi, Jeanne !
Vive la France !
Longue vie à notre civilisation plurimillénaire !
