affaire médine

 

Le billet de Colette Mercier

 

Personne ne peut être dupe, il n’y a aucune volonté d’apaisement chez cette brute. Ce n’est ni dans son caractère, ni dans ses mœurs. D’ailleurs, il suffit de considérer Médine tel qu’il se donne à voir lui-même sur les vidéos prises en famille et qu’il a publié sur internet.

Ces vidéos sont placées en renvoi en bas de page. Et encore ne voit-on que ce que Médine considère comme publiable. On n’ose imaginer ce qui de son point de vue ne l’est pas.

 

Médine une brute forcenée

 

Inculte absolu, en privé Médine ne parle pas, il éructe. Médine est un primitif sommaire, une sorte de pongidé1 inhumain qui ne sait vivre que dans la domination d’autrui, dans la pression malsaine à laquelle il soumet en permanence ses proches. C’est à se demander comment la garde de ses enfants ne lui a pas encore été retirée.

Sur les vidéos, on voit une brute primaire méprisant son épouse et ses propres enfants ; sa fille en particulier – un dominant pervers harcelant constamment ses proches de la manière la plus triviale dans une espèce de sabir mêlé d’américanismes mal digérés-.

Bref, le tableau clinique de Médine relève de la pathologie, ce type devrait être soumis à une obligation de soins. Tel est celui qu’on nous présente comme un homme apaisé qui mène un jihad intérieur.

 

Une porte de sortie adroite, un habillage du pouvoir destiné à banaliser la défaite

 

Compte tenu de ce qui ressort de la personnalité de cette brute il n’y a aucune raison de penser qu’elle ait calé d’elle-même. Médine est un forcené, son nom, ses textes, ses appels au meurtre et à la haine, le titre JIHAD et le sabre de la conquête brandi avec arrogance, tout indique que ce furieux est là pour en découdre, surtout pas pour reculer.

Ce n’est donc pas Médine qui a plié, il en est incapable, mais le gouvernement qui sous la pression l’a poussé vers une porte de sortie adroitement ménagée et entourée d’un habillage destiné à banaliser la défaite aux yeux de son public.

Depuis le début, le gouvernement s’est fait complice de la profanation contre laquelle il n’a jamais pris position. À aucun moment il n’est intervenu ; ceci afin de ne surtout pas contrarier le public de Médine qu’il choie et qu’il cajole. En retour de son laxisme, le pouvoir espère sans doute une pause dans la guerre de conquête qu’il laisse se propager sans jamais réagir par peur d’une aggravation qu’il se sait incapable de contenir. Lâcheté, laxisme, laisser- faire, telles ont été les politiques de tous les gouvernements successifs depuis des décennies avec les résultats que l’on voit.

 

Une esquive du pouvoir face au risque de trouble à l’ordre public

 

Nous avons été un certain nombre à nous trouver à l’initiative et à la conduite de démarches, pour certaines coordonnées, pour d’autres concurrentes, de mise en pression du gouvernement. Pour ne pas risquer d’oublier quiconque on ne citera personne, mais ceux qui en étaient savent qui ils sont et ce qu’ils ont fait. À posteriori, beaucoup sont venus voler au secours de la victoire, il n’est pas certain que tous aient été efficaces, ni même que tous aient été des acteurs effectifs. Dieu reconnaîtra les siens.

D’emblée, le mot directeur pour tous ceux qui ont agi était : « trouble à l’ordre public » et toutes nos démarches ont concouru afin de lui donner corps. Tout a compté, tous les moyens publics et occultes ont été mis en œuvre par les uns et par les autres ; comme par enchantement, car toutes n’étaient pas coordonnées, toutes les actions ont convergé vers la date du 19 septembre. En particulier celles des avocats des familles, totalement indépendantes des nôtres, qui ont été déterminantes en plaçant le pouvoir devant l’obligation de trancher.

Cette convergence non entièrement convenue a-t-elle été un coup de pouce du destin ? On pourrait le croire. Toujours est-il que le téléphone de Patrick JARDIN a sonné pendant la conférence de presse organisée par le CNRE, Riposte Laïque, Le SIEL, Résistance Républicaine et la LIGUE du MIDI, annonçant la capitulation des profanateurs.

Toujours est-il que sous la pression combinée de toutes ces actions, et dans l’obligation de trancher face à un risque de trouble à l’ordre public qui commençait à prendre une matérialité certaine, le gouvernement a finalement  trouvé une échappatoire, assez adroite, il est vrai.

Les propriétaires de la salle, qui à la différence du forcené Médine sont au niveau de compréhension suffisant, sous injonction de son protecteur « havrais » à la tête du gouvernement, l’ont finalement conduit vers une autre salle et d’autres dates ; en l’occurrence le Zénith qui offre une capacité 3 fois supérieure, joli bonus pour ce protégé du pouvoir.

 

Retour d’expérience de cette affaire ; le « risque de trouble à l’ordre public » maître mot du rapport de forces

 

  • Ce gouvernement protège effectivement les islamistes, même comme on vient de le voir lors d’insupportables provocations ou de profanations ostentatoires de ce qu’il y a de plus sacré.
  • Ce gouvernement n’est pas accessible aux cris de douleur des français, il ne comprend que la mise en pression et le rapport de forces.
  • Le mot directeur pour établir le rapport de force est le suivant : « risque de trouble à l’ordre public ».

Tout compte, mais l’essentiel est de donner la matérialité suffisante au « risque de trouble à l’ordre public ». Pour cela il faut une antériorité, une crédibilité, des références de terrain et même des condamnations passées.

 

Le rapport de forces inversé

 

Cette affaire démontre que le gouvernement ne peut pas se permettre de laisser s’établir une confrontation directe entre le peuple de France représenté par ses éléments précurseurs et les islamistes qu’il protège.

Il y aura un avant et un après MÉDINE. La pression a changé de camp, le rapport de forces s’est inversé. En ce qui concerne, en tous cas, la confrontation avec les islamistes, la preuve est faite : une minorité de gens très déterminés appuyée sur un mouvement d’opinion suffisant peut faire reculer ce gouvernement à n’importe quel moment.

Nul au pouvoir ne prendra le risque d’une confrontation directe. Nous le savons, ils savent désormais que nous le savons.

 

À bon entendeur salut !

 

 

Note :

(1) pongidé : nom masculin, primate anthropomorphe sans queue, pratiquant le balancement de branche en branche à l’aide des bras (orang outan)

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