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Le billet de Colette Mercier

 

Non seulement Toulouse est une place forte de l’islam radical en France, mais l’ultragauche y bénéficie depuis toujours d’un biotope extrêmement favorable. Plusieurs facteurs concourent à cette situation.

 

Un nombre colossal d’étudiants glandeurs

 

Si Toulouse n’est que la 4ème ville de France par le nombre des étudiants, elle est considérée comme l’une des villes où il fait le meilleur étudier (comprendre « glander » pour le plus grand nombre).

En effet, pour beaucoup, les critères de choix de la ville pour étudier sont l’ambiance festive, le nombre de bistrots, de salles de spectacle et de lieux où faire la fête.

Résultat, 41% d’échecs en première année, record absolu en France.

Si tu veux glander, te pochetronner et faire la fête, inscris-toi en fac de lettres à Toulouse.

 

La FAC du MIRAIL haut lieu de la chienlit et de l’islamo-gauchisme

 

Depuis sa création, la faculté de lettres du MIRAIL est le réceptacle de tous ceux qui n’ont pas pu accéder aux filières sélectives. S’y concentre la crème de la crème des bons à rien. Les quelques malheureux capables d’étudier sérieusement y sont noyés. Les diplômes délivrés sont en chocolat. Ainsi, je peux citer le cas d’un tout jeune docteur en psychologie de ma connaissance, porté au pinacle par l’institution au seul motif de son appartenance au lobby LGBT mais qui s’exprime dans un langage primaire et fait des fautes à chaque ligne. Manifestement, seule son appartenance l’a qualifié à ce niveau. D’ailleurs, et c’est particulièrement significatif, la faculté du MIRAIL vient de se doter d’une unité d’étude du « genre ». C’est dire si l’idéologie est au cœur de l’enseignement. La couleur (pink) est affichée dès la page d’accueil. Seuls les très distraits peuvent s’y tromper.

Corps professoral largement gagné depuis l’origine par l’idéologie trotskiste, l’idéologie de l’ultra gauche et maintenant l’idéologie LGBT, la fac du MIRAIL est le quartier général de nos ennemis islamo-gauchistes. Elle est le creuset de l’extrême gauche qui y nidifie, s’y reproduit et y est devenue l’autre espèce invasive qui a gangrené la ville. Tout cela s’est fait depuis la création avec la plus grande complaisance de tous les gouvernements successifs qui gèrent ce pourrissoir comme un lieu de relégation des ratés. Avec le hachisch, le Prozac et l’alcool, l’inscription à la fac du MIRAIL est un anesthésique social pour les faibles et ratés.

Qu’elle ait été située dans l’enclave musulmane du MIRAIL n’est pas un hasard ; les deux ont été conçus, dédiés l’un à l’autre et orientés pour fonctionner en symbiose. Ghetto ethnique et bidonville intellectuel tel est le composite gagnant de la mondialisation.

 

Des lieux de vie en ville aux frais du contribuable

 

Non contente de disposer tout à loisir de ce navire amiral dont elle est inexpugnable et d’où ses réseaux gangrènent la ville, l’extrême gauche s’est fait octroyer un certain nombre de lieux de vie en ville d’où elle peut agiter les oisifs, répandre son idéologie de haine et de destruction sociale et incruster massivement des migrants. La ville est piquetée de lieux associatifs, de squats non seulement tolérés mais encouragés, de places fortes tenues par les gauchistes. Ils y prospèrent depuis des décennies et pèsent sur l’orientation sociale et politique de la ville qui d’année en année est devenue une des plus crasseuses et des moins sûres de France.

 

Le squat de la Chapelle, un cas d’anthologie

 

Anciennement propriété du diocèse de Toulouse, ce vaste ensemble immobilier situé en hyper centre-ville, à deux pas du bâtiment pharaonique du Conseil Départemental, est squatté par l’extrême gauche depuis 1993. En 2006, voulant sortir de cette situation intenable, l’archevêché s’était résolu à céder son foncier à une association pour y créer des logements sociaux. Les gauchistes ont immédiatement organisé la pression et fait capoter le projet avec la complicité des élus. Point de logements sociaux donc. Les apparatchiks ont préféré s’incruster et faire prospérer leur petit business. Malgré ses slogans misérabilistes, la gauche se fout bien des mal-logés. Seuls comptent ses intérêts propres.

Finalement et à l’usure, la ville de Toulouse a racheté le foncier au très vil prix de 200.000 € très en deçà de ce qu’aurait pu espérer le diocèse pour une emprise de cette taille à cet endroit. C’est la municipalité socialiste de Pierre Cohen qui a procédé à la transaction.

Voilà comment l’extrême gauche et la gauche se sont organisées pour dépouiller le propriétaire contre son gré et à très vil prix.

Mais ce n’est pas tout, il y a mieux …

La municipalité actuelle de Jean-Luc MOUDENC (centre-droit, chrétien-démocrate) vient de régulariser la situation des squatteurs en leur octroyant un bail emphytéotique de 40 ans pour un loyer annuel de… 500 € et une promesse de vente sous 5 ans au prix très, très amical de 100.000 €.

Moins-value immédiate à la charge des contribuables toulousains : 100.000 € pour loger les crasseux de l’extrême gauche qui foutent le bordel en ville, incrustent des hordes de clandestins, saccagent le domaine public, pillent les commerces lors de leurs manifestations, bloquent la FAC du Mirail pendant des mois, empêchent les autres de travailler et causent des milliers d’euros de dégâts. On les a même vu, à Montpellier lors de l’émeute du 14 avril 2018, taguer sur les murs : « bienvenue au Mirail ! »

Tout le monde s’est immédiatement mobilisé pour trouver les fonds, les antifas en tête. Nul doute qu’avec les appuis dont ils disposent dans le système dont ils sont les supplétifs ils y parviendront très rapidement ; cela sans compter les financements occultes venus des organisations salafistes dont ils sont également les auxiliaires.

 

Un grand bravo à Jean-Luc MOUDENC, protecteur de l’islamo-gauchisme

 

L’électorat toulousain modéré de centre droit qui a porté MOUDENC au pouvoir appréciera qu’après la magouille foncière du même ordre pour céder à très vil prix le foncier d’assise de la grande mosquée à l’imam salafiste algérien TATAÏ, il vienne de finaliser celle-ci pour octroyer une place forte inamovible à l’ultragauche en hyper centre-ville.

Par ses magouilles aux frais des contribuables toulousains MOUDENC leur a offert deux places fortes inexpugnables, la grande mosquée et le squat de la Chapelle.

La ville de Toulouse est en train de très mal tourner. Les gens aisés qui en ont les moyens fuient vers la périphérie la plus lointaine possible, les catégories moyennes en sont chassées par une politique de remplacement. La coloration de la ville est en train de changer à très grande vitesse.

 

Toulouse ferait bien de se réveiller…

  • Toulouse: La Chapelle, le plus vieux squat de France, sur la voie de la légalité : Lire ici
  • Légalisation du squat de la Chapelle, un défi à relever : Lire ici
  • Association Planète en danger : Lire ici

 

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