Le billet de François Jay

 

Il y a une crise du logement non pas à cause de la démographie française qui depuis 30 ans est en crise. Les françaises ont 1,3 enfant en moyenne. Nous manquons de logements parce que nous sommes colonisés par des populations toujours plus nombreuses et prolifiques.

 

A cette invasion s’ajoute la guerre faite par l’État aux propriétaires loueurs : impôts, règlementation, absence de justice qui plombe l’offre locative.

A force d’être attaqué, le bailleur déserte, laisse tomber. Vend et fait autre chose ! Comme l’employeur qui n’embauche plus.

La solution socialiste, c’est l’offre HLM. Avec les impôts pris sur les locataires du secteur libre, la collectivité loge des gens qui profitent de l’effet d’aubaine et ensuite restent vissés dans leurs logements pas chers comme le serf à sa terre. La politique du HLM pour tous, c’est s’engager dans une crise sans fin du logement. C’est une politique du logement créée en URSS débouchant sur un mal-logement généralisé.

Quant aux squats, si répandus à Montpellier -on en compte environ soixante-dix si l’on rajoute les campements de Rom-, c’est un business pour les associations gauchistes (et subventionnées). Elles recrutent des « locataires » oui, vous avez bien lu, les gauchistes font payer les squatters, et organisent l’occupation de bâtiments publics…

Ainsi en plus d’une source de revenus qui complètent leur RSA, les militants gauchistes s’inventent une masse de « clients » qui forment leurs troupes. La gauche développe et utilise un lumpen prolétariatdénoncé au 19ème par Karl Marx– qui remplace les prolétaires européens et nous conduit à l’effondrement économique et social. 

Le représentant du Préfet a reçu les représentants des squatters. Devant la menace de troubles, il cède. Il aura la paix cet automne, mais dans les années qui viennent la crise ne pourra que s’aggraver.

 

A la honte s’ajoutera la guerre.

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