Le billet de Robert Langlois

résistanceIl convient de considérer la situation de la France avec lucidité et courage malgré les flots d’anesthésie et de propagande qui sont déversés. Décrire le réel tel qu’il est devient un devoir. Nous sommes entrés dans la période la plus dangereuse de l’histoire de notre pays. Jamais de toute son histoire pluri-millénaire il n’avait été envahi par autant de millions de colons hostiles porteurs d’une autre culture ni surtout d’une autre religion de conquête et de soumission. Jamais notre peuple n’avait été aussi proche de la submersion et de la mise sous domination.

À force de renoncements, d’accommodements raisonnables nos gouvernants ont tout concédé sans résistance. Les envahisseurs le savent ; leurs plus fidèles alliés sont les organisateurs de la mondialisation, les élites corrompues ; mais aussi l’extrême gauche mondialiste et islamophile qui structure le tissu associatif immigrationiste. Tant qu’ils obtiennent tout sans avoir à combattre, nos envahisseurs progressent en contenant à peu près leur violence. Maintenant, leur puissance augmentant avec le nombre et sans trouver de résistance, ils accentuent leurs exigences. Ils se montrent de plus en plus vindicatifs et violents. Ils augmentent la pression et testent le point de résistance.

Ce point de résistance ne viendra pas ; en tout cas, pas de la part de l’État central français. En revanche, le moment approche où ils n’auront plus à se contenir et où leur violence va s’exercer avec brutalité. Il n’y aura aucune échappatoire, même la soumission la plus absolue ne leur suffira pas. Ces individus largement complexés par leur incapacité à s’intégrer dans la modernité et dans nos sociétés avancées feront couler le sang pour faire disparaître toute trace de ce qui leur est insupportable. Il ne faudra compter sur aucune mansuétude de leur part. Il ne faudra pas compter non plus sur l’État central qui s’est d’ores et déjà volontairement rendu impuissant.

Le peuple le ressent sourdement, les sondages le montrent, la conquête islamique est au premier rang des inquiétudes. Bientôt nous serons assiégés dans nos villes, et nos villages. L’invasion afro-musulmane apparaîtra partout pour ce qu’elle est, et nous découvrirons que l’État central français n’y peut plus rien, que la situation lui a définitivement échappé, et que notre peuple a été abandonné face à la multitude conquérante qui le submerge.

L’État central français sera arrivé à ses fins : il nous aura livré sans défense aux masses du tiers-monde islamique. Déjà, des enclaves ethniques et des micro khalifats embryonnaires se constituent partout, en peau de léopard, autour et dans les grandes villes. La situation d’autres pays européens est éclairante : Grande Bretagne, Belgique, Pays Bas, Suède sont déjà fragmentés, des enclaves musulmanes s’y sont constituées sans que rien ne s’y soit opposé. Il en est de même en France, cela se voit, il suffit d’assister aux sorties d’écoles…

              Alors que dire aux Occitans ?

  • Il ne faut plus compter sur l’État central français pour faire face. Il s’est lui-même mis en échec et démuni de tout moyen de résistance. Il ne contrôle plus rien, il est bien trop affaibli politiquement et militairement pour pouvoir réagir. C’est terminé, cette protection-là ne jouera plus. Au contraire, l’État central réprimera de plus en plus brutalement les opposants et les lanceurs d’alerte.
  • Même un renversement de régime et une prise de pouvoir par le clan patriote ne garantirait pas une reprise en main de la situation. Au contraire, elle précipiterait le soulèvement des masses musulmanes et l’instauration du chaos. Malheureusement pris dans l’écheveau des lois internationales, nous ne tarderions pas à voir des casques bleus s’interposer. Même si nous prenions le pouvoir, la ‘’communauté internationale’’ interviendrait pour nous empêcher de faire le nécessaire nettoyage. L’exemple récent de la Yougoslavie l’a démontré.
  • C’est dans les grandes villes et métropoles, où sont intriquées à parité numérique les populations exogènes et la population de souche que se dérouleront les plus grands affrontements lorsque les conditions seront jugées optimales en fonction des intérêts de ceux qui préparent cette séquence historique depuis 40 ans et qui sont maîtres des moyens et donc du calendrier. Nous ne pourrons que faire face et réagir lorsqu’ils décideront de l’affrontement.
  • Lorsque le chaos s’instaurera, l’hypothèse la plus probable est celle d’une intervention de la communauté internationale qui sanctuarisera les grandes villes pour y protéger la population musulmane à l’image de ce qui a été fait à Sarajevo ou au Kosovo avec la honteuse participation de l’armée française. La communauté internationale consacrera la partition territoriale du pays qui sera l’acte final du plan de pillage de la France et d’écrasement de son peuple. Aux musulmans les villes, aux multinationales la terre, les grandes infrastructures, les richesses et le contrôle des grands marchés récurrents. La France périphérique, elle, définitivement repoussée en zone de relégation.
  • Nous nous adressons aux Occitans parce que malheureusement il n’est plus temps de s’adresser à l’ensemble du pays. La rupture socio politique entre la France des villes et la France périphérique est irréconciliable. Le sentiment national n’existe plus qu’à l’état de vestige. Par conséquent, désormais les choses vont se jouer dans la proximité et dans le chaos. Si une résistance est possible, ce ne sera que dans la proximité, à vue et sur des îlots à notre échelle. Notre proximité à nous est à l’échelle de l’Occitanie. Les Bretons ont la leur, les Corses et les basques aussi et d’autres encore sans doute…
  • Pour nous, c’est à l’échelle de l’Occitanie que la résistance doit se préparer, que les groupes épars doivent se fédérer. Nous militons dans ce sens. La chance de notre région c’est qu’elle abrite depuis toujours les régiments parachutistes et qu’une importante réserve s’y trouve de fait. Ces milieux peuvent répondre présent le moment venu.

Que cela plaise ou non, une guerre d’anéantissement a lieu, et elle voit émerger deux camps : le camp identitaire qui ne peut plus agir que localement et le camp de l’envahisseur et des traîtres qui agissent globalement. Le combat est dissymétrique : mondialiste global contre local et identitaire. C’est la grande ligne de partage politique de cette première moitié du 21ème siècle. Ceci localement, car pour le moment, on ne voit pas se fédérer de résistance identitaire et/ou patriotique significative au plan national. C’est donc déjà au niveau local qu’il convient de se préparer ; l’échelon national n’est plus à notre portée ou, si on veut le dire autrement, compte tenu de l’éclatement du camp patriote, il ne l’est pas encore. Quand la catastrophe va se produire, nous aurons à y faire face localement. A Toulouse et sur l’arc méditerranéen autour de Montpellier, c’est dans la profondeur du territoire Occitan que se tiendront les résistants.

La LIGUE du MIDI a déjà bien œuvré dans ce sens. Au-delà du nombre de patriotes effectivement engagés, son poids local dépasse de loin le simple rapport de force numérique et matériel. Plus la crise s’intensifie et plus ceux qui prennent conscience de l’urgence comprennent qu’il n’y aura pas d’échappatoire, qu’ils devront faire face ‘’devant leur porte’’. Inutile de se bercer d’illusions ou de s’anesthésier, on n’y échappera pas.

La LIGUE du MIDI, s’affirme comme l’organisation de proximité la plus engagée en Occitanie contre la mondialisation et contre l’extrême gauche, son bras séculier. Nous assumons notre combat identitaire contre la mondialisation à l’échelon local qui deviendra le seul pertinent dans le chaos à venir. Nous nous préparons à assumer le rôle que l’Histoire va nous imposer en Occitanie.

Pour ne pas en arriver là…

La directrice générale du FMI a loué le modèle sur lequel se base la finance islamique et qui, selon elle, peut devenir un “facteur de stabilité”.

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