Trotskisme à l’UniversitéA la lumière de l’article d’Anatoly Livry, les rouages des « évènements » consécutifs à l’OPA gauchiste du 22 mars 2018 à la faculté de droit de Montpellier deviennent tout à fait limpides. L’hystérie groupusculaire initiale est suivie de l’épuration du personnel n’obéissant pas à la doxa souhaitée, afin de se terminer par la mise en place (libérées) de nouveaux membres de la « secte »… puisque, exception française, ce sont les représentants syndicaux du CNU (Conseil National de l’Université Française) qui recrutent.

 

 

Aussi, la Ligue du Midi a choisi de faire partager ce témoignage d’un professeur d’Université française déjà paru sur geopolitica ainsi que sa version anglaise. Cet article sera délivré en 3 chapitres.

 

Anatoly Livry est né à Moscou en 1972, qu’il a quitté, à cause de l’antisémitisme ambiant, pour la France où il a été naturalisé. Universitaire, chercheur, russophone, germaniste, helléniste, il a produit près d’une vingtaine d’ouvrages édités. Ne maniant pas la langue de bois , militant pour l’abrogation de la loi Fabius-Gayssot, il s’est attiré les inimitiés, voire les haines du milieu syndical universitaire français qui lui refuse toute bourse de recherche et a fait pression sur Wikipédia pour faire supprimer tout article le concernant. Menacé de mort sociale, il est donc entré en dissidence.

Dr. Anatoly Livry, Bâle, Suisse

 

« Supporterons-nous que des milliers d’hommes, en ce temps, souffrent et se révoltent de notre refus de témoigner, de notre lâcheté, de notre fausse commisération ? 

Maurice Bardèche

 

Chapitre 3 : Les cosmopolites contre les peuples

 

Pourquoi attirer maintenant l’attention des élites spirituelles sur le cas des trotskistes français, arrière-petits-fils idéologiques de Pierre Pascal qui se sont eux-mêmes mis à nus en s’acharnant à me dénoncer depuis 2002 ? La guerre exterminatrice des cosmopolites contre les peuples et leurs droits naturels s’intensifie. Or, ce sont des slavistes français, ayant oublié leur filiation trotskiste mais ne cessant pour autant de répéter à l’infini les réflexes doctrinaux de Trotski, qui deviennent le fer de lance de cet ethnocide mondialiste annoncé. Pire : à l’approche de chaque événement civique russe – ainsi les élections présidentielles de 2018 -, ils pavanent à travers la Russie en se présentant comme l’incarnation de l’honneur et de l’indépendance d’esprit.

De plus, ces parangons d’honnêteté y sont accueillis par leurs éditeurs moscovites, tels que les milliardaires Prokhorov, dressés par des gouvernements occidentaux alternant le bâton et la carotte pour qu’ils ne s’écartent point du chemin du carnage des Slaves de l’Est et des autres peuples de la Russie fédérale : tantôt l’emprisonnement en France ou des sanctions étatsuniennes visant individuellement Prokhorov, tantôt la décoration de toute la fratrie par la Légion d’honneur. Voilà pourquoi le dossier que je détiens sur les hôtes occidentaux des Prokhorov à Moscou, ces fonctionnaires universitaires français, est tellement précieux. Ces pièces uniques démontrent non seulement la nature des bâtards professoraux de Pierre Pascal – ce complice des pires crimes contre l’humanité que l’Eurasie a connus –, mais surtout dévoilent les véritables exigences des « libéraux » de la Russie où l’on devrait connaître la nature authentique de ces « modèles ».

Comme Trotski a échoué à transformer les Slaves de l’Est en Nègres blancs (le rappel de sa phrase semi-mythique est nécessaire), ses descendants français s’acharnent aujourd’hui à déporter des tribus d’une Afrique en effervescence démographique vers la Russie en vue de métisser de force la population autochtone, comme cela est pratiqué en Europe de l’Ouest, notamment avec la complicité engagée des universités françaises. Car le trotskisme est animé par la haine raciale inextirpable des peuples blancs devenue le mode de fonctionnement des universités occidentales : l’Université de Paris 8 organise des rencontres où les personnes de race blanche sont officiellement prohibées (1) ; un organisme à vocation raciste anti-blanc à savoir le Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN – imaginez-vous l’existence d’un Conseil représentatif des associations blanches de France ! Il serait interdit par la police politique républicaine sur-le-champ !) est dirigé par un maître de conférences de l’université d’Orléans.

Le Conseil National des Universités Françaises approuve donc le racisme anti-blanc car il a donné une « qualification » officielle à ce fonctionnaire. De même, une étude à prétention scientifique de la Communauté dite « européenne » scientifique interdit à une ville hongroise d’accéder au titre de capitale culturelle de l’Europe car étant l’image d’« … une Europe blanche et chrétienne. Tout le monde est heureux, blanc et danse dans les rues. » : l’auteur de ces lignes est privé par la Commission « européenne » d’une bourse de recherche car écrivant « dans des journaux à tendance patriotique ce qui serait contraire à la politique de la Commission européenne promouvant le métissage », … Je pourrais continuer les exemples de ce racisme anti-blanc encouragé par l’Université occidentale encore longtemps. La tactique des mondialistes néo-conservateurs est exactement celle des fonctionnaires universitaires français, membres du Conseil national des universités sélectionnés car conformes au magma trotskisant : ils sombrent dans des crises d’hystérie groupusculaire, puis présentant leur aboutissement comme l’unique issue possible, résultat d’une sage réflexion. Or, tant que le monde russe y résistera tantôt en dressant un barrage au Donbass ou à Donetsk, tantôt en appliquant une politique de défense de la famille ou des valeurs traditionnelles, ses peuples et dirigeants seront inlassablement traités de « fascistes » par ces misanthropes cosmopolites.

 

Notes

(1) Jack Dion, « à Reims, un camp d’été décolonial interdit aux blancs » MARIANNE-PARIS, 25 août 2016

 

Fin

 

Lien vers le chapitre II : CLIQUER ICI

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