Le billet d’Élisabeth Amigue

 

sumèneIl y a quelques années, je n’avais pas percuté lorsque Sébastien B. avait retiré son fils, alors en cours moyen de l’école publique de Sumène. La Maîtresse, disait-il, aurait « dépassé les bornes » en faisant apprendre aux enfants que les chevaliers et les templiers étaient des violeurs, car elle démontait ainsi le « roman national ».

Voilà que je suis tombée sur l’enseignement de cette instit et j’avoue qu’il y a de quoi alerter les parents et les pouvoirs publics car Mme Corinne D. enseignante de cours moyen s’est acoquinée avec une Véronique C. intervenante extérieure chargée de l’atelier de théâtre, pour décérébrer les enfants de 9 à 10 ans, en leur ôtant tout esprit critique.

Depuis le mois de décembre 2017, l’enseignement -toutes matières confondues- vise à ouvrir, ou plutôt à forcer les jeunes esprits à l’accueil d’immigrés clandestins appelés, à tort, réfugiés. C’est ainsi qu’en calcul, le bambin apprendra qu’il est « inhumain de fermer son cœur et sa porte » à celui qui « fuit la guerre alors que nous sommes 66 millions… car 66 français peuvent bien accueillir 1 ou 2 hommes qui souffrent ». Le cours de « morale républicaine » (rouge bien sûr), viendra ensuite indiquer que le « manque de volonté » freine l’accès à la « société idéale » par la « peur de l’autre » … du « changement, de ce mauvais instinct de conservation »  qu’il faut « raisonner ». Ceci, en dépit de toute réflexion scientifique sur l’instinct de conservation (garant de la survie de l’être). Le cours de musique et l’atelier de théâtre enfonceront le clou avec la chanson « Lily ». En histoire on indiquera qu’au siècle dernier, la France a accueilli les juifs d’Europe centrale. En français le terme de « réfugié » sera rapproché de fuite (de la guerre bien sûr, ou du dictateur El Assad) mais pas de fugue ou fuyard qui font moins appel au rêve.

Ces bonnes (?) âmes, auxquelles on confie nos jeunes têtes, s’acharneront jusqu’en fin d’année scolaire où les enfants de Sumène, avec le spectacle théâtral, présenteront « l’avenir radieux » promis dans une France sans français de souche. Elles se servent de deux petits fascicules signés Daniel Pennac (1) et illustrés médiocrement par Serbe Bloch.  Ceci dans le but d’ôter aux enfants tout sens critique, de refréner leur instinct de conservation, bref, les amener à leur perte.  En militantes d’extrême gauche, ces filles sont guidées par pure idéologie immigrationniste, bien qu’appointées par un État dont elles dénoncent l’insuffisance de générosité, dans les domaines de l’attribution des visas et des moyens mis en œuvre dans l’accueil des migrants dits « réfugiés ». Leur méthode consiste à occulter le réel pour le remplacer par leur discours imposé.

Pour appuyer ce projet destructeur, elles diffusent la copie de « Eux c’est nous » suivi de « Réfugiés en 8 lettres » dont les bénéfices et droits d’auteur sont intégralement reversés à la Cimade (2), une association collaborationniste par excellence, puisqu’elle vit financièrement de l’aide aux réfugiés et migrants ainsi que de la lutte contre les discriminations et le racisme (Évidemment pas celles concernant le racisme anti-blanc, ne rêvons pas !).

Pour en revenir au cours Moyen de Sumène (30), classe de Corinne D, aucune place n’est faite pour que les enfants envisagent un quelconque effet négatif dans la perception de l’immigration qui leur est imposée. Ne sont pas évoqués les risques d’épidémies le refus d’adaptation des migrants, les différents types d’immigration, des régressions culturelles envisageables, les incompatibilités religieuses avec la démocratie, la féminité, l’ordre public. Pour Daniel Pennac, le peuple de France n’est décrit que comme un composé de descendants d’étrangers. L’autochtone qui représente 3/4 de la population n’est pas pris en compte dans la France de demain. Il en est éliminé… C’est ainsi que Corinne et Véronique, surfent allègrement sur la notion de démocratie au grès de leurs convictions politiques et ce faisant, œuvrent pour l’intérêt du grand capital.

Or, les enfants ont besoin d’éducation,

mais pas d’une rééducation à la manière nazie, soviétique, ou polpotique.

Alerte aux parents !

Notes

(1) : Daniel Pennac, de son vrai nom Pennacchioni, né le 1ᵉʳ décembre 1944 à Casablanca au Maroc, écrivain

(2) : Cimade, association loi de 1901 de solidarité active et de soutien politique aux migrants, aux réfugiés et aux déplacés, aux demandeurs d’asile et à tous les individus en situation irrégulière

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