D’après Martin Moisan (dans Riposte Laïque)

 

Les récentes déclaration du Président Macron sur la partition musulmane en cours ne laissent rien espérer de bon. Surtout qu’il n’entend rien faire pour s’y opposer.

 

Le président de la République française ne compte rien faire pour enrayer le mouvement. Au contraire, il nous recommande de nous y faire. Pire, on peut largement comprendre que son projet est justement de consacrer cette partition afin de finir de dissoudre ce qu’il reste de la France telle que nous l’avons connue.

Nous voilà donc prévenus, les citoyens français sont laissés seuls face à la menace. L’État ne fera rien pour les protéger. Au contraire, il fera tout pour aggraver la situation : signature du pacte de Marrakech, laxisme judiciaire, libération et réimportation de terroristes avérés qui formeront l’encadrement militaire de la cinquième colonne, importation accélérée et sans contrôle de nouveaux venus dont certains sortent directement des prisons de leurs pays d’origine, immigration de masse et sans aucun contrôle, victimisation et légitimation de la vindicte des masses musulmanes.

L’évitement, seule protection du citoyen abandonné par l’État

Dans ces conditions et à ce point d’avancement de la pression et du risque pour chacun, l’évitement est la seule solution pour tenter de se protéger. D’ores et déjà, le niveau de la menace est devenu extrêmement prégnant. Qui n’a pas eu connaissance dans son entourage ou dans sa proximité géographique, d’incivilités récurrentes, d’une agression, d’une attaque, voire d’un assassinat ou d’un massacre ? Qui peut sérieusement se dire qu’il ne risque strictement rien dans certains endroits, à certaines heures ou dans telle ou telle circonstance ? Quelle femme n’est pas d’ores et déjà dans l’évitement, même si elle s’en défend pour se conformer au politiquement correct.

L’évitement par un apartheid à l’envers

L’évitement consiste à raréfier au maximum les contacts avec ces populations, à éviter les zones où elles nidifient, à n’entretenir aucun commerce avec elles, aucun rapport. L’évitement consiste en une sorte d’apartheid à l’envers. Si on nous impose leur présence, alors qu’ils restent entre eux et nous entre nous. Bien entendu, cela n’est pas simple pour tout le monde, et il appartient à chacun, en fonction de sa situation personnelle, de définir les limites de ce qu’il peut faire et selon quel agenda. Mais, chaque personne inquiète de la tournure des événements et pessimiste quant à l’avenir doit se mettre en disposition d’échapper au gros du risque lié à un côtoiement subi.

La localisation géographique, première condition de l’évitement

La première des dispositions est de s’éloigner des zones concernées. Sortez des villes gangrenées, fuyez au loin dans la France périphérique. Tant pis pour le travail, vous trouverez toujours à vous réorganiser ou à changer d’orientation. Surtout, vous y ferez des économies de loyer, ou sur l’acquisition de votre logement, la vie y sera plus agréable pour vous et pour vos enfants. Arrêtez de conditionner votre lieu de résidence et votre vie à votre travail. Conditionnez votre travail à votre lieu de résidence.

Le regroupement dans des zones homogènes pour anticiper l’avenir

On en parle de plus en plus et certains auteurs commencent à y faire référence. Compte tenu de ce qui se prépare et, contre quoi il semble bien que nous ne puissions plus rien dans le registre de l’action politique globale, une solution pourrait être d’anticiper la confrontation finale en nous regroupant dans des zones homogènes, non encore envahies. Bien entendu, le pouvoir fait tout ce qu’il peut pour accélérer l’épandage et pour farcir le pays dans la profondeur. Toutefois, ce n’est pas encore fait et des zones subsisteront où nous serons encore largement majoritaires. Une décantation géographique permettrait de préparer la reconquête.

Évitez de vous exposer

N’entrez plus dans les grandes villes. Pratiquez l’évitement social, culturel, scolaire, sortez vos enfants des écoles ou des clubs sportifs trop envahis, évitez les grandes zones commerciales, évitez les gares, les stades, les zones de forte concentration humaine où vous ne pourrez pas échapper au côtoiement.  Même chose au travail, n’entrez pas dans des boîtes qui font de la mixité une raison sociale. Boycottez les produits qui nous assomment de publicités ethniques. Bref, discriminez tout ce qui ne vous convient pas. Vous y perdrez peut-être en commodité, mais vous y gagnerez en sécurité, en cohérence personnelle et en estime de vous-même. Bref, ça ira mieux pour vous.

La première des résistances, c’est de se soustraire à la soumission par la promiscuité imposée

Libérons-nous, regroupons-nous hors de zones tenues par les islamistes (Carte des zones sensibles). Les informations sont occultées et les cartes documentées ont disparu d’internet. Toutefois, il en reste une datant de 2010 qui recense toutes les ZUS. Vous y verrez le détail département par département et zone par zone, ainsi que les rues concernées au cas par cas. Enregistrez ce document tant qu’il est encore disponible et surtout regardez ce qu’il se passe à côté de chez vous et là où vous projetez de vous relocaliser. N’allez pas retomber de Charybde en Scylla. Si vous le pouvez, à titre personnel, mettez-le à jour en fonction de ce que vous aurez pu constater dans votre voisinage.

Bien entendu, je suis profondément nationaliste et jamais je ne me résoudrai à une partition territoriale. Malheureusement, le pire n’est pas exclu et il n’est pas inutile de s’y préparer. Surtout si par ailleurs, cela permet de mieux vivre.

Source ZUS : Décret n°96-1156 du 26 décembre 1996 fixant la liste des zones urbaines sensibles
NOR: AVIV9604443D
Version consolidée au 01 février 2020

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