puy du fou

 

Le billet de Thierry Lafronde

 

« Dis Papy, comment c’était avant ? » demande le bambin à son grand père avec de grands yeux curieux et un ton implorant.

« Comment te dire, mon petit ? Et bien avant, c’était plus tranquille, plus simple, plus lent, plus naturel, plus doux, plus beau, plus vrai » répond, pédagogue et doucement, le grand père attentif.

« En fait, Je crois qu’il est grand temps de t’amener au Puy du Fou. »

 

En effet, pour plonger et remonter le temps, retrouver la France d’avant, rien de tel que d’offrir une escapade au Puy du Fou. Plus de 40 ans que cette aventure sortie du cerveau éclairé et visionnaire du génial Philippe de Villiers a pris corps et s’est développée au-delà de toutes les espérances.

 

1,5 millions de visiteurs chaque année, premier parc de France et d’Europe, troisième au monde, selon le classement international piloté par les USA, le Puy du Fou séduit petits et grands amoureux de l’histoire, de la géographie, des valeurs traditionnelles et de tout ce qui a fait le renom de la France, « mère des arts, des armes et des lois ».

 

Quelle différence avec les autres parcs d’attractions type Disney ou Astérix ?

La culture. On baigne dans un parc où le projet est d’élever l’esprit et d’ancrer les connaissances. On plonge dans le passé, l’Antiquité, le Moyen Age, la Renaissance, la révolution française -évidement avec le génocide vendéen enfin révélé- les temps modernes. Les parcours ombragés se font avec un fond musical classique apaisant, truffés de clins d’œil tels des parterres floraux, des animaux authentiques mais désormais rares venus de tous les terroirs français, des animations bon enfant. Les spectacles sont d’une très grande qualité, véritables sons et lumières, avec de nombreux figurants dynamiques épris par leurs rôles. Philippe de Villiers a eu un mot juste : « zéro aide de l’État pour le Puy du Fou, contrairement au parc Disney Land. Il a une petite souris comme symbole, nous avons Jeanne d’Arc ! ».

 

Une journée au Puy du Fou, c’est remettre les pendules à l’heure. Du reste la nouvelle attraction, « le grand carillon », enchantera petits et grands.

 

Une journée au Puy du Fou, c’est mettre du baume sur les blessures subies à longueur de temps par le politiquement correct et la mondialisation imposée à marche forcée. On réalise que du temps de la société d’avant la révolution, on vivait au rythme des saisons et des contrées. Les coutumes étaient vivantes et populaires, la parole donnée avait un sens. Le goût du travail bien fait, l’entraide, le courage, l’honneur, le panache étaient des valeurs estimées, recherchées, adulées. Le spectacle « le dernier Panache » retrace l’épopée du chevalier de Charrette qui avait su s’opposer avec force et fougue aux délires génocidaires des révolutionnaires. Un peuple de géants vendéens était né et a survécu depuis. Il avait su dire « non » au pouvoir totalitaire de l’époque.

 

Une journée au Puy du Fou, c’est remettre le clocher au milieu du village et la famille au centre de la société. Les familles déambulent avec plaisir et gentillesse, quelques refrains fusent, des attentions polies s’observent, tout est propre, respecté. On est dans une bulle préservée des gangs des racailles et des islamistes. Cela existe donc encore. Libre à nous de généraliser ce modèle un peu partout en France.

« Merci Papy, c’était vraiment bien au Puy du Fou. Quand je serai grand je ferai tout pour que la France redevienne comme avant ! »

 

Se ressourcer au Puy du Fou pour transmettre la flamme de la France éternelle…

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